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Cloud computing au service de la pédagogie

Cloud computing au service de la pédagogie
Le cloud computing au service de la pédagogie François POULHES, Chargé des TICE & de l’Ingénierie Éducative au CDDP de l’Aveyron propose un dossier complet Le cloud computing au service de la pédagogie Le site Web : qui explore l’utilisation de Dropbox (offre d’appel gratuite de 2 Go de stockage en ligne) Google Drive (5 Go de stockage en ligne) Framasoft documents : Le gros avantage des outils clouds Frama, c’est que contrairement à ceux de Google, ils ne sont raccordés ni à un service de stockage des données sur un serveur (les serveurs Google en l’occurrence) ni à une inscription, ni à l’ouverture d’un compte de messagerie . Leur usage est ouvert librement en ligne pour le bonheur de tous. Le site Web : Vous trouverez des dossiers : Dropbox au service de la pédagogie 1. Google Drive au service de la pédagogie 1. Des utilisations en classe sur le Blog du Prof Geek

Tutoriels Dropbox et Google Drive : le cloud computing au service de la pédagogie Le SCEREN-CRDP de l’Académie de Toulouse propose un dossier complet Le cloud computing au service de la pédagogie qui explore l’utilisation de Dropbox (offre d’appel gratuite de 2 Go de stockage en ligne) et Google Drive (5 Go de stockage en ligne). Que permettent ces 2 offres (comme bien d’autres) de cloud computing (informatique dans les nuages) : la notion de partage (de fichiers) et l’écriture à plusieurs mains tout comme des situations d’apprentissage qui permettent de passer de la coopération à la collaboration. Ce dossier permet de comprendre l’utilisation de Dropbox et Google Drive avec tutoriels pour des dispositifs pédagogiques pouvant être mis en place dans le cadre de l’apprendre que ce soit en formation, en initiation en EPN ou bien avec des activités menées dans le cadre scolaire ou professionnel. Dropbox au service de la pédagogie 1. Google Drive au service de la pédagogie 1. Licence : Creative Commons by-nc-saGéographie : Midi-Pyrénées

Sept façons astucieuses d'utiliser le stockage en ligne Par Benoist Fechner Mis à jour le , publié le Non, le "cloud" n'est pas ce lieu mystérieux que nous dépeignent depuis des mois les publicitaires et les opérateurs de téléphonie mobile. Derrière ce terme vaguement fumeux, qui signifie "nuage" en anglais, se cache un principe simple et finalement pas si neuf : celui du stockage en ligne, non seulement de données mais aussi de services et d'applications. En français, pour rester dans la métaphore, on parle de "stockage dans les nuages". Sans le savoir, vous utilisez le cloud depuis de nombreuses années. Au-delà des fonctions de base du "nuage", voici sept façons astucieuses de sortir du brouillard pour profiter pleinement du cloud. 1Utilisez Dropbox comme une assurance plantage C'est arrivé à quiconque travaille sur des documents texte comme Excel ou Word. Dans la suite OpenOffice, rendez-vous dans l'onglet "outils", puis sélectionnez "options > chemins". 2Centralisez vos favoris avec Pocket Ce service est en outre compatible avec Twitter.

Top 10 predicted digital trends for 2014 2014 is just around the corner and no doubt it’s going to be another huge year for social media, gadgets and tech. Here are our top 10 predicted digital trends for 2014… 1) Image centric social media platforms, such as Instagram and Pinterest, will dominate. 2) Google+ will also experience huge growth as it becomes further intertwined with other Google services, as well as playing an essential part in search engine rankings with Google Authorship. 3) There’ll be a massive battle for top spot with instant messaging and VOIP apps – What’sApp, FB Messenger, Viber and Google Voice/Hangouts. What’sApp will stagnate unless it introduces calling options, which Viber and Hangouts already have (and FB is working on). 4) Snapchat will likely dominate the 18-25 demographic in terms of social media/messaging apps. 5) There’ll be a continued focus on user security and privacy, leading to heavier encryption and verification efforts. 8) We’ll see a rise of the use of videos for online content.

MindMup - Working with Google Drive Google Drive is a cloud storage from Google that you can use to store and manage private maps, or collaborate with colleagues and friends in a controlled environment. This page outlines the most important information about working with Google Drive in MindMup. For more information on Google Drive in general, and associated products, see the Google Drive support page. Prerequisites You will need a Google account to store files to Drive. MindMup does not need to know any particular details about your Google account and when working with Drive, the data passes from your browser to Drive directly, without going to our servers. Getting started The first time you try to save a map to Google Drive, or to open a map stored on Google Drive by someone else, MindMup will ask you to authorise access to your Drive. If you are not currently logged in to your Google account, Google might pop up a dialog asking you to log in. The operation you started (saving or loading) will now continue.

OpenStack Wiki Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. OpenStack est un ensemble de logiciels open source permettant de déployer des infrastructures de cloud computing (infrastructure en tant que service). La technologie possède une architecture modulaire composée de plusieurs projets corrélés (Nova, Swift, Glance...) qui permettent de contrôler les différentes ressources des machines virtuelles telles que la puissance de calcul, le stockage ou encore le réseau inhérents au centre de données sollicité. C'est un logiciel libre distribué selon les termes de la licence Apache. Historique[modifier | modifier le code] 2010 : lancement[modifier | modifier le code] Versions[modifier | modifier le code] Composants[modifier | modifier le code] Architecture conceptuelle des services OpenStack OpenStack possède une architecture modulaire qui comprend de nombreux composants[21] : Voici la liste des composants dits intégrés à OpenStack. Calcul : Nova[modifier | modifier le code] TripleO : OpenStack on OpenStack.

Google Drive Il existe une différence importante et non des moindres entre Dropbox et Google Drive.Google Drive, va vous proposer non seulement un espace de stockage (5 Go) sur ses serveurs, mais aussi des outils Full Web d’édition de texte, de présentation, de dessin, de formulaires.Vous disposez en ligne des mêmes outils que ceux de votre suite bureautique installés en local sur votre poste de travail mais bien davantage...Jugez plutôt : Les Googles Documents créés par l’intermédiaire de Google Drive peuvent se modifier dans une utilisation simultanée par plusieurs personnes connectées. Les formulaires Google prévus au départ comme des outils de planification (Ex. : réunions) ou de prospection (Ex. : Enquêtes, sondages, questionnaires ...) peuvent aisément se détourner en QCM, quiz et autres fiches évaluatives que nous utilisons volontiers dans nos séquences pédagogiques. Les nombreux "possibles pédagogiques" qu’offrent ce travail en ligne ne font aucun doute.

Qu'est-ce que le connectivisme ? Les théories et les modèles de l'apprentissage se suivent et ne se ressemblent pas forcément; chacun présente une approche spécifique avec ses avantages et ses limites et on n'a pas toujours intérêt à adopter inconditionnellement l'une ou l'autre de ces approches. Le modèle transmissif où l'enseignant est le détenteur du savoir et s'évertue à le transmettre à un apprenant qui aspire à correspondre à un modèle a vu ses beaux jours décliner quoiqu'il soit encore appliqué dans des bastions réfractaires tels que certains espaces universitaires traditionnels (et les xMoocs). Le béhaviorisme, avec le balisage de l'apprentissage du plus simple au plus complexe avec force renforcements, positifs et/ou négatifs, des informations fournies juste à temps à l'apprenant et les remédiations pertinentes qui récupèrent tout retardataire vivra encore de très beaux jours et amènera des réussites ponctuelles satisfaisantes. Toutes ces approches correspondent à des pratiques courantes dans l'apprentissage.

Comprendre la Virtualisation Le principe de base de la virtualisation est simple. L'idée est de faire fonctionner plusieurs systèmes d'exploitation sur une seule machine physique. Mais voyons d'un peu plus près comment cela fonctionne. Les premières plateformes de virtualisation, appelées hyperviseurs, ont été conçues par IBM il y a une quarantaine d'années (voir aussi : les services de cloud computing). Deux types de modèles sont à distinguer : bare-metal et host based. Une fois l'hyperviseur installé, l'administrateur de la machine pourra provisionner des machines virtuelles, ou VM (Virtual Machine), en spécifiant de façon précise les ressources qui lui seront attribuées. Disques locaux ou stockage centralisé ? Le stockage des machines virtuelles peut également se faire selon deux architectures, l'une à disques locaux, l'autre avec stockage centralisé. La virtualisation par stockage centralisé est donc plus chère mais garantit une meilleure disponibilité.

OpenStack, clef de voûte du cloud Open Source - Le 03 Octobre 2014 OpenStack est-il la clef de voûte des infrastructures cloud Open Source, comme l'a été Linux, en quelque sorte, pour les systèmes d'exploitation pour serveurs et machines virtuelles ? C'est en tout cas bien parti pour que ce framework de gestion de clouds (aussi bien privés que publics) devienne la référence et le standard de fait face aux solutions propriétaires que sont Amazon Web Services, Microsoft Azure ou encore VMware. D'ailleurs, certains acteurs comme VMware, ont décidé d'investir la Fondation OpenStack pour contrôler l'évolution du framework et travailler sur l'ouverture de leurs propres solutions avec des connecteurs dédiés. Sommaire du dossier : 1.

Analyse des réseaux sociaux, quels bénéfices pour les entreprises ? - Le 03 Juin 2013 Cela fait deux ou trois ans tout au plus que les entreprises portent un réel intérêt sur ce qui se dit sur les médias sociaux autour de leur marque ou de leurs produits. Jusqu'à présent, elles utilisaient les médias sociaux pour véhiculer une communication très institutionnelle, mais n'écoutaient que très occasionnellement les conversations. Aujourd'hui, les entreprises, via leur service marketing, ont clairement pris en compte l'importance de l'espace d'expression public que représentent les médias sociaux pour leurs ambassadeurs, mais aussi pour leurs détracteurs. Selon une étude (Le numérique : l'agenda 2013 des directions de la relation client) menée par le CXP et Colorado Conseil pour le compte de plusieurs fournisseurs, 79 % des entreprises sondées attendent une hausse voire une forte hausse de l'usage des médias sociaux dans leurs relations clients. Sommaire du dossier : 1.

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