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De l’expression "racisme anti-blancs"

De l’expression "racisme anti-blancs"
Vous savez que vous ne trouverez pas cette expression validée sur ce blog. Mais j’aimerais énumérer quelques unes des choses que j’entends et que je rapporte à celle-ci: Voilà pèle-mêle certaines des idées qui résonnent dans mon esprit quand j’entends cette expression. Elle résonne dans un endroit émotionnel spécial, et l’utiliser fait de vous un mauvais allié dans la lutte antiraciste. C’est ce que j’essayais d’expliquer (entre autres) avec force et énervement (en vain) sur ce forum. Certains n’y voient qu’une bataille de vocabulaire entre discrimination raciale et racisme. Je n’en vois pas d’autre, à part redire que le blanc a raison (et alors maintenir votre privilège). Plus sur le racisme antiblanc : Excellent texte du nègre inverti que vous pouvez retrouver dans ma blogroll. Like this: J'aime chargement…

Understanding White Privilege and Our Mental Colonisation | British Fascism Revived in Woolwich | RISE RESIST & REVOLT For the past two months, I have been hitting twitter hard with white privilege. And unsurprisingly, white twitter followers (and non followers) are filling my mentions with the likes of ‘you racist’, ‘go back to your country’. Now most who follow me on twitter, don’t really know my origin, I don’t look like a white European, my name isn’t that common, you’d only guess if you were from the same country, but due to the nature of my tweets (pro Palestine) I’m regarded as Arab or at least some ‘rag head sand nigger Muslim’. I am Muslim that’s for sure, but everything else is questionable. Now coming from an ethnic minority in the UK, having been born here (but I firmly argue that I am not from here) and been brought up here, I have decided about 2 years ago that I will go back to my own country (good news for EDL). So let’s talk about white privilege and what it is. Here’s what a white guy on the internet had to say about his privilege, quite correctly so; Haven’t we all heard it before?

Whitewashing et Racebending Alors que j’écrivais mon article sur Hunger Games, je suis retombée sur la polémique provoquée aux États-Unis par le casting. En effet, lorsque certains fans du livre ont découvert que les acteurs interprétant Rue, Thresh et Cinna (les deux tributs du district 11 et le styliste de Katniss) étaient interprétés par des acteurs noirs américains (Amandla Steinberg, Dayo Okeniyi et Lenny Kravitz), des propos haineux sont apparus sur le web. Une avalanche de tweet racistes, mentionnant notamment le personnage de Rue, plus importante dans l’histoire que les deux autres, ont suivi cette « révélation ». Pourtant Rue est décrite dans le livre comme étant « une petite fille de douze ans venant du district 11. De la même façon, Thresh est décrit comme ayant la peau et yeux brun foncés. Cependant, si le physique de Rue a déclenché une polémique, rares sont ceux qui se sont émus du choix de Jennifer Lawrence pour interpréter Katniss. Tony Mendez (à gauche) avec le président américain Carter. Julie G.

Un militant repenti balance les secrets de l'ultra-droite Damien (1) a été, pendant quatre ans, membre d'une petite organisation politique d'extrême-droite proche du Bloc Identitaire. Originaire d'un petit village dans l'Aude, il a côtoyé pendant une dizaine d'années un groupe de militants de la région dont le but était de « réveiller les consciences nationales » comme il le dit, en agissant principalement sur internet. Rangé des voitures, il a souhaité témoigner de cette période de sa vie et de ses dérives. Comment êtes-vous entré en politique ? Vous dites « semblez ». Ma vie a changé. Combien étiez-vous ? Il y a eu pas mal de changement à UR, et le petit groupe auquel j'ai appartenu après sa dissolution revendiquait une cinquantaine de membres dans toute la France. Quels étaient vos buts ? On partait du principe que notre rôle était de « réveiller les consciences nationales », de dire la vérité aux Français, qui étaient anesthésiés par les politiques et les médias. Comment procédiez-vous ? Tout était assez codifié. Bien sûr. Bien sûr que non.

Addressing Shame As White Racial Justice Advocates | Hackman Consulting Group A couple of weeks ago I read Brené Brown’s Daring Greatly (2012 Gotham Books) and while there are several valuable points to be found in her work on shame, vulnerability, and resilience, there was one set of ideas in the book that had significant resonance with what I watch white people struggle with when addressing their internal responses to issues of race, racism and whiteness. But before I expound on them I want to be very clear that I am merely adding my own thoughts onto Dr. Brown’s work and I want to give full attribution to her, her research, and the voice she brings to an important and complicated conversation about shame, vulnerability, and resilience. As such, I ask that you honor the copyright agreements for these blog postings so that her work does not somehow get lost in any re-postings. Her intent, however, is not merely to explicate the ways shame trips all of us up in our lives, it is to offer a countervailing idea she describes as “shame resilience”. Again, though Dr.

De l'urgence d'en finir avec le « racisme anti-blanc » Parler de « racisme anti-blanc » c’est confondre ce qui relève des émotions, de la colère et ce qui a trait aux discriminations. En d’autres termes, c’est confondre les relations interpersonnelles et les rapports sociaux [1]. Ainsi, si Fatima, Mohammed, ou Fatou traitent Marie et Louis de « sales français » (relation interpersonnelle), le désagrément certain que constitue l’insulte sera mis sur le même plan que le fait que Fatima, Mohammed et Fatou risquent de voir leur CV refoulés en raison de leur couleur de peau, celle-ci signifiant une origine « autre », qu’elle soit réelle ou supposée (rapport social). Par ailleurs, on pourrait réfléchir au fait qu’être anti français, c’est être anti blanc, aux yeux de ceux qui s’émeuvent des ravages dudit « racisme anti-blanc ». Or dans ce contexte, il ne peut y avoir de commune mesure entre les positions de ceux qui discriminés, peuvent insulter par rage, et ceux qui se retrouvent privilégiés par un rapport social. “il y a des blancs pauvres !

"That's Racist Against White People!" A Discussion on Power and Privilege Lately, I’ve been hearing a lot of White people screaming about racism. I wish these were anti-racist ally White people who were speaking about the prison industrial complex or about systems of privilege and oppression, but no. These are White folks who are claiming that the Obamacare tax on tanning beds is “racist” against White people. These are White folks who are claiming that affirmative action is racist against them. These are the White folks who honestly believe they suffer more racism than people of Color. And every time I hear these folks cry racism, I can’t help but think: And it’s not just people of racial privilege who are doing this! Certain Christians claim they are being religiously oppressed because the rights of Lesbian and Gay people are now being recognized at federal and state levels. There is absolutely no acknowledgement of wider systems of oppression and power. And this is no accident. Precision of Language Yes. “But Why Can’t I Say the N-Word?” Shifting the Conversation

ellescomptent | This WordPress.com site is the cat’s pajamas Mieux vaut être blanc pour intégrer Cambridge et Oxford Recevez nos newsletters : Les étudiants blancs ont 20% de chances de plus d’être admis en médecine à l’université de Cambridge que les étudiants issus de minorités ethniques, rapporte le Guardian. Ils ont le même niveau d’excellence et visent une université de renom. Mais pour entrer à Cambridge, mieux vaut être blanc pour maximiser ses chances de réussite au recrutement. Parmi les meilleurs élèves, 56% des étudiants blancs sont acceptés en médecine contre 46% des étudiants de minorités ethniques. Les statistiques décryptées par le Guardian parlent d’elles-même: l’université filtre bien les candidats selon leur origine ethnique. L’université de Cambridge argue que les candidats de minorités ethniques sortis du lycée postulent en masse dans les filières les plus sélectives, comme en médecine. Le Guardian a fondé ses recherches sur les résultats à la sortie du lycée: avec trois A à l’équivalent du bac français, on juge l’élève excellent. Cambridge n’est pas une exception.

VIDÉO. États-Unis : un raciste apprend en direct qu'il a du sang noir Craig Cobb, un Américain de 62 ans, doit avoir du mal à trouver le sommeil. Et pour cause, ce suprémaciste blanc, qui tient le racisme pour religion, a appris en direct que du sang africain coulait dans ses veines. Un comble pour celui qui rêve de fonder une communauté 100 % blanche à Leith, une bourgade tranquille du Dakota-du-Nord. Sous le choc, le suprémaciste blanc, désormais Africain à 14 %, a plaidé pour l'erreur statistique. Maintenant que l'ADN de Craig Cobb a parlé, il y a fort à parier que ses amis racistes ne l'accepteront plus dans leur bande. VIDÉO : Regardez Craig Cobb apprendre que du sang africain coule dans ses veines :

Watching TV Boosts the Self-Esteem of White Boys - Hans Villarica New research in Communication Research uncovers a surprising exception to the typical correlation between TV viewing and decreased self-confidence. greenland/Shutterstock PROBLEM: When kids aren't in school, there's a good chance they're sprawled on their couch living vicariously through the characters they watch on TV. METHODOLOGY: Researchers Nicole Martins and Kristen Harrison surveyed 396 white and black preadolescent students in communities in the Midwest. RESULTS: TV time was significantly related to children's self-esteem. Martins explains in a statement that girls appear to be influenced by one-dimensional, sexualized depictions of women, while black boys may be disturbed by their TV counterparts, who are often criminalized or shown as hoodlums and buffoons. CONCLUSION: Watching TV can decrease the self-esteem of children, except white boys.

Practical Ways We Can Stop Centering Everything Around White People’s Feelings | Opine Season Kyle “Guante” Tran Myhre Fun fact: white people’s feelings are magic. They can bring any conversation, meeting or movement to a halt. In a debate, they can outweigh even the most credible, concrete evidence. Because of all this, any conversation about social justice, power, or history is going to naturally settle into orbit around white people’s feelings. But when social justice education and/or media focuses solely on understanding racism through a white privilege framework, that can recreate the same oppressive structures we’re trying to destroy. As someone who is both a social justice educator and who identifies as at least somewhat white myself, I’d like to explore some other options. Triage Maybe that’s a strong word, but in social justice education spaces, we can acknowledge that some material is going to make white people (or men, or straight people, or any other privileged group) sad. Brave Spaces vs. Like this: Like Loading... About Guante

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