background preloader

Toyotisme Diapo

Toyotisme Diapo
Related:  CHAP.8 COMMENT ASSURER UN FONCTIONNEMENT COHÉRENT DES ORGANISATIONS ?

Les styles de direction – la décentralisation du pouvoir Introduction : Professeur de psychologie industrielle à l’Université du Michigan aux Etats-Unis, Rensis Likert (1903-1980) conduit des recherches sur les attitudes et les comportements humains au travail. […] I – Les styles de direction A – Les styles de direction selon Rensis Likert Professeur de psychologie industrielle à l’Université du Michigan aux Etats-Unis, Rensis Likert (1903-1981) conduit des recherches sur les attitudes et les comportements humains au travail. […] Il cherche à comprendre dans quelle mesure la nature des relations entre supérieurs et subordonnés peut conduire à des résultats très différents dans un contexte organisationnel identique. Source : Jean-Michel Plane, Management des organisations, Dunod, 2003 1 – Le manager autoritaire Il ne fait aucune confiance à ses collaborateurs. 2 – Le manager paternaliste Il est très autoritaire comme le précédent mais il peut être plus proche de ses collaborateurs parfois car les relations se fondent davantage sur la confiance.

Lumni | Enseignement - Le Toyotisme : une nouvelle forme de l'organisation du travail Proposé par Institut national de l’audiovisuel Date de diffusion : 05 nov. 1998 Contexte historique A chaque système technique correspond une forme d'organisation et de rémunération du travail. La première rupture vint de Taylor qui formalisa le premier le système de production industrielle qui allait dominer le XXe siècle. Ils furent tous deux battus en brèche sous l'effet des bouleversements technologiques et notamment du perfectionnement des machines-outils. Le toyotisme repose essentiellement sur le passage du travail à la chaîne au travail en équipe. Bibliographie : Koichi Shimizu, Le toyotisme, Paris, La Découverte, 1999, 118 p. Éclairage média Laisser filmer le travail n'est pas toujours très intéressant pour une société qui souhaite promouvoir son image à travers le monde. Cette vision, un peu sombre qui embarrasse la direction de l'usine, est vite compensée par un entretien avec un ouvrier en pleine séance d'entraînement de golf.

Étendue et perception de la violence au travail. Observatoire du bien-être. Mars 2020. L'Observatoire du Bien-être (CEPREMAP) publie une note sur les comportements hostiles subis au travail. Avec une personne concernée sur trois dans l'enquête Conditions de travail, le phénomène est malheureusement fréquent. En France en 2015, 20 % des femmes et 15,5 % des hommes déclarent avoir subi au moins un fait de violence au travail au cours des douze derniers mois. Cette étude montre que les comportements se cumulent souvent, et prennent rapidement une coloration sexuelle quand les victimes sont des femmes. Note de l'Observatoire du Bien-être n° 2020-03, mars 2020. par Iris Laugier. Résumé La violence au travail n'a en France rien d'anecdotique. Les femmes sont plus souvent que les hommes victimes de ces comportements, hostiles, et particulièrement ceux comportant une teneur sexuelle. Pour aller plus loin :

Pourquoi Steve Jobs divise autant? «C'est un peu comme quand John Lennon est mort, ou JFK, ou peut-être Martin Luther King: c'est comme un grand trou qu'on ressent». Ce sont les mots de Steve Wozniak, le co-fondateur d'Apple, à la mort de son ami Steve Jobs. C’est aussi ce que le monde des nouvelles technologies et les fans d’Apple expriment depuis mercredi, date du décès. Mais Steve Jobs a longtemps suscité les divisions autour de sa personne, autant que les compliments et les élégies. Dans les années 70, Steve Jobs, qui travaille un temps pour Atari avant de fonder Apple avec Wozniak, en 1976, passe pour un arrogant effréné. Selon Andy Hertzfeld, salarié d’Apple des premières heures, «beaucoup d’employés avaient peur de Steve Jobs, à cause de ses crises de colères, de sa propension à dire aux gens exactement ce qu’il pensait, et qui n’était que rarement positif»… Le «dictateur» Un article publié dans le magazine Fortune l’été dernier allait dans le même sens. «Inhumain» Opacité

Favi, l’usine qui tourne sans chefs Depuis près de trente ans, ce sous-traitant picard pour l’industrie automobile pousse ses 400 ouvriers à élire leurs responsables et à travailler sans hiérarchie. Et le succès de son modèle fait réfléchir. Posée comme un ovni au milieu des champs, à Hallencourt, commune coincée entre Amiens et la baie de Somme, l’usine Favi – Fonderie et ateliers du Vimeu – tourne sans discontinuer au rythme des trois huit. Abonnez vous à l'édition digitale Définition du lean, démarche lean - comprendre ce que c'est La définition du Lean Management a été donnée par J. Womack et D. Jones dans les années 90 (« The Machine That Changed The World », « Système Lean » en Français). Le but du Lean : Construire sur le long terme La pérennité et la rentabilité de l’entreprise et des emplois passent par la satisfaction des clients et de leur envie de revenir. Andon, obeya, management visuel… : les outils Lean sont des outils d’apprentissage En dynamisant toute l’entreprise. L’engagement des clients et leur envie de promouvoir les produits ou services qu’ils ont acheté naît de l’engagement des salariés de l’entreprise. Fluidité des idées et des produits / services La fluidité des idées résulte de la collaboration encouragée entre équipes et du partenariat développé avec les fournisseurs. Engagement et fluidité dynamisent l’entreprise et la font rentrer dans une phase de croissance des ventes. L’autonomie des équipes sur le gemba

Atelier JECO : Travailler, échanger, apprendre à l'ère du numérique Atelier pédagogique DGESCO « Travailler, échanger, apprendre à l'ère du numérique », proposé par le site SES-ENS (DGESCO/ENS de Lyon) et l'Inspection pédagogique régionale de l'académie de Lyon, en partenariat avec la DGESCO-Ministère de l'Éducation nationale. Date : 18 novembre 2020, dans le cadre de la programmation off des Journées de l'économie de Lyon. Présentation de l'atelier Le numérique a envahi notre vie quotidienne. Il transforme en profondeur nos manières de consommer, de travailler, de nous divertir, de nous informer, d'interagir avec les autres ou de nouer des relations sociales. L'atelier abordera plusieurs dimensions de cette « révolution numérique » : - les bouleversements de l'organisation du travail et du rapport au travail, mais aussi de la vie sociale et des usages de l'habitat, lorsque le travail devient nomade et s'invite dans notre intimité grâce à l'emploi des nouvelles technologies. Intervenants L'essor du travail chez soi et du travail multi-situé 1. 2. 3. 4. 5.

toyotisme et rotation A chaque système technique correspond une forme d'organisation et de rémunération du travail. Les innovations techniques, pour exister, doivent être acceptées par un système social préexistant et qu'elles contribuent à modifier. Les sociétés industrielles, dès le XVIIIe siècle, se sont employées à briser des formes anciennes de solidarité entre ouvriers, comme les corporations. Au cours du XIXe siècle, le monde du travail est marquée par la très grande liberté laissée aux entrepreneurs. Dès le début du XXe siècle, les choses évoluent en faveur des salariés auxquels on assura un certain nombre de droits sociaux. La première rupture vint de Taylor qui formalisa le premier le système de production industrielle qui allait dominer le XXe siècle. Ils furent tous deux battus en brèche sous l'effet des bouleversements technologiques et notamment du perfectionnement des machines-outils. Le toyotisme repose essentiellement sur le passage du travail à la chaîne au travail en équipe.

Les "jobs à la con" sont partout (et c’est à ça qu’on les reconnaît…) 2018 En 2013, dans un article paru dans le magazine Strike, David Graeber nous alertait sur la multiplication des « Job à la con », ces emplois rémunérés inutiles, superflus et néfastes, au point que même les salariés qui les occupent ne parviennent pas à en justifier l’existence, en particulier lorsqu’on les compare à des professions comme celles du professeur ou de l’infirmière, moins bien payés en dépit de leur importance. David Graeber avait ouvert sans le savoir les vannes d’un malaise de plus en plus présent dans le monde du travail. Devenu viral, son article a provoqué une pluie de réactions mondiales et un abondant courrier des lecteurs dont il tire aujourd’hui un livre, Bullshit Jobs (Les Liens qui Libèrent, 2018), une analyse étayée de nombreux témoignages qui soulèvent tous la même question : A quoi bon ? A quoi je sers ? Pour quoi faire ? Une des choses qui m'a le plus impressionné, c'est de voir à quel point les gens étaient malheureux. (...) Extraits sonores :

Repenser le travail avec le télétravail - Thot Cursus Le télétravail n’a rien de neuf. Avec l’avènement de technologies, d’applications fiables et d’Internet devenant de plus en plus rapide, tout s’est mis en place afin de faciliter ce type de boulot à distance. Néanmoins, cette approche professionnelle restait encore marginale, hormis peut-être dans les milieux des technologies de l’information. Et puis est arrivé le COVID-19… Le confinement décrété a tout changé. Pour éviter une courbe de contagion trop importante, il a fallu confiner la majeure partie de la population. Les leçons de la pandémie En effet, il a fallu à de nombreuses institutions et entreprtises, réfléchir et se tourner rapidement vers des solutions de télétravail. Comme le disait cette présentation que nous avons abordée ici à la fin du mois de mars 2020, la communication est la clé de ce type d’organisation professionnelle. Une approche favorisant l’engagement Ont-ils raison d’avoir ces craintes? Après, cela dépend des situations. Illustration : maitematas de Pixabay

ina "Les femmes ont toujours travaillé" : les inégalités au travail, le fruit d'une longue histoire Cet article date de plus de trois ans. Publié le 06/11/2019 11:50 Durée de la vidéo : 6 min. Article rédigé par Depuis ce 5 novembre à 16h47, symboliquement, les femmes travaillent gratuitement pour compenser leurs écarts de salaire avec les hommes. Dans l'imaginaire collectif, nombreux sont ceux qui s'imaginent que les femmes ont commencé à travailler après la Seconde Guerre mondiale. À l'époque, l'intérêt était surtout porté sur le travail des hommes et non sur celui des femmes. Enfin, les femmes ont dû attendre longtemps avant de prétendre au droit d'être rémunérées. Aujourd'hui, il y a 27 % d'écart entre le salaire moyen des femmes et celui des hommes. Partager l'article sur les réseaux sociaux : Partager :

Related: