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- WWW-CD.ORG Christophe Demay Consultant développement culturel

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Peut-on espérer un arrêt des coupes budgétaires en direction de la jeunesse ? Le changement de président va-t-il renverser la vapeur ? Peut-on espérer un arrêt des coupes budgétaires en direction de la jeunesse ? Il est trop tôt pour le savoir. La suppression des moyens dédiés à l'accompagnement et à l'animation des projets en direction de la jeunesse est en continuité constante depuis 10 ans. Dans le même temps, l'État, qui reconnaît l'urgence d'agir pour la jeunesse, réduit, voire supprime, les moyens de prendre en compte ces nouveaux besoins. Des exemples... De l'argent... Des solutions... L'attente est grande. ► Attention : cet article est en COPIE PARTIELLE AUTORISEE sur votre site internet. Peut-on espérer un arrêt des coupes budgétaires en direction de la jeunesse ? ► Vous pouvez aussi opter pour la mise en place de notre fil d'info associatif sur votre site en cliquant sur cette image ou bien faire suivre cet article sur et / ou

Entrepreneuriat social et association : pas le même monde Pour connaître une chose, il faut la nommer. C'est un débat philosophique qui n'est pas nouveau. De tout temps, les pouvoirs se faisaient fort de changer le mot pour dominer le sens. De même, il semble utile aujourd'hui à certains, d'assimiler l'entrepreneuriat social avec le secteur associatif. Il faut dire que ce sont presque les mêmes qui ont d'abord utiliser le terme fourre-tout : Economie sociale et solidaire.. Le terme d'économie sociale et solidaire regroupe un ensemble de coopératives, mutuelles, associations, syndicats et fondations, fonctionnant sur des principes d'égalité des personnes, de solidarité entre membres et d'indépendance économique. Alors, que dire de l'entrepreneuriat social ? La CPCA (Conférence Permanente des Coordinations Associatives) a réagi fortement à une note du CAS (Centre d'analyse stratégique) parue en mars dernier et intitulée « Quelle place pour l'entrepreneuriat social en France ? L'art de changer le sens des mots...

Après les lampions François Hollande est donc le nouveau président de la France. Je crois que nous avons tous compris, même si le sujet a été finalement peu abordé pendant la campagne, que la crise arrive. Avec elle, les marges de manoeuvres du nouveau président sont nulles ou presque. Tous les observateurs s'accordent pour dire que le plus dure est devant nous. Nous avons reçu il y a quelques jours, comme une bouffée d'air pur, une lettre du collectif Roosevelt 2012. Nous vous la livrons telle quelle. Il y a déjà plus de 5 millions d'inscrits à Pôle Emploi, des millions de précaires et nul doute hélas que nous allons bientôt replonger en récession. La crise des subprimes est née aux Etats-Unis et une nouvelle crise est en préparation : la dette totale des Etats-Unis atteint 358 % du PIB. En Chine, la bulle immobilière a atteint plus du double du maximum atteint par la bulle aux Etats-Unis avant la crise des subprimes. Quel est le rôle historique de la gauche européenne ?

Qui veut de la TVA sociale ? La surprise du second tour n'est pas l'élection de François Hollande, car tout le monde s'y attendait. Non, la surprise provient de la parution du décret mettant en oeuvre la TVA sociale. Alors que le président nouvellement élu a promis durant toute sa campagne d'abroger ce transfert de cotisations des entreprises vers les ménages, le président sortant s'est empressé de faire paraître ce décret le ... 6 mai 2012. Et c'est comme ça que le 7 mai, les français se réveillent avec un nouveau président et le décret mettant en oeuvre la TVA sociale publié in extremis au Journal officiel dimanche, jour même du second tour de l'élection présidentielle. Pourquoi un tel empressement ? La question mérite d'être posée... Le décret paru dimanche au Journal officiel fixe le barème des cotisations d'allocations familiales dues à compter du 1er octobre, en fonction de la rémunération du salarié. Ce décret est censé être applicable aux rémunérations versées à compter du 1er octobre 2012.

Les brèves associatives - Pour ne plus laisser passer les infos importantes... France Active, principal réseau de financement des structures de l’Economie Sociale et Solidaire, en partenariat avec IMS-Entreprendre pour la Cité, vient d’éditer un guide sur l’évaluation de la viabilité d’un projet associatif. Beaucoup d’entreprises mécènes et de fondations s’interrogent sur la viabilité du projet pour lequel elles sont sollicitées. Elles ont également besoin de s’assurer que leur financement ne se substitue pas à d’autres ressources et agit avec un maximum d’effet levier. C’est pour éclairer ces questions que France Active, principal réseau de financement des structures de l’Economie Sociale et Solidaire, vous propose ce guide en partenariat avec IMS-Entreprendre pour la Cité. À qui est adressé ce guide ?

Pas de charte nationale du secouriste bénévole Actuellement, de très nombreuses associations de secourisme sont présentes sur le territoire français, oeuvrant chacune individuellement. Elles ont, comme outil commun, le référentiel national relatif aux dispositifs prévisionnels de secours. Toutes ces associations proposent leur propre "charte du secouriste" ou un règlement qui en fait office. Et pourtant, un document commun à toutes ces associations permettrait de proposer une définition précise du statut de "secouriste" et du "secourisme". De plus, assurer les premiers secours demande une rigueur, une prise de recul constante et un esprit d'équipe sans faille. Pourquoi ce vide juridique ? Dans le même temps, l'Etat "joue" avec la distribution et le retrait des agréments, sésame indispensable à toute association qui souhaite "embrasser" cette activité (2). Aussi, la réponse du ministre est tout aussi étonnante que la situation... En savoir plus (1) (3) Question posée par M.

L'emploi en 2012 par métiers et zones d'activités Aider à l'emploi est l'une de nos spécificités. Chaque information est bonne à prendre. Celle-ci est d'importance. Il semble que pour 2012, l'évolution des offres d'emploi soit de 4,3 % par rapport à 2011, ce qui n'est pas mirobolant, mais mieux qu'une stagnation. A l’initiative de Pôle emploi, il est aujourd'hui possible de retrouver en ligne les résultats de l’Enquête Besoins en Main-d’Œuvre 2012 (enquête dite B.M.O.) 2012 par bassins d’emploi et par métiers. L'enquête annuelle "Besoins en Main-d'Œuvre" est, depuis plusieurs années, un élément essentiel de connaissance du marché du travail. Cette enquête fait état de 1 608 700 projets de recrutement prévus en 2012 dans les 386 bassins d’emploi français, soit une augmentation de 4,3 % par rapport à 2011. Il faut malgré tout signaler que la part des établissements recruteurs recule légèrement en 2012 pour atteindre 17,7% de l’ensemble des établissements contre 18,0% en 2011. ou bien faire suivre cet article sur et / ou

Faut-il modifier la loi de 1901 pour l'adapter à la loi ESS Avec l'arrivée prochaine des entreprises parées du statut envié de l'Economie Sociale et Solidaire, la question d'une réforme de la loi de 1901 pourrait se poser. Comment en effet permettre à une association déclarée de faire face à la nouvelle donne qu'impose l'Etat dans sa relation avec le secteur associatif ? Alors que la loi de 1901 ne prévoyait même pas la tenue d'une comptabilité, il semble difficile aujourd'hui, au regard d'un dossier de demande de subvention, qu'une association puisse se passer d'une gestion comptable digne de ce nom. De plus, dans ses relations à venir avec la BPI (Banque Publique d'Investissement) selon le projet de loi ESS, l'association va devoir se doter de moyens humains hautement qualifiés si elle ne veut pas perdre son temps devant le guichet fermé du bon banquier étatique. Le ministère de l'Intérieur(1) reste droit dans ses bottes dans sa réponse... Ce qui est extrêmement gênant, c'est que l'Etat risque de ne pas avoir la même pudeur avec l'ESS.

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