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Les hommes et les femmes ont-ils des cerveaux différents ?

Les hommes et les femmes ont-ils des cerveaux différents ?
"Il est impossible de deviner, en regardant un cerveau adulte, s'il appartient à un homme ou une femme", explique la neurobiologiste Catherine Vidal. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Propos recueillis par Lucie Soullier En distinguant l'identité sexuelle du sexe biologique, les études de genre affirment que la nature ne suffit pas à faire des hommes et des femmes. Catherine Vidal, neurobiologiste et directrice de recherche à l'Institut Pasteur a travaillé sur la plasticité du cerveau. Le cerveau du fœtus se forme-t-il différemment, au cours de la grossesse, selon que l'enfant à naître est une fille ou un garçon ? Catherine Vidal : Non, il n'y a pas de différence anatomique entre les cerveaux des fœtus filles et garçons. La seule différence que l'on peut relever concerne le contrôle des fonctions physiologiques de la reproduction. Le cerveau continue donc de se former après la naissance de l'enfant ? En grande partie, oui. C'est donc la socialisation qui forge nos cerveaux ? Absolument pas.

La plasticité cérébrale contre les stéréotypes de genre Force est de constater que malgré l'avancée des connaissances en neurosciences, les préjugés sur les différences cérébrales entre les hommes et femmes sont toujours bien vivaces. On ne cesse d'entendre dire que les femmes seraient naturellement multi-tâches et attentives aux autres, tandis que les hommes seraient nés bons en maths et compétitifs. Ces discours laissent croire que nos aptitudes, nos émotions, nos valeurs sont câblées dans des structures mentales immuables. Or malgré ces évidences l'idée d'un déterminisme biologique de nos actions perdure. Références bibliographiques: Coates J.M. and J. Vidal, C. et Benoit-Browaeys, D. (2005), Cerveau, Sexe et Pouvoir, Editions Belin. Vidal, C (2007), Hommes, femmes : avons-nous le même cerveau ? Vidal, C (2009) , Le cerveau évolue-t-il au cours de la vie ?"

A Woman’s Anger | The Fementalists Lady lazarus tweets at @ladylazarusblog and blogs at Lady Lazarus Blogs [Content note: briefly mentions self-harm] I was diagnosed with Borderline Personality Disorder (BPD) in 2004. The first time I ever heard of it was when my male psychiatrist gifted me the label. He suggested I go home and look it up, and we’d discuss it in my next session. The diagnostic criteria for BPD is changing, with the publication of the DSM-V today, but in the previous version (DSM-IV) there were nine diagnostic criteria, for which you need to meet five in order to be diagnosed. Earlier this year, I requested my patient file from all those years ago. While these interpretations of my anger were recorded in the notes, my memory is that because I didn’t accept the diagnosis, I avoided addressing my anger in therapy. I didn’t want to believe that I was angry, because I thought of myself as a good person – a good woman. I dropped out of psychiatric treatment after 18 months and got on with my life. Like this:

«Il n’existe pas 2 sexes (mâle et femelle) mais 48» Berlin, 19 août 2009, Championnats du monde, finale du 800 mètres «dames» : la Sud-Africaine Caster Semenya, 18 ans, accomplit un véritable exploit en courant la finale du 800 mètres féminin en 1 minute 55 secondes 45 centièmes. Sa victoire est de courte durée. À peine la course finie, le staff des équipes rivales et les journalistes sportifs accusent la championne d’être un homme. L’accès aux toilettes pour dames lui est interdit (alors qu’elle urine avec une vulve). Le grand public lui-même s’émeut : «La règle qu’on nous a apprise à l’école : XY : un pénis et deux testicules, XX : un vagin et deux ovaires, c’est à peine si on nous avait parlé des exceptions», s’interroge un internaute. «Les controverses soulevées par le test de féminité (3) ont ainsi contraint le milieu médico-sportif à prendre en compte les niveaux pluridimensionnels de l’identité sexuée et à s’interroger sur la définition de la «vraie femme» : définition impossible», affirme la chercheuse Anais Bohuon.

Etes-vous plutôt cerveau gauche ou cerveau droit ? | Lecture Rapide Avant de vous parler plus longuement et dans d’autres articles de la mémoire, indissociable finalement de la lecture, j’aimerais vous parler de nos deux hémisphères… Etes-vous plutôt cerveau gauche ou cerveau droit ? Voilà un débat qui oppose régulièrement les psychothérapeutes aux spécialistes des neurosciences : y a-t-il vraiment une différence entre individus côté cerveau ? Chacun d’entre nous peut-il être mis dans des cases : « hum, toi t’es vraiment cerveau gauche ! » ? Je ne vais pas répondre à cette question car je n’en ai pas les compétences, mais je vous propose d’en savoir plus sur ces deux hémisphères qui interviennent dans notre manière de lire… Cerveau gauche, cerveau droit : les deux frères ennemis Vous n’êtes pas sans savoir que notre cerveau est composé de deux hémisphères : le gauche et le droit. Ce n’est pas tout. Cerveau droit et cerveau gauche ont également des facultés différentes, des façons de fonctionner différentes et j’en passe ! Cerveau gauche : Cerveau droit :

Eating disorders and women’s roles | The Fementalists Olivia tweets at @nenfeataiko and blogs at Why Do They Do It? [Trigger warning: discusses eating disorders, without numbers.] Often when we hear about feminism and eating disorders we hear things like “the media’s focus on thinness is causing eating disorders!” or “unrealistic beauty expectations are the cause of eating disorders!” As a feminist, a woman, and someone with an eating disorder, I find these kinds of statements offensive. The real relationship between gender expectations and eating disorders is far more complicated than that. When we assert that young girls are ignorant of the effects of the media, and they are simply influenced against their will to believe they must look a certain way, we ignore the many pressures that exert themselves on women. Society puts a great deal of pressure on women. Sometimes I feel as if I’m not enough to contain everything that I need to be, all the expectations that society has for me, and all the things I’m supposed to do just perfectly.

Stéréotypes hommes - femmes : 6 clichés démontés - 30 janvier 2014 "ABCD". En février 2012, Sciences et Avenir faisait sa une sur les différences entre hommes et femmes. Un sujet plus que jamais d'actualité du fait des récentes polémiques sur l'expérimentation ABCD de l'égalité à l'école. L'occasion de revenir sur un certain nombre de clichés encore trop couramment entendus : 1) "Les femmes ne savent pas lire les cartes routières" Les garçons réussiraient mieux les tests d’aptitudes spatiales (Kimura, 1999 MIT Press, Voyer, Voyer & Bryden, Psychological Bulletin, 1995), et emploieraient des stratégies différentes pour établir un itinéraire (Choi & Silverman, 1996) clament ces deux études. D’où l’idée que les femmes ne savent pas lire les cartes routières. Mais Jing Feng, du département de psychologie de l’université de Toronto (Canada) a montré que 10 heures d’entraînement à un jeu vidéo d’action dans lequel il faut rapidement retrouver son chemin éliminaient les différences ! 2) "Les hommes sont monotâche" 3) "Les femmes sont plus intuitives"

Certaines personnes sont-elles "cerveau droit" et d'autres "cerveau gauche" ? Certaines personnes sont-elles "cerveau droit" et d’autres "cerveau gauche" ? 31 décembre 2009 La prochaine fois que quelqu’un tentera de vous vendre un bouquin ou un appareil visant à réveiller votre prétendu hémisphère droit un peu faible, planquez votre portefeuille ! Car en effet, comme de nombreux mythes, celui-ci possède un soupçon de vérité. Certaines personnes sont-elles "cerveau droit" et d’autres "cerveau gauche" ? Roger Sperry a partagé le Prix Nobel en 1981 pour ses études de référence sur des patients ayant eu le cerveau divisé, car ils sont fascinants (Gazzaniga, 1998 [2]). Dans les tests en laboratoire de Sperry, les patients fixaient leurs yeux au centre d’un écran sur lequel les chercheurs envoyaient de brefs flashs de mots ou d’images. L’hémisphère droit reçoit des entrées du côté gauche du corps et contrôle ce côté gauche, et l’hémisphère gauche fait la même chose à droite. A lire aussi :

Fatphobia and eating disorders | The Fementalists Olivia tweets at @nenfeataiko and blogs at Why Do They Do It? [Trigger warning: discusses eating disorders, without numbers. Briefly mentions self-harm] Recently I’ve been spending a lot of my time at Science of EDs, a completely fascinating website that provides a lot of information about studies and the science of eating disorders. A common trope about patients with anorexia or eating disorders is that they have a phobia of gaining weight. For a long time I bought into this trope. Over some time with my disorder, I came to understand other things as motivation for my behaviors. Now it may seem that these are exactly the same thing, but in reality there is a world of difference. There were a wide variety of reasons that people cited for wanting to lose, but the one that summed up my feelings best is as follows: “It’s like I never knew what self-respect was all about until now. But the fear of fat is rarely the motivator for losing. Loss meant a lot of things for me. Like this:

Comment la testostérone vient aux hommes (et aux femmes aussi) «Effets du comportement de genre sur la testostérone chez les femmes et les hommes», annonce le titre de l’étude*. Minute: le mécanisme n’est-il pas censé fonctionner dans l’autre sens? La testostérone n’est-elle pas un facteur explicatif de certaines attitudes associées au genre masculin – forte compétitivité, agressivité marquée, moindre empathie? Les idées courantes vont globalement dans cette direction-là. Mais l’expérience réalisée par Sari M. van Anders, Jeffrey Steiger et Katherine L. Goldey, trio interdisciplinaire des universités du Michigan et George Washington, montre, au contraire, une «relation inversée»: plutôt que de hauts niveaux de testostérone engendrant des comportements considérés comme masculins, c’est le fait d’adopter ces comportements qui fait grimper le niveau de testostérone. Déroulement de l’expérience: des comédiens des deux sexes sont recrutés pour jouer un monologue mettant en scène un acte de pouvoir (en l’occurrence, le licenciement d’un subordonné).

Plasticité neuronale Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La plasticité neuronale, neuroplasticité ou encore plasticité cérébrale sont des termes génériques qui décrivent les mécanismes par lesquels le cerveau est capable de se modifier lors des processus de neurogenèse dès la phase embryonnaire ou lors d'apprentissage. Elle s’exprime par la capacité du cerveau de créer, défaire ou réorganiser les réseaux de neurones et les connexions de ces neurones.Le cerveau est ainsi qualifié de "plastique" ou de "malléable". Ce phénomène intervient durant le développement embryonnaire, l'enfance, la vie adulte et les conditions pathologiques (lésions et maladies). Il est responsable de la diversité de l'organisation fine du cerveau parmi les individus (l'organisation générale étant, elle, régie par le bagage génétique de l'espèce) et des mécanismes de l'apprentissage et de la mémorisation chez l'enfant et l'adulte. La plasticité, une propriété complexe[modifier | modifier le code]

Hystérie, dépression: la santé mentale a-t-elle un genre? Les femmes sont deux fois plus souvent concernées que les hommes par la dépression et représentent 60% des consommateurs de benzodiazépines, comme le Valium. A la longue liste des troubles psychiatriques existants dans le DSM-5, la bible des psychiatres, s’ajoute aujourd’hui le trouble dysphorique prémenstruel, répertorié dans la dernière version du livre. Cette forme extrême de syndrome prémenstruel, qui ne toucherait en réalité que 2 à 5% des femmes, y figure désormais au même titre que le trouble bipolaire ou la dépression profonde. Pour autant, faut-il en déduire que les femmes sont plus dérangées que les hommes? L’instructive histoire de l’hystérie Angoisse, insomnie, manque d'appétit, irritabilité, nervosité, fantasmes érotiques, sensation de lourdeur dans l'abdomen, lubrification vaginale tels sont les symptômes diagnostiqués pendant des siècles chez de nombreuses femmes, considérées comme hystériques. Quand la publicité vendait le bonheur aux femmes Publicités Butisol, 1956.

Y a-t-il un alpha dans la meute? - Le Temps Ayant passé treize étés à observer une meute sur l’île d’Ellesmere, au Canada, le zoologiste états-unien L. David Mech fait, en 1999, une déclaration dont le ton penaud cache des implications fracassantes pour le petit monde des experts en loups. «On s’est trompés», dit-il, en gros, dans un article intitulé «Alpha Status, Dominance, and Division of Labor in Wolf Packs», publié dans le Canadian Journal of Zoology: les individus alpha, censés dominer le groupe à l’issue d’un processus de compétition, n’existent pas. Pas comme on le croyait, dans tous les cas. Flash-back: on est en 1947. Le Bâlois Rudolf Schenkel publie, dans la revue Behaviour, un article intitulé «Ausdrucks-Studien an Wölfen: Gefangenschafts-Beobachtungen». Une histoire de famille Le hic? Re-flash-back. Babouins et management Viennent ensuite les études en captivité: c’est en observant les babouins du zoo de Londres que le zoologiste Solly Zuckermann a élaboré la théorie de la dominance, à la fin des années 1920.

Notre cerveau est neurosocial! Voici le trosième article sur les richesses incommensurables de notre cerveau! L’article s’inspire du livre Votre cerveau n’a pas fini de vous étonner, une œuvre présentée par Patrice Van Eersel, rédacteur en chef du magazine Clés. M. Un cerveau seul, même sain, ne fonctionne pas. Les spécialistes du cerveau nous disent aujourd’hui que le cerveau est «neurosocial». Les neurones miroirs La découverte des neurones miroirs a été faite par le neurophysiologue Pr Giacomo Rizzolatti. Une découverte tout à fait par hasard. Rizzolatti va consulter ce que dit l’IRM (image résonance magnétique). Conclusion : bien que le singe était immobile, il envoyait de l’énergie à son cerveau COMME SI C’ÉTAIT LUI-MÊME qui levait la main droite pour se saisir du sandwich. Une autre situation où les zones cérébrales se mettent à résonner au signal d’identification (notamment dans le système limbique) : Ce serait pour cette raison que les humains peuvent parler. Un enfant seul ne parle pas. À suivre.

Tip: Women Are Not Weaker Than Men

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