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Cultiver son jardin pourrait devenir un acte criminel

Cultiver son jardin pourrait devenir un acte criminel

Jardins associatifs : lorsque la ville nourrit la ville Dans toutes les grandes villes des pays industrialisés, les jardins associatifs poussent comme des champignons. Paris en est un bon exemple : si en 2003 on comptait 5 jardins partagés, en 2013 on en compte déjà 80. Pourtant, les listes d’attente pour accéder à un lopin de terre s’allongent. Cet engouement pour le jardinage a pris de court les mairies, qui cherchent désespérément dans les interstices urbains ou sur les toits des bâtiments, des surfaces à transformer en potagers. Ce phénomène ne pouvait qu’intéresser les chercheurs de l’Inra. Mené par le laboratoire Sciences action développement : activités produits territoires (SAD-APT) de l'Inra Versailles-Grignon et le laboratoire Sols et environnement de Nancy1, le projet JASSUR (Jardins associatifs urbains, pratiques, fonctions et risques dans les villes durables) s’intéresse aux usages, aux modes de fonctionnement, ou encore, aux dangers potentiels de cette agriculture intra-urbaine dans 7 grandes villes françaises et à Montréal.

Détroit, laboratoire du monde d'après le néolibéralisme - Décroissance forcée Des trottoirs et des parkings vides longent les vastes avenues. Une enfilade de magasins aux rideaux baissés quadrille le centre-ville de Détroit, berceau de l’industrie automobile américaine. Les banderoles « à vendre » et « à louer » se succèdent sur les façades des bâtiments. 80 000 logements seraient abandonnés, soit près de un sur cinq. « Pendant les soixante-dix dernières années, les habitants de Détroit ont cru à tort que leurs vies étaient liées à General Motors, Ford et Chrysler, explique Maureen Taylor, militante depuis des années dans la lutte contre la pauvreté. Exode urbain Empruntant l’autoroute qui traverse la ville d’Est en Ouest, Peter Landon s’arrête sur la bande d’arrêt d’urgence, au sommet du pont enjambant Red-River. En 2008, Détroit a perdu près de 70 000 emplois. Mouvement ouvrier : du compromis à la déroute Près des chantiers navals, dont il ne reste qu’un monument commémoratif, nous rencontrons l’amie de Peter, Wendy Thompson. Ségrégation et décroissance forcée

Jardinons ensemble ! Les "toits verts" se multiplient dans les villes françaises LE MONDE | • Mis à jour le | Par Audrey Garric A 30 m au-dessus du sol, des milliers de campanules, digitales ou euphorbes sortent timidement de terre, bravant le froid vigoureux de ce printemps. La plus grande toiture végétalisée de Paris – 7 000 m2, soit l'équivalent d'un stade de football – a été inaugurée, jeudi 4 avril, au sommet du centre commercial Beaugrenelle (15e arrondissement), en cours de rénovation. Ces jardins suspendus doivent concilier havre de biodiversité et régulation climatique, un objectif alléchant mais loin d'être évident. Dans ce "pré haut" surplombé de tours d'habitation, des graminées et des plantes à bulbes prennent racine sur 40 cm de terre, arrosées à partir d'eau de pluie. Un espace de 800 m² doit être réservé à un "jardin partagé" ; le reste du site sera interdit au public. Le coût du chantier Beaugrenelle est évalué à 450 millions d'euros par Gecina, le propriétaire du centre commercial, qui ne précise pas celui de la toiture.

Partageons un jardin à cultiver Le projet : En quoi consiste votre projet ? Ce projet vise à créer un jardin partagé au sein du quartier de Bécon, à Courbevoie (92) afin de dynamiser ce quartier et de fédérer ses habitants autour d’une activité saine et écologique. Au bout de six mois d’exploitation, nous souhaiterions jumeler le jardin et les expériences avec celles des jardins partagés du XXème arrondissement en créant des weekend d'animations C'est un jardin de proximité animé par une association qui propose des activités collectives de jardinage développant l'éducation, l'insertion et la création de lien social en favorisant la biodiversité.C'est un lieu ouvert sur le quartier qui favorise les rencontres entre les générations et les cultures. Il permet de tisser des relations entre les différents lieux de vie de l'arrondissement : écoles, maisons de retraite, hôpitaux... Un tel jardin est confié à une association par convention pour une durée limitée (1 an renouvelable jusqu'à 5 ans). Fonctionnement:

Le potager urbain: La Butineuse de Vanier Оver the last decade, ponds have gained popularity as an important component of gardens, and this has led to a higher demand for new, effective techniques for maintenance of ponds. Since ponds are expensive to construct, prolonging their life is very economical. Оne simple and effective way of doing this is through installing pond aerators. Pond aeration simply involves adding oxygen to the water in your pond. The decomposition of organic materials in the pond can occur aerobically or anaerobically. Decomposition in anaerobic environments is slower and incomplete compared to aerobic environments where the end product of decomposition is mainly carbon dioxide. Pond aeration can help nature provide the amounts of oxygen required in your pond and therefore help prolong its life.

Un petit coin de potager citadin exposé aux polluants Retrouver le vrai goût des fruits et des légumes, cultiver son propre potager sans pesticides en ville, c’est devenu courant. L’engouement des citadins jardiniers risque de s’essouffler suite aux conclusions d’une étude allemande. Selon les chercheurs, les fruits et les légumes cultivés en ville sont moins sains que ceux issus des supermarchés. « Les légumes issus des jardins urbains peuvent être, en comparaison avec des productions standards des supermarchés, pollués par de multiples métaux lourds. indique Ina Säumel, responsable de l’étude « How healthy is urban horticulture in high traffic areas ? Les chercheurs de l’université technique de Berlin constatent, après avoir étudier les potagers du centre ville de la capitale allemande, des niveaux élevés de métaux lourds présents dans les fruits et les légumes. Ils ont mesuré les concentrations de cadmium, chrome, plomb, zinc, nickel et cuivre dans les produits et ont pris en compte leur exposition au trafic automobile. Sources :

GaïaPresse - Le portail de nouvelles sur l'environnement au Québec Mots-clés : Fête des semences, agriculture urbaine, mon potager en façade, les Urbainculteurs Le mouvement de l’agriculture urbaine prend de l’ampleur dans la capitale nationale. Ses 3000 visiteurs dimanche lors de la quatrième édition de la Fête des semences et de l’agriculture urbaine est le signe que les citoyens y voient plus qu’un loisir. En riposte au maire Labeaume pour qui l’agriculture en ville n’est pas une priorité, les organisateurs et conférenciers ont souligné les bénéfices du phénomène : réduction des eaux de ruissellements et des îlots de chaleur, augmentation de la biodiversité, embellissement et verdissement des espaces publics, augmentation de l’activité physique des citoyens, souveraineté alimentaire. ‘’Ça fait deux générations que les gens de Québec sont devenus des urbains. On a accepté le fait qu’on vit en ville, mais on veut rajouter de la nature, on veut se rapprocher de la nature’’, explique le porte-parole de l’événement et chroniqueur horticole Larry Hodgson.

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