background preloader

Pop Art 2

Pop Art 2

Surréalisme Art Abstrait Ce dossier s’inscrit dans une série: "Un mouvement, une période", qui sera régulièrement augmentée dans cette partie du site. Réalisés autour d’une sélection d’œuvres des principaux mouvements ou tendances représentés dans les collections du Musée national d’art moderne, ces dossiers s’adressent à tous ceux (enseignants ou responsables de groupe en particulier) qui souhaitent préparer leur visite au Musée. Leur objectif pédagogique est de faciliter l’approche et la compréhension de la création du 20e siècle. Ils ne constituent pas un cours mais proposent des points de repères et une base de travail. A chaque enseignant d’évaluer ses besoins et d’utiliser ce qui lui est nécessaire selon le niveau de sa classe. Au cours de la deuxième décennie du vingtième siècle, un tournant radical et déterminant s’opère en peinture, l’invention de l’abstraction. Vassily Kandinsky Moscou, 1866 – Neuilly-sur-Seine, 1944 Sans titre (Aquarelle), 1910? Mit dem schwarzen Bogen (Avec l’arc noir), 1912

Der Fuehrer's Face (1943) | Trésors Disney Résumé Donald se retrouve en Allemagne nazie et doit travailler jusqu'à en devenir fou pour servir Hitler. Au son d'une marche militaire nazie, Donald commence une dure journée à "Nutziland" : déjeuner au pain sec, quelques graines de café et de l’arôme de bacon et d’œufs, gardés à l'écart. Mais un groupe de soldats le conduit dans une usine d'armement où Donald doit subir le travail à la chaine et fabriquer toujours plus de munitions. Dans le dessin animé, les militaires défilent de façon grotesque au pas de l'oie et au son fracassant du tambour. Donald est conduit par les armes jusqu'à son lieu de travail où il doit obéir au doigt et à l'oeil, encadré par des soldats qui lui hurlent des ordres. Le seul réconfort qui se présente à lui est d'admirer un décor des Alpes un bref instant. La musique originale, composée par Oliver Wallace tout spécialement pour le dessin animé est en fait une parodie de l'hymne nazi Horst Wessel Lied. Réalisation : Jack Kinney

Cubisme 2 Picasso : des formes inédites Le cubisme est un mouvement qui naît avec le tableau de Pablo Picasso « Les Demoiselles d’Avignon » (New York, MOMA), terminé en 1907. En cherchant à résoudre le problème du clair-obscur, Picasso remplace les zones d’ombres par des grandes lignes parallèles. Ces innovations, qui allaient à l’encontre de toutes les conventions académiques du XXe siècle naissant, ont ému de nombreux contemporains du peintre. Les Demoiselles d’Avignon, 1907, Pablo Picasso, (New York, MOMA). Braque, protagoniste avec Picasso de la révolution cubiste, arrive à Paris où entre en contact avec la peinture impressionniste et fauviste, en particulier avec l’œuvre de Dufy y Friesz. Le Grand nu, 1907, Georges Braque, (Paris, Centre Pompidou). L’influence de l’art africain L’art africain exerce également une influence non négligeable sur Picasso et Braque. Femme de profil, 1906-1907 ; Femme, époque des Demoiselles d’Avignon, Pablo Picasso, (Paris, Musée Picasso) Cubisme analytique

Education for Death (Education à la mort) (1943) | Trésors Disney Résumé L'histoire se focalise sur l'éducation d'un jeune allemand, Hans, embrigadé dans la doctrine nazie ("The Making of a Nazi", c'est à dire comme on fabrique un nazi). Au fil des années, le petit Hans devient peu à peu un soldat, recevant une "éducation à la mort" au cours de laquelle il apprend à devenir une machine sans "aucune graine de rire, d'espoir, de tolérance ou de pitié". Analyse Education for Death succède à Der Fuehrer's Face (sorti au début de l'année 1943) dans la série des courts métrages de propagande anti-nazie, série qui occupe les studios de la souris aux grandes oreilles pendant quasiment toute la période de la guerre, ce qui l'empêche d'ailleurs de sortir de grandes productions comme les longs métrages. Ward Kimball réalise l'essentiel du travail d'animation. Le court métrage est inspiré du livre "Education for Death - The Making of the Nazi" écrit par l'américain Gregor Ziemer, à qui on doit l'adaptation. Réalisation :Clyde Geronimi Scénario : Gregor Ziemer

Edward Hopper Exposition présentée au Grand Palais du 10 octobre 2012 au 28 janvier 2013 Les peintures d’Edward Hopper ont la simplicité trompeuse des mythes, l’évidence des images d’Epinal. Chacune d’elles est un condensé des savoirs hypothétiques, des rêves que nous inspire l’Amérique. Expression des sentiments les plus poignants, ou pures constructions mentales, ces peintures donnent lieu aux interprétations les plus contradictoires. Romantique, réaliste, symboliste, et même formaliste, Hopper a été enrôlé tour à tour sous toutes les bannières. C’est cette complexité, signe de la richesse de cette oeuvre que s’efforce d’éclairer cette exposition. Conçue chronologiquement, elle se compose de deux grandes parties : la première, consacrée aux années de formation, rapproche les œuvres de Hopper de celles de ses contemporains et de celles, découvertes à Paris, qui ont pu l’inspirer. Commissaire Didier Ottinger, directeur adjoint du MNAM – Centre Pompidou

speleologie_aqueducs_romains Munis de GPS, de télémètres à laser et d'un scanner 3D, des "spéléo-archéologues" plongent dans les aqueducs de Rome pour mettre à jour le plan de ces monuments d'une importance cruciale dans l'Antiquité. Onze aqueducs ceinturent Rome, sur des centaines de kilomètres. Un seul fonctionne encore: géré par la compagnie publique locale Acea, il continue à apporter l'eau - l'Acqua Virgo - jusqu'à la célèbre Fontaine de Trevi, après 20 km de parcours jusqu'au centre de la capitale. C'est un archéologue britannique, Thomas Ashby, directeur de l'Ecole britannique de Rome de 1906 à 1925, qui a élaboré le premier plan des aqueducs de Rome. "Il était en avance sur son temps", explique à l'AFP Alfonso Diaz Boj, membre de l'association "Sotterranei di Roma" (Souterrains de Rome), qui travaille sur ce projet en liaison avec la Surintendance archéologique de Rome. "Il a parcouru la campagne romaine, il est allé dans les villages, dans les trattorias, il a parlé aux fermiers, aux chasseurs. Pour M.

Amoureux aux oranges, rue Mazarine Robert Doisneau (1912-1994) a laissé 450 000 négatifs aux sujets les plus variés : photographies commerciales et de mode, images de l’Occupation et combats de la Libération, clichés d’un Paris touristique et reportages à la campagne et en banlieue, portraits d’écoliers, de commerçants des halles ou d’artistes… Son œuvre oscille entre travail de commande et projets plus personnels qui témoignent d’un monde en mutation. Si son travail est reconnu par des prix et des expositions depuis l’après-guerre, c’est principalement dans les années 1980 que son œuvre touche le grand public qui, de manière un peu simpliste, y voit une approche poétique du genre humain et de la photographie de rue. Calendriers, posters et cartes postales diffusent alors par milliers certaines de ses images telles que ces Amoureux aux oranges, rue Mazarine [ image principale ]. Un baiser volé C’est un beau jour de printemps à Paris en 1950. Un travail de commande « Des symboles lourds comme des coups de massue »

derriere_la_gare_St_Lazare Derrière la gare Saint-Lazare, Place de l’Europe est l’une des plus fameuses photographies d’Henri Cartier-Bresson. C’est aussi l’une des plus mystérieuses et, en ce sens, des plus représentatives de son œuvre. Si, au fond, le décor ferroviaire noyé dans la brume est aisément identifiable (horloge, grilles, etc.), l’action qui se déroule au premier plan est en revanche assez énigmatique. Tentant de franchir une immense flaque d’eau, un homme s’élance dans le vide. C’est à cet instant précis que Cartier-Bresson a choisi d’appuyer sur le déclencheur, saisissant ainsi l’homme « au vol », le suspendant indéfiniment dans les airs. Réalisée en 1932, cette photographie date de l’année où Cartier-Bresson devint photographe (bien qu’il ait commencé à « faire de la photo » antérieurement). L’instant décisif. Très marqué, à ses débuts, par l’œuvre d’André Kertész, Cartier-Bresson s’intéressa également aux productions des surréalistes.

Les genres artistiques classiques - culture artistique - histoire des arts En arts plastiques, dans l’histoire de l’art, on rencontre des images de toutes sortes, aux contenus les plus variés. Selon ces contenus, les œuvres sont classées en catégories, ou genres artistiques, dont voici les principaux : L’art sacré : toutes les représentations de divinités ou de scènes religieuses. La vierge aux anges,huile sur toile, William Bouguereau, 1881 Le genre mythologique : tous les sujets se rapportant à la mythologie grecque, romaine ou d’une autre civilisation. Ulysse et les sirènes, relevé d'un vase grec à figures rouges, Ve siècle av J. Le genre historique : toutes les œuvres dont le sujet se réfère à des évènements ou à des personnages historiques. Monument aux Bourgeois de Calais, Bronze, Auguste Rodin, 1889 Le portrait : il peut être de caractère privé, ou de caractère officiel, c’est à dire destiné à une diffusion publique. Portrait du Fayoum, Ier ou IIeme siècle ap. La corvée d'eau, batik, anonyme Nature morte au vase pique-fleur, Paul Cézanne, 1905

Les couleurs du Moyen-Âge Allez au contenu Allez au menu principal Allez à la recherche Change language Accessibilité Soutenez le Louvre Accueil>Arts & éducation>Conférences en ligne>Initiation à l'histoire des arts>Les couleurs du Moyen Age Les couleurs du Moyen-Âgepar Michel Pastoureau Conférences en ligne L’historien des représentations Michel Pastoureau nous entraîne dans une exploration des couleurs au Moyen Âge. Pour ce cycle de cours, Michel Pastoureau, directeur d’études à l’École pratique des hautes études où il occupe la chaire d’histoire de la symbolique occidentale, vous entraine dans son époque de prédilection pour une exploration des couleurs au Moyen Âge. L’historien face à la couleur Pourquoi et comment étudier l’histoire des couleurs ? Pigments et colorants Histoires et recettes des matières colorantes Pratiques et codes vestimentaires Le vêtement comme principal code chromatique de la vie en société Les couleurs du blason et la symbolique des couleurs La « révolution bleue » des 12e et 13 siècles Presse

Related: