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Vie numérique : une étude souligne le grand écart entre le discours et la pratique

Vie numérique : une étude souligne le grand écart entre le discours et la pratique
TECHNOLOGIE - Les nouvelles technologies n'ont pas toujours bonne presse. Téléphones portables accusés d'entraver la bonne marche des relations sociales, réseaux sociaux auxquels nous assujettirions notre vie privée ou encore incapacité à déconnecter, celles-ci nous rendraient accros, et constitueairent une menace autant pour notre vie intérieure que dans notre relation aux autres. Pour échapper à ce mal qui nous guette, il faudrait déconnecter, abandonner portable et réseaux sociaux, à l'image du blogueur Thierry Crouzet qui avait raconté dans J'ai débranché, les six mois qu'il avait passés sans Internet. D'un côté la vie hyper connectée, de l'autre la déconnexion... Pour aller plus loin:» Le résumé de l'étude» Le fichier Powerpoint Autodiscipline Principal enseignement: "il n'y a pas le monde numérique d'un côté, et nous de l'autre," explique la sociologue Joëlle Menrath, directrice de Discours & Pratiques. Le numérique, ou le hors-champ de notre quotidien Mieux. » Pas convaincu? Close

Hyperconnectée, la "ménagère numérique" manque de sommeil La traditionnelle image de la ménagère serait-elle écornée par l'assiduité avec laquelle elle se connecte à Internet ? Il ressort d'une enquête de comportement "Media in Life", menée par Médiamétrie, que les femmes hyperconnectées sont hyperactives et consacrent moins de temps que le reste de la gent féminine aux loisirs, repos et sommeil. La "ménagère numérique", telle que défine par Médiamétrie, est "une femme de moins de 50 ans, responsable des achats du foyer et qui se connecte au moins une fois par semaine à Internet". Cette femme "branchée" consacre à peine moins de temps que les autres femmes aux activités ménagères. L'étude souligne, qu'à l'instar des pratiques observées chez les jeunes multitâches, la ménagère numérique peut, dans le même temps, être connectée à Internet et regarder la télévision.

Cyberdépendance: ces internautes qui ne débranchent jamais Il vit quinze heures par jour sur internet. «C'est une addiction, oui. Je me sens obligé. Quand je sors, je ressens du manque. A Taïwan, une jeune fille a planté un couteau de 29 centimètres dans le corps de son oncle. En France, la dépendance à internet se transforme. Recevoir trente mails par jour n'étonne personne. Avec l'irruption des réseaux sociaux et l'invasion du numérique dans le monde professionnel, la cyberdépendance n'est plus une histoire d'adolescents blafards entassés dans des caves à zigouiller des dragons. Kyle, lui, ne joue jamais à des jeux. Quinze heures par jour devant l'écran, comme ce jeune Charentais, c'est un cas extrême. «Internet n'exclut pas la vraie rencontre» Il y a au moins 40 millions d'internautes en France. «Je ne vois pas où est le danger, s'étonne Hervé, journaliste très numérique. Illusion de maîtrise et possibilité d'évasion Delphine est mère au foyer à Soyaux. - «Tu fais quoi?» - «Rien, je regarde la télé», répondait-on dans les années 90. 1h25. 56.

Le journaliste Stanislas Kraland partage Toulouse analyse les sentiments des citoyens pour évaluer leurs préoccupations La communauté urbaine de Toulouse analyse les sentiments des citoyens sur les réseaux sociaux pour évaluer leurs préoccupations sur la vie locale. Une manière de prédire les sujets qui feront débat, et peut-être aussi une manière de démocratie participative… Comment mesurer et comprendre les préoccupations de ses citoyens telles qu’elles s’expriment sur les réseaux sociaux ? En utilisant l’analyse prédictive. C’est l’objectif d’un projet initié par la communauté urbaine de Toulouse (750,000 habitants) qui souhaite ainsi « entretenir avec les citoyens un dialogue en temps réel et prendre les bonnes décisions pour répondre à leurs attentes.» Il s’agit concrètement d’analyser une grande variété de sources publiques, de stocker et de structurer un large volume d’informations échangées, de manière à discerner les « sentiments » des habitants de la communauté urbaine de Toulouse. La collecte et le tri des données Analyser les discussions pour comprendre les préoccupations Les idées à retenir

"Les français et le monde numérique" A l'été 2011, le groupe TNS Sofres a publié une étude baptisée « Les français et le nouveau monde numérique ». Comment vivons nous avec les nouvelles technologies et quels consommateurs sommes-nous ? Six profils de comportements ont été identifiés à l'issue de l'étude pour une cartographie des français face à l'ordinateur. Il ressort de cette étude qu'un large pourcentage des Français (39%) se disent passionnés par le numérique et que la moitié d'entre nous ne pourrait plus se passer de toutes les innovations qui envahissent notre quotidien. Pire, nous sommes sceptiques et 61% des français expriment des appréhensions sur l'évolution du monde numérique. Le numérique c'est bien, mais point trop n'en faut Dans cette veine, 58% des personnes interrogées considèrent comme négatif l'apport des technologies pour l'homme et la société. D'ailleurs, pour une grande majorité, l'utilisation des nouvelles technologies mériterait d'être quelque peu organisée.

La cyberdépendance, une addiction virtuelle bien réelle Qu'est ce que la cyberdépendance ? Comme tout autre forme de dépendance, la cyberdépendance se manifeste par le besoin dévorant et incontrôlable d’utiliser de manière distordu tous moyens de communication offerts par internet.D’après Jean-Charles Nayebi, chercheur et docteur en psychologie, toute personne atteint par cette addiction "est dans la recherche constante de connexion au réseau informatique afin d'y établir une communication, d'y trouver une information, du sexe ou du jeu virtuel. Elle éprouve une anxiété désorganisatrice si elle ne peut se connecter, et sa vie personnelle et sociale s'organise autour de la connexion. A l'image d'une toxicodépendance, le cyberdépendant manifeste un phénomène de manque et peut recourir au mensonge pourréduire l'importance de son addiction". Les points négatifs : Degrès faible de cyberdépendance : Exemple de trouble du comportement d'un "nolife" : Les points positifs : Les mondes virtuels, des lieux de rencontre divers et variés :

Nous ne serons plus jamais déconnectés… Jenna Wortham (@jennydeluxe) pour le New York Times a commis un de ces papiers faciles sur les vertus de la déconnexion à l'heure d'un monde toujours plus connecté. Alors qu'elle se rendait à la piscine, elle a été invitée à déposer son téléphone et a pu profiter pleinement de sa journée, sans avoir à consulter avec anxiété ses comptes Facebook et Twitter pour regarder ce que ses amis faisaient. La peur de manquer quelque chose (Fomo, pour Fear of Missing Out) que décrivait Caterina Fake, cofondatrice de Flickr, s'évaporait quelques instants. Image : cc Staying Social par Leon Fishman. Si beaucoup de gens se retrouvent dans le besoin d'être déconnecté de leurs appareils pour mieux se concentrer sur l'instant présent, nombre d'entre eux décrivent aussi la difficulté qu'ils éprouvent à résister à l'appel des médias sociaux, explique encore Jenna Wortham. "Comme on pouvait s'y attendre, cette intrusion a créé un choc en retour. Pourquoi sommes-nous obsédés par la déconnexion ?

Informatique à l'école: veut-on un pays de consommateurs ou de citoyens concepteurs? Cette tribune a été précédemment publiée dans L'Echo Républicain. ÉDUCATION - "Il est urgent de ne plus attendre". C'est le sous-titre, bien peu académique, du rapport que l'Académie des sciences vient de publier sur l'enseignement des sciences informatiques à l'école. Le rapport suggère notamment d'initier les enfants, dès le plus jeune âge à la "pensée algorithmique" -leur faire comprendre, par l'expérience, qu'une tablette ou un smartphone répondent à des séries d'instructions pensées et programmées par un être humain. Comme sur bien des sujets, l'Education nationale n'est pas totalement inerte en la matière. "L'Europe et la France en particulier accusent un important retard conceptuel et industriel dans le domaine par rapport aux pays les plus dynamiques, comme les Etats-Unis et certains pays d'Asie". La mollesse de la réponse publique à ces enjeux suggérerait également une rapide et résolue formation des politiques...

Web et addiction Après l’alcool, la cigarette et la drogue, Internet est classifié comme « addiction ». En bref, certains ne savent plus décrocher de leur ordinateur. La dépendance à Internet (également nommée cyberdépendance) , est une réalité. En termes psychologiques, elle désigne un besoin excessif et obsessionnel d’utiliser un ordinateur qui finit par interférer sur la vie quotidienne. Vive la vie virtuelle De nombreuses personnes déçues par le quotidien de la vie réelle finissent pas se faire une nouvelle vie , bien plus exaltante, sur Internet . Et en fin de parcours c’est le clash. Sur Internet, il est possible d’exister, d’être valorisé sans être jugé sur ses qualités physiques et intellectuelles. La cyberdépendance en pratique Trois heures du matin. La dépendance à Internet (aussi appelée cyberdépendance), est un trouble psychologique entraînant un besoin irrésistible et obsessionnel d’utiliser Internet . Les traitements contre la cyberdépendance A propos de Pierre Davister

Internet et cyberdépendance - Développement personnel - Psychologie Aujourd'hui environ 27 millions de Français se connectent à Internet. Le web a fait naître des addictions d'un nouveau genre, de plus en plus fréquentes. Comment prévenir ces dépendances numériques ? La réponse avec le psychologue Jean-Charles Nayebi, auteur de « La cyberdépendance en 60 questions ». Doctissimo : Qu'appelle-t-on cyberdépendance et quel est le profil des individus qui en souffrent ? Jean-Charles Nayebi : A l'origine, la cyberdépendance désigne toute dépendance à l'univers informatique. Doctissimo : En France, parmi les 27 millions d'internautes, combien peuvent être considérés comme cyberdépendants ? Jean-Charles Nayebi : Pour l'instant aucune statistique n'a été établie. Doctissimo : Quels signes doivent alerter ? Jean-Charles Nayebi : La cyberdépendance s'exprime par différents signes spécifiques. Doctissimo : Les jeunes sont-ils les plus susceptibles de devenir cyberdépendants ? Doctissimo : Les deux sexes sont-ils égaux face à la cyberdépendance ? Ecrit par:

Hubert Guillaud, journaliste du journal Le Monde Les « Millenials », champions du numérique ! L’Observatoire International de la Média Democratie (State of the Media Democracy) présenté aujourd’hui par Deloitte, livre une analyse comparative par pays (France, Etats-Unis, Australie, Allemagne, Italie, Japon, Corée du Sud, Norvège, Espagne et Royaume-Uni) mettant en exergue les tendances clés des consommateurs dans le domaine du numérique. Pour cette étude, 2 124 internautes français représentatifs en termes géographiques et économiques, sur quotas de sexe et sur 5 tranches d’âge ont été interrogés en ligne fin 2012. Et une population se démarque : les « Millenials », adeptes des technologies numériques. Ci-dessous les 9 enseignements de Deloitte : 1. 20 % des Français disposent à la fois d’un ordinateur, d’une tablette et d’un smartphone. Crédits : Deloitte Malgré un enrichissement des fonctions des différents équipements mobiles, chacun se concentre sur un cœur d’usage. 2. L’accès à Internet est le service à domicile plébiscité par 77% des foyers français. 7. 8. 9.

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