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Mind mapping, conférence au Cned 1/2

Mind mapping, conférence au Cned 1/2

Stratégies d’apprentissage et performance scolaire. (partie 2) (Voir la première partie de l'article) ;;;;;• L’écart de performance entre élèves favorisés et élèves défavorisés pourrait se réduire sensiblement Les résultats de l’enquête PISA montrent que l’écart de performance entre élèves favorisés et élèves défavorisés pourrait se réduire sensiblement si ces derniers avaient une meilleure connaissance des stratégies efficaces d’apprentissage. Dans 31 pays et économies, si les élèves les plus défavorisés avaient le même niveau de connaissance des stratégies efficaces de synthèse que les élèves les plus favorisés de leurs pays et économies, leur performance en compréhension de l’écrit s’améliorerait d’au moins 15 points. En moyenne, dans les pays de l’OCDE, le potentiel inexploité des élèves défavorisés, représenté par leur faible niveau de connaissance des stratégies efficaces d’apprentissage, s’élève à 17 points de score PISA. ;;;;;• Pas de lien de causalité au sens strict Page 1 -- Voir suite page 2 Texte et dossier: OCDE 2014

Ressources sur les cartes heuristiques — Lettres Des exemples de pratiques Fiches d'activités pédagogiques avec utilisation de la carte heuristique en Lettres (voir dans l'encadré ÉDU'base Lettres, classées par niveau) Le site du groupe de travail GT Lettres et TICE de Besançon : Enseigner les lettres avec les cartes heuristiques (Bernard Maréchal) Utiliser les forums d'un ENT et les cartes heuristiques (Philippe Godiveau, Orléans-Tours) Témoignages vidéo Les cartes heuristiques en classe de français (Félix Luschka, académie de Montpellier) sur le site de l'Agence des usages des TICE (6 mn 40) Les vidéos sur éduscol Lettres : deux reportages en classe et les témoignages des élèves et des professeurs Ce dossier ! Ressources documentaires

Patrick Rayou : " Essayer de comprendre pourquoi les enfants ne comprennent pas" Comment aider les élèves ? C'est la question, entre autres, de la réforme du collège. C'est aussi le sujet de l'important rapport "Qu'est ce qui soutient les élèves ?", que le Café pédagogique a présenté le 12 février, Patrick Rayou, co-auteur de ce rapport, en éclaire certains points. Une expression revient souvent dans le rapport c'est l'idée d' une "pensée magique" du soutien. Dans certains cas elle est attribuée aux élèves dans d'autres aux professeurs. Pour les enseignants, il peut y avoir la même croyance. Faut-il l'écarter la motivation ? Bien sur que non. Une autre idée du rapport c'est la place du travail. Anne Barrère dans sa thèse sur les lycéens et les enseignants au travail (1) montre bien que cette croyance est partagée par tout le monde et qu'elle va avec la méritocratie. Ce que dit Anne Barrère c'est que ça marche très bien pour ceux qu'elle appelle "les bosseurs" ils travaillent et réussissent. Finalement aider vraiment les élèves ce serait faire quoi ? Bien sur. Note :

Passer un examen avec les cartes heuristiques Voici ce que la technique des cartes heuristiques m’a apporté, trois ans après avoir suivi la formation de Frédéric Le Bihan : de la difficulté à prendre des notes sous forme de cartes ; paradoxalement : la facilité à mobiliser ses connaissances ; un gain en rapidité, et surtout avoir davantage confiance en soi ; le respect de la méthode de dissertation classique et académique malgré l’usage de cartes heuristiques ; l’apport des cartes à l’oral. Une difficulté à prendre des notes sous forme de cartes La première réflexion qui me vient à l’esprit quand je fais le bilan de l’apport des cartes heuristiques, c’est la difficulté rencontrée pour les mettre en œuvre dans le cadre de mes études : il y a une nuance importante et un effort à faire entre 1) constater en formation l’efficacité évidente de la technique et le gain de temps qui s’en suit et 2) passer à l’acte. Une facilité à mobiliser ses connaissances Un gain en rapidité et davantage de confiance en soi L’apport des cartes à l’oral

Un centre dédié aux sciences de l'apprentissage est créé à la Faculté des sciences de l'éducation Un centre dédié aux sciences de l'apprentissage est créé à la Faculté des sciences de l'éducation. Les sciences de l'apprentissage abordent l'apprentissage à travers le concept d'architecture cognitive.Photo: Istock L'antenne uqamienne du Centre for the Study of Learning and Performance (CSLP), fondé en 1988 à l'Université Concordia, a été officiellement reconnue par le Conseil d'administration de l'UQAM, qui lui a accordé le statut de centre institutionnel de recherche et de création le 1er juin dernier. Financé par le Fonds de recherche Société et culture du Québec (FRQSC) pour une durée minimale de trois ans, le nouveau Centre pour les sciences de l'apprentissage (CSLP UQAM) regroupe une douzaine de chercheurs provenant des quatre départements de la Faculté des sciences de l'éducation – didactique, didactique des langues, éducation et formation spécialisées, éducation et pédagogie. Cognition et environnements d'apprentissage Julien Mercier. Collaborateurs et partenaires du CSLP

Éloge de 
la curiosité Naturelle chez les enfants, peu encouragée dans l’enseignement, mal vue dans la plupart des institutions (privées et publiques), la curiosité a traditionnellement mauvaise cote. En français, on dit volontiers qu’elle est un « vilain défaut ». Plus métaphorique, l’anglais dit qu’elle « a tué le chat ». Et, signe patent de notre culture à dominante machiste, c’est toujours la faute des femmes. L’envie de goûter la pomme fait d’Eve la responsable de notre expulsion du jardin d’Eden. La curiosité de Pandore a lâché sur nous tous les maux de l’humanité. Voilà qui nous prépare mal à survivre et prospérer par ces temps qui courent si vite. Faire face à l’incertitude. Aborder les conflits avec un état d’esprit qui nous rend « plus créatif dans la recherche de solutions ». De se lancer dans l’expérimentation avec l’espoir de trouver de nouvelles réponses concrètes permettant de changer la façon d’opérer dans le monde. La curiosité commence à être reconnue comme un atout.

Curiosity Is as Important as Intelligence There seems to be wide support for the idea that we are living in an “age of complexity”, which implies that the world has never been more intricate. This idea is based on the rapid pace of technological changes, and the vast amount of information that we are generating (the two are related). Yet consider that philosophers like Leibniz (17th century) and Diderot (18th century) were already complaining about information overload. The “horrible mass of books” they referred to may have represented only a tiny portion of what we know today, but much of what we know today will be equally insignificant to future generations. In any event, the relative complexity of different eras is of little matter to the person who is simply struggling to cope with it in everyday life. 1. Complex environments are richer in information, which creates more cognitive load and demands more brainpower or deliberate thinking from us; we cannot navigate them in autopilot (or Kahneman’s system 1 thinking).

Mind mapping, conférence au Cned 1/2 by pasof Apr 7

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