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Les community managers sont des putes

Les community managers sont des putes
J’ai lancé cette phrase à Ouessant lors d’une conférence. Comment vais-je la concilier avec le cours et la conférence publique que je donnerai la semaine prochaine à Lausanne dans le cadre d’une nouvelle formation lancée par le Centre suisse d’enseignement du marketing (SAWI). Leur objet sera justement la gestion des communautés. Depuis que je tiens mon blog, je suis un community manager. J’essaie de répondre aux commentateurs, j’écris parfois des articles pour préciser ou répéter ce que j’ai déjà dit, je dialogue avec mes lecteurs sur Twitter, un peu sur Facebook, j’interagis avec d’autres blogueurs à travers leurs propres articles quand ils croisent mes sujets de réflexions, je suis toujours disponible pour des rencontres IRL chez moi, dans les cafés, lors de débats. Suis-je pour autant une pute ? Comme toute communauté, elle se transforme sans cesse. Maintenant, quand une entreprise embauche un community manager, a-t-elle les mêmes objectifs que moi ? Et ne me traitez pas ne naïf.

Facebook Page Or Group: Which Should You Use? This is an updated version of our previous post on Facebook groups vs pages. Over the past couple years the Facebook Pages and Groups products have moved closer together, forcing marketers to ask themselves: which one should they use? After writing a complete guide to Facebook Pages, we thought it would be useful to highlight the core differences between Facebook Pages and Facebook Groups. If you had any lingering questions, this guide should completely clear things up for you! If you don’t know what Facebook groups are, there’s a good chance you haven’t spent more than an hour on Facebook. Groups can serve as an extremely effective marketing tool. In contrast to Facebook groups, which are focused on organizing around topics or ideas, Facebook Pages “allow entities such as public figures and organizations to broadcast information to their fans.” Simply put, Facebook Pages are a tool for companies and public figures to engage their fans and customers. Mass Messaging Stream Publishing

Internautes, ne propagez pas la rumeur ! La révolution du jasmin en Tunisie, bientôt considérée comme l'événement fondateur du printemps arabe dans les médias, fut aussi le triomphe des médias sociaux, utilisés tant pour l'organisation des manifestations que pour informer le monde de ce qui se passait dans les rues de Kasserine, de Tunis et d'ailleurs. Oui mais voilà : ces médias sociaux, acclamés par les évangélistes du Web 2.0, n'ont pas seulement transmis la vérité d'une résistance en train de se transformer en renaissance; ils ont aussi transmis de nombreuses rumeurs, inexactitudes et calomnies. Et ils continuent de le faire. Les médias sociaux, anges ou bêtes ? Dès le mois de janvier 2011, dans l'émission L'Atelier des médias sur RFI, Julien Pain alertait sur ce phénomène : "En Tunisie, à la suite du départ de Ben Ali, on a beaucoup parlé de prétendues milices, à la solde du président-dictateur déchu, qui pillaient la ville. Ce phénomène n'est évidemment pas propre à la Tunisie. Lutter contre la rumeur : chacun ses armes

Les "Groupes" de Facebook suscitent un tollé - LEXPANSION Le site de socialisation Facebook est confronté à un tollé de ses utilisateurs, inclus sans le vouloir dans des "groupes" d'amis formés sur le site, une innovation pourtant censée leur donner plus de contrôle dans la gestion de leurs informations. Deux autres innovations annoncées mercredi ne font pas débat, même si certains jugent qu'elles pourraient être affinées: l'une permet de télécharger toutes les informations qu'on a confiées au réseau social, afin de pouvoir les utiliser sur d'autres supports, et l'autre de mieux contrôler les applications utilisées et les données qu'on leur confie. En revanche, la fonction "Groupe", qui remplace une application de liste d'amis largement ignorée, a suscité un tollé. Jason Calacanis, une des figures les plus connues de la Silicon Valley, s'est ainsi rendu compte que l'un de ses "amis" de Facebook l'avait inscrit sans le consulter à un groupe d'une association prônant "l'amour homme/garçon". Là encore, M.

Quel temps de réaction pour un Community Manager ? Cet article a été publié il y a 2 ans 4 mois 3 jours, il est possible qu’il ne soit plus à jour. Les informations proposées sont donc peut-être expirées. Internet, en général, et les réseaux sociaux en particulier ont pour effet de raccourcir les temps et délais. Les emails occupent toujours une place prépondérante dans le cadre des contacts entre les entreprises et leurs clients. Le panorama n’est cependant pas aussi idéal que ce chiffre le laisse supposer. Ajoutons à cela que c’est au moment, où une certaine maturité au niveau des réponses est atteinte que les habitudes des internautes évoluent…. vers d’autres supports Les entreprises ont, sur leurs sites web, des liens indiquant leurs comptes Twitter et Facebook Tout naturellement, les internautes se redirigent donc vers ces supports. L’impatience des utilisateurs est grandissante. Cela génère un phénomène bien particulier : en ce qui concerne l’email, les temps de réponse acceptés sont de l’ordre de la journée voir de 48 heures.

Mieux organiser son travail face aux interruptions Twitter et Facebook 01Business le 05/10/10 à 16h00 © smlions12 / Flickr The Art of Procrastinating Par Rishi Bandopadhay C'est une situation que les accros au web 2.0 connaissent bien : vous avez un dossier urgent à boucler et vous vous donnez deux bonnes heures de travail. C’est pourquoi des logiciels d’aide à la concentration commencent à faire leur apparition. Le web social peut vite devenir un gouffre pour la productivité. Accès limité aux sites professionnels Freedom, disponible sur Mac et Windows à partir de 10 dollars, suspend les connexions réseaux pendant un temps configurable, ou garde un accès au réseau local pour l’impression. Plus complet, Concentrate (uniquement sur Mac, 29 dollars) sert à définir les applications et les sites autorisés ou non, selon le type d’activité. Au final, nous ne sommes pas très éloignés des méthodes classiques de sevrage.

Taxonomie des données sociales Par Hubert Guillaud le 02/09/10 | 7 commentaires | 3,703 lectures | Impression Pour mieux répondre aux nombreuses questions que posent la vie privée des utilisateurs à l’heure des sites sociaux, le spécialiste de la sécurité, Bruce Schneier a tenté de construire une intéressante Taxonomie des données, car ce qu’on appelle données dans le monde des sites sociaux recouvre plusieurs réalités différentes (voir notre dossier Critique du Web²). Il distingue ainsi : Des “données de services” : les données que vous confiez à un site social afin de l’utiliser. Ces données peuvent inclure votre nom légal, votre âge voir le numéro de votre carte de crédit.Les “données divulguées”, c’est-à-dire celles que l’utilisateur publie sur ses pages : billets de blogs, photographies, messages, commentaires.Les “données confiées”, c’est-à-dire celles que l’utilisateur publie sur les pages des autres. Image : exemple de flux de données dans les médias sociaux par Anne Helmond.

Réseaux : le degré d'implication ne tient pas au nombre de connexions Pour mesurer l'influence d'un individu sur une plate-forme collaborative, il ne faut pas regarder le nombre de ses contacts, même importants. Mais identifier la force du lien social qui le lie avec d'autres. La qualité des liens entre les membres d'un réseau social ne se résume pas à leur simple connexion, rappelle une équipe des universités de Victoria et de Colombie Britannique (Canada). Selon elle, les modèles traditionnels - comme celui de l'étude des nœuds de connexion - ne suffisent pas à traduire l’intensité et le niveau d’implication d’un internaute sur un réseau social donné. L'existence des "amis imaginaires" domine aujourd’hui sur les sites collaboratifs, les internautes se liant avec des individus avec qui ils n'échangeront ensuite pas d'informations : leur degré de connexion et d’échange restant au stade du symbolique ajout. Mesurer l'implication C'est-à-dire le degré d'implication des acteurs d'une même plate-forme.

Le marketing prend en charge la communication sur les réseaux sociaux Les entreprises investissent désormais massivement dans les réseaux sociaux. Une stratégie et un budget de communication confiés dans 70% des cas au service marketing, indique une récente étude du cabinet King Fish Media. Difficile en 2010 de faire l'impasse sur une stratégie de communication orientée vers les réseaux sociaux, souligne un récent rapport publié par le cabinet King Fish Media. 10 Twitter Avatar Creators | Image Yourself There has been quite a lot of talk going around whether to stick to your profile picture throughout your “career” on Twitter for people to be able to recognize you easier. But there is always that other camp that says that changing it up every once in a while is a good thing. After all we all change ever so slightly the older we get. I am torn in this decision and feel that as long as your image is representing the real person and looks like you do now all should be fine. So what better is a list of avatar creators that you can use to switch it up a little bit. However, make sure you at least try to get as close to yourself as possible when creating yourself a cartoon avatar. If you are “in between pictures” then you can go ahead and use one of these services to create your own cartoon avatar. 1. Creates a more “Wobble”-head like cartoon with a ton of different stuff to add. 2. Creates a more unprofessional avatar but still quite interesting. 3. 4. 5. 6. 7. 8. 9. 10.

Utilité des médias sociaux, d’hier à aujourd’hui Chapitre Facebook Ma définition des médias sociaux : Un réseau social est un ensemble d’individus qui partagent un même intérêt et qui en discutent entre eux. Et ceci, peu importe le média utilisé (vive voix, téléphone, lettre par la poste, infolettre, chaîne de courriels, forum, blogue, Facebook, Twitter, Foursquare). Première utilité : se tenir à jour ! Avant les médias sociaux, nous appelions nos mères, tantes, frères, enfants pour prendre des nouvelles de leur côté et leur en donner du notre, ce qui demandait plusieurs appels téléphoniques ou rencontres de famille. Deuxième utilité : communiquer sa satisfaction/insatisfaction Un client insatisfait en parle en moyenne à 13 personnes. Troisième utilité : partager ses réalisations et fiertés À l’époque, on prenait le temps de faire le tour de nos amis avec notre nouveau-né, notre nouvelle voiture ou pour inviter les gens à une pendaison de la crémaillère. Quatrième utilité : promouvoir ses services et produits

Management – Les entreprises découvrent à leur tour les vertus des réseaux sociaux XEnvoyer cet article par e-mail Management – Les entreprises découvrent à leur tour les vertus des réseaux sociaux Nouveau ! Pas le temps de lire cet article ? Fermer Facebook, Twitter, Linkedin, Viadeo, Community manager, blogosphère. Les réseaux sociaux ont intégré la vie des salariés d’abord dans leur sphère personnelle, avant d’atteindre [...] Créer un segment avancé dans Google Analytics pour les médias sociaux Aujourd’hui les médias sociaux ont pris une importance capitale dans la création de trafic, ils méritent donc le statut de « source de trafic » au même titre que les moteurs de recherche. Le problème réside dans le fait que Google Analytics considère ces sites comme des sites référents (ce qui fondamentalement est vrai). Pourtant, lorsqu’une action est menée sur les médias sociaux, il faut mesurer les résultats pour juger l’efficacité de ces actions. Il est indispensable de pouvoir voir le trafic généré par vos actions sur les médias sociaux par rapport aux autres sources de trafic. Il existe un moyen extrêmement simple et rapide à mettre en place : Créez un segment avancé À partir de votre tableau de bord, cliquez sur « segments avancés » en haut à droite ou dans la barre latérale à gauche puis sur « Créer un segment avancé ». Ajoutez les sources Lorsque vous avez la liste des médias sociaux sur lesquels vous avez mené des actions, indiquez-les dans Google Analytics.

Réseaux sociaux en classe : une révolution pédagogique ? Professeur d’histoire-géographie et d’éducation civique dans un lycée professionnel de La Rochelle, Laurence Juin est l’une de ces aventurières du web 2.0 en classe. « Facebook est bloqué au lycée depuis un an car il y a eu des dérives. Je suis partie de là pour commencer à utiliser Twitter et en tirer quelque chose de positif. Les élèves signent une charte d’utilisation qu’ils ont élaborée, ils doivent écrire leurs messages de 140 signes en français correct, en utilisant des mots-clé. De quoi passer encore pour un flibustier alors que les téléphones portables sont interdits en classe dans les règlements des établissements. « Les groupes d’apprentissage permettent de créer de la confiance en l’autre» Echanges de données entre élèves, projet collaboratif… L’utilisation des réseaux sociaux au sens large en classe requiert une pédagogie particulière. «Le système des grandes écoles cherche à ce que les élèves se mettent en avant dans un système de défiance.

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