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Droit et cultures - Revue internationale interdisciplinaire

Droit et cultures - Revue internationale interdisciplinaire

Les Classiques des sciences sociales Abel-Rémusat, Jean-Pierre [1788-1832] sinologue, titulaire de la 1re chaire de langue et littérature chinoise au Collège de France [ sous-collection "Chine ancienne" ] Adler, Alfred [1870-1937] psychanalyste Alain (Émile Chartier) [1868-1951] philosophe français Alexéiev, Basile [1881-1951] professeur au Collège de France Alexis, Jacques Stephen [1922-1961] Écrivain, homme politique et médecin haïtien [sous-collection "Études haïtiennes"] Alexis, Stephen [1889-1962] Diplomate, enseignant, historien, journaliste et écrivain haïtien né aux Gonaïves, père de Jacques Stephen Alexis. [sous-collection "Études haïtiennes"] André, Yves-Marie, jésuite [1902-1954] Professeur de mathématiques à Caen en Normandie Anglès d'Auriac, Jean [1902-1954] Docteur ès Lettres, professeur à la Faculté des Lettres de Rennes Archambault, Paul [1883-1950] Asselin, Olivar [1874-1937] journaliste, pamphlétaire et militant nationaliste canadien-français Auteurs inconnus Aveling, Edouard César, Jules [100 avant J.

Parlement(s) de Paris et d'ailleurs (XIIIe-XVIIIe s.) | Chronique des recherches dans des archives hors norme Les conférences du Collège de France Depuis sa création en 1530, le Collège de France poursuit une mission originale et singulière : enseigner non pas des vérités acquises mais le savoir en train de se faire. Le noyau de son activité est constitué par les cours qu’y donnent chaque année ses professeurs. Mais la vie scientifique et intellectuelle du Collège s’étend bien au-delà. La recherche aujourd’hui est plus que jamais collective et internationale, et ses cinquante-sept chaires organisent régulièrement des séminaires et des colloques où se retrouvent des chercheurs du monde entier. Chaque année, l’assemblée des professeurs invite plusieurs dizaines de savants étrangers pour des conférences ou des cycles de conférences. La collection « Conférences du Collège de France » veut être le reflet de cette activité foisonnante et la faire connaître auprès d’un large public, en France et à l’étranger. La collection « Conférences du Collège de France » publiera notamment :

Journée d'étude "Corps, communautés, minorités" - Institut Michel Villey L’Institut Michel Villey organise le mardi 2 octobre 2012 une journée d’étude intitulée : Corps, communautés, minorités Responsable : M. le Pr François Saint-Bonnet De 10h à 12h30 sous la présidence de M. le Pr Beaud, Université Paris II Panthéon-Assas Cécile Laborde (professeur à l’University College London) : « Qu’est ce que la liberté religieuse ? Sophie Guérard de Latour (maître de conférences à l’université Paris I Panthéon-Sorbonne) : « Le concept de « communauté » dans les débats sur la citoyenneté différenciée » François Saint-Bonnet (professeur à l’université Paris II Panthéon-Assas) : « Les conditions d’un droit d’association moderne » Mélanie Plouviez (post-doctorante à l’Institut Michel Villey) : « La corporation durkheimienne, une communauté ? De 14h30 à 17h30 Sous la présidence de M. le Pr Baranger, Université Paris II Panthéon-Assas Jacques Krynen (professeur à l’université de Toulouse 1 Capitole) : « Les désunions de la magistrature. A propos de cette journée d’étude :

Annales historiques de la Révolution française Bettencourt a signé un chèque à l’association de sout Depuis la divulgation des écoutes clandestines réalisées par le maître d’hôtel de Liliane Bettencourt, de nombreuses interrogations s’étaient levées autour de trois versements effectuées par la milliardaire à trois personnes, "Eric Woerth", "Valérie Pécresse" et "Nicolas Sarkozy", citées dans les conversations du 4 mars 2010. Le gestionnaire de la fortune de Liliane Bettencourt a donné des explications parfois contradictoires, et les intéressés n’avaient à ce jour pas apporté d’éclaircissements. Le Nouvel Observateur révèle dans son édition de jeudi ("Bettencourtgate, la main de l’Elysée", par AC et MFE) que Patrice de Maistre - dont l’avocat est également chargé depuis peu de régulariser les "oublis" fiscaux de Mme Bettencourt - a retrouvé trace non pas de trois, mais de quatre chèques. Le premier est établi à l’ordre de l’Association de soutien à Valérie Pécresse, - montant, 4600 euros - en ce printemps 2010. Selon Patrice de Maistre, Il n’a pas été débité. (Nouvelobs.com)

Le Démon de l'analogie (roman, théâtre, poésie) Appel à communications Le Démon de l’analogie Colloque organisé par le CRCLL/CERR Université de Picardie-Jules-Verne 11-12 décembre 2012 Organisation : Christian Michel - Olivier Kachler Rejetée, disqualifiée, voire méprisée, l’analogie semble avoir quasiment disparu du champ de la pensée occidentale. Au regard de la rationalité classique (supposément aristotélicienne), l’analogie s’avérerait un processus a-logique, sous l’espèce d’une ressemblance vague, séduisante peut-être mais assurément trompeuse (Jacques Bouveresse, Vertiges de l’analogie, 1999). Ce colloque entend ainsi redonner à l’analogie toute sa valeur de processus intellectuel original, et repenser sa force heuristique, tant locale que globale, selon les diverses perspectives impliquées par ce point de vue : stylistique, rhétorique, poétique ou encore épistémologique. Le colloque se tiendra les 11 et 12 décembre 2012 à l’Université de Picardie-Jules-Verne (Amiens).

Champ pénal Infoguerre Marcel Mauss aujourd’hui Marcel Mauss est le fondateur paradoxal de l’anthropologie française. Il est d’abord le plus célèbre des disciples de Durkheim, dont il prolongea l’œuvre scientifique en prenant la responsabilité de L’Année sociologique après la première guerre mondiale. Quiconque lit Mauss se rend pourtant bien vite compte que son œuvre doit beaucoup moins à la sociologie durkheimienne que l’on peut le supposer. Dès le début de sa carrière, il prend ainsi pour objet principal des éléments de culture appar- tenant aux sociétés non occidentales, « archaïques » ou « primitives » dans le vocabulaire de l’époque : Mauss semble privilégier l’étude des formes de socialité africaines, amérindiennes, australiennes ou océaniennes. Ainsi, n’est-ce pas Mauss qui aurait mis Durkheim sur la piste du totémisme australien comme forme élémentaire de la vie religieuse ? Organisé par le Centre d’anthropologie culturelle (CANTHEL)

La violence commanditée Notes D’après PAUL -ÉMILE LITTRÉ, Dictionnaire de la langue française, article « tueurs », t. 6, Paris, 1877, p. 6522. À partir de l’édit de 1547, le supplice de la roue peut être appliqué aux auteurs « d’assassinements », c’est-à-dire aux meurtres commis par des tueurs stipendiés. C. 9,16, Ad legem Corneliam de sicariis, 6. Sur l’usage très rare qu’en fait Jean Le Coq et le parlement de Paris à la fin du XIVe siècle, voir MARGUERITE BOULET, Questiones Johannis Galli, Paris, De Boccard, 1944, p. 363-364. Sur le crime de poison qui peut être stipendié, mais qui ne sera pas envisagé ici, voir FRANCK COLLARD, Le crime de poison au Moyen Âge, Paris, PUF, 2003. Archives nationales (abrégées par la suite AN), X2a 24, fol. 16v, 12 mars 1444. Je me permets de renvoyer à CLAUDE GAUVARD, « Conclusion », in Id., Violence et ordre public au Moyen Âge, Paris, Picard, 2005, p. 265-282. RABANUS MAURUS, Commentaria in libros Machabaeorum, PL, t. 108, col. 1218C. Id., De victoria verbi Dei, ibid., col. 30. P.

La-pensée-Lévi-Strauss 1Les polémiques récentes sur la famille et le couple homosexuels ont propulsé dans l’arène politique les théories de Claude Lévi-Strauss sur la parenté. Après un demi‑siècle d’enfouissement dans les bibliothèques universitaires et les séminaires d’anthropologie, Les Structures élémentaires de la parenté (1949) devenait le cheval de Troie des adversaires du PaCS et de l’homoparentalité, surtout parmi la gauche conservatrice. Dans la presse et les commissions parlementaires, ce fut à qui citerait les Structures élémentaires, ouvrage admirable que son extrême degré de technicité ne paraissait pas programmer pour un semblable destin. 1 Au sens premier du terme, ceux qui vont contre l’évolution des mœurs – ici, le projet d’un Pacte Ci (...) 2Bien sûr, le débat politique portait sur notre parenté (à propos de laquelle Lévi‑Strauss est à peu près muet) et non sur celle des Murngin, des Arapesh ou des Iroquois. 3 Cf. 4Et Lévi‑Strauss, que pensait‑il de tout ce tintouin ?

IMAJ | carnets de recherches en Analyse Juridique de l’IMage

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