Stellamara Mourad La Rumeur, « Tu ne quittes pas une famille » – Sous-Culture Auteur : Antoine Fasné, Photos : Paul Mesnager Propos recueillis en mars 2016 Cette année, l’un des seuls collectif de rap français des années 90 à avoir eu une actualité régulière depuis ses débuts, a 20 ans. Enfance de fils d’immigré Quand mon père est arrivé ici du Maroc dans les années 60, il a bossé tout de suite. Je suis né à Paris en 1972. C’est à ce moment que j’ai connu Philippe (Le Bavar, Nldr), à l’école primaire en fait. « Certains élèves sont mis sur une voie de garage parce qu’ils ont un visage et une histoire qui parlent pour eux » Rencontre avec le Mouvement Quand le hip-hop est arrivé en France en 1980, on était déjà dedans. Je me souviens d’une période à deux vitesses, nous on écoutait du hip-hop et d’autres écoutaient de la new-wave, de la pop, etc… Ça formait des clans. Etant plus dans le break, j’écoutais surtout des trucs américains au début. « C’est Rockin Squat et Docteur L qui m’ont motivé à utiliser ma voix après m’avoir entendu enregistrer » Mourad l’auditeur
Kraftwerk Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Kraftwerk Kraftwerk en concert à Kiev (2008) La sonorité musicale du groupe se caractérise par la combinaison d'une ligne de basse et d'une rythmique électrique à une harmonique et une mélodie répétitive faite à partir de synthétiseurs, accompagnée de paroles minimalistes chantées ou vocoderisés dans plusieurs langues (allemand, français, espagnol, anglais, russe, japonais, italien, polonais). Historique[modifier | modifier le code] Le groupe Kraftwerk a été fondé en 1970 par Florian Schneider-Esleben et Ralf Hütter. Après quelques années de travail, Kraftwerk sort un nouvel album : Electric Café. L’album suivant ne sort qu'en 1991 et n'est qu'une reprise des plus gros tubes de Kraftwerk ; on peut donc dire que c'est une sorte de compilation. Finalement, en 2003, Kraftwerk sort de son studio Kling Klang, le dernier album composé par leurs soins intitulé Tour de France Soundtracks. — Ralf Hütter, 2014 Musicologie[modifier | modifier le code]
Nneka The Slits Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. The Slits en 2007 The Slits (« les fentes » en anglais) est l'un des premiers groupes de punk rock féminin. Considérées comme les petites sœurs des Sex Pistols ou des Clash, elles furent sûrement parmi les premières musiciennes rock à s'affirmer avec autant d'énergie et de personnalité. Histoire du groupe[modifier | modifier le code] The Slits font parler d'elles la première fois en 1977, lorsqu'elle sont invitées par les Clash à jouer en première partie de leur tournée le White Riot Tour[2]. Ari Up est la personnalité marquante de ce groupe. Leur musique est d'abord tournée vers un punk rock amusant et entraînant, néanmoins brut et rauque en live. En 2006, Ari Up reforme The Slits en compagnie de Tessa Pollitt et d'autres nouvelles musiciennes. Le 20 octobre 2010, Ari Up décède à 48 ans des suites d’une longue maladie[5]. Engagement féministe[modifier | modifier le code] La chanson la plus connue des Slits reste Typical Girl.
Ken Ishii Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Ken Ishii (ケン・イシイ) est un DJ et producteur techno japonais. Né en 1970 à Sapporo, sur l'île de Hokkaidō, il a été élevé à Tōkyō. En 1995, il a été récompensé pour son morceau Extra en recevant le MTV Dance Video of the Year. La vidéo de ce morceau a été réalisée par Kōji Morimoto, grand nom de l'animation japonaise. Sega lui propose de réaliser peu avant 2001 un morceau de la bande-son du jeu vidéo Rez. Ken Ishii a également composé la musique d'ouverture des Jeux olympiques d'hiver de Nagano, au Japon. Discographie partielle[modifier | modifier le code] Garden On The Palm - 1993Pneuma - 1993Deep Sleep - 1993Tangled Notes - 1994Innerelements - 1994Jelly Tones - 1995Circular Motion + Overlap - 1996 - R&S RecordsCome Out de Steve Reich sur l'album Reich RemixedSleeping Madness - 1999Flatspin - 2000Future In Light - 2003Sunriser - 2006Warriors on the deck - Play, pause and play 2 - 2009 - Sublime Liens externes[modifier | modifier le code]
|| YOAV || Comment l'extrême-droite a gagné la bataille de Verdun contre un rappeur c'est ainsi que Florian Philippot qualifiait hier vendredi 13 mai le concert du rappeur Black M prévu à l'occasion du centenaire de la bataille de Verdun le 29 mai. Depuis lundi la venue du rappeur a provoqué un déferlement de critiques et de postures indignées à l'extrême droite. En cause? Les paroles de son ex-groupe Sexion d'Assaut accusées d'être "francophobes, homophobes et antisémites". "Un crachat contre un monument aux morts", Une campagne de dénigrement lancée par la fachosphère, relayée notamment par le FN sans réaction du gouvernement, et qui a atteint son objectif : faire annuler le show d'un rappeur qui se dit "fier d'être un enfant de la République", et rappelle que son grand père a combattu dans les tirailleurs sénégalais. L'extrême droite peut crier victoire.
KENISHII.COM Kate Walsh