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Big Data : nouvelle étape de l’informatisation du monde

Big Data : nouvelle étape de l’informatisation du monde
Viktor Mayer-Schönberger, professeur à l’Oxford internet Institute, et Kenneth Cukier, responsable des données pour The Economist ont récemment publié Big Data : une révolution qui va transformer notre façon de vivre, de travailler et penser (le site dédié). Ce livre est intéressant à plus d’un titre, mais avant tout pour ce qu’il nous apprend du changement du monde en cours. Riche d’exemples, facilement accessibles, il dresse un état compréhensible des enjeux des Big Data en insistant notamment sur ce que cette nouvelle étape de l’informatisation transforme. Le code n’est plus la loi ! « Les systèmes informatiques fondent leurs décisions sur des règles qu’ils ont été explicitement programmés à suivre. Pour les auteurs, les Big Data créent une intelligence artificielle qu’aucun humain ne peut comprendre. « Les Big Data fonctionnent à une échelle qui dépasse notre compréhension ordinaire. Qu’importe la causalité, voici venu le temps des corrélations Hubert Guillaud

Pourquoi il faut s'intéresser à l'open data (même si ça vous paraît compliqué) Partager Les tableaux Excel pourront-ils aider François Hollande à faire remonter sa cote de popularité ? Vendredi 25 avril, le président de la République accueille des patrons venus parler de "données publiques" et de "modernisation de l'Etat". C'est peu dire que l'open data, qui consiste pour un Etat à mettre à disposition sur internet les données que ses administrations utilisent ou produisent de façon gratuite, traîne une réputation austère. Parce que les données permettent plus de transparence L'une des premières raisons d'être de l'open data est de rendre plus transparent le fonctionnement de l'administration. Des démarches similaires ont été initiées à l'échelon national. Petit problème, alors que 55 % des Français jugeaient en avril 2013 que la plupart des responsables politiques étaient corrompus, ces démarches de transparence ne reposent que sur le volontariat. La situation pourrait toutefois évoluer. Parce que les données peuvent vous faciliter la vie

Pourquoi ça rame quand je veux regarder une vidéo YouTube avec Free «Passager clandestin», l'expression est jetée. Pour la ministre de l'Economie numérique Fleur Pellerin, qui s'exprimait dimanche 13 janvier, c'est désormais assez clair: les géants du web profitent des réseaux des opérateurs télécom pour faire leur beurre. Une situation «asymétrique» qu'il faut rééquilibrer: Google et compagnie sont priés de mettre la main au porte-monnaie pour acheminer leurs données auprès des internautes. Alors qu'elle organise ce mardi 15 janvier une table ronde sur le sujet, la ministre semble donc avoir déjà choisi son camp dans la guerre que se livrent fournisseurs d'accès à Internet (Orange, Free, SFR, Bouygues Telecom...) et gros bonnets du web (représentés par les «Gafa»: Google, Amazon, Facebook et Apple). Une baston dans les entrailles du Net, qui s'est intensifiée en raison de l'augmentation du volume de données qui circulent sur le réseau. publicité L'enjeu est simple: définir qui doit payer pour entretenir la plomberie. Ça rame! Andréa Fradin Devenez fan sur

Open data : libérons toutes les données publiques, et dans de bonnes conditions de réutilisabilité ! En fin de semaine dernière, la mission Etalab, en charge de l’ouverture des données publiques sous la direction d'Henri Verdier, et le Conseil National du Numérique, présidé par Benoît Thieulin, ont organisé durant deux jours une première « Conférence de Paris sur l’open data et le gouvernement ouvert ». Dans son discours de clôture, Axelle Lemaire, la nouvelle secrétaire d’État chargée du Numérique, a pris une position très forte en position de l’ouverture des données publiques. Amplification de l’ouverture des données publiques En effet, selon la jeune femme, l’open data est désormais « un mouvement d’ampleur mondiale, radical sinon révolutionnaire », et « l’information, la donnée n’est plus considérée comme un pouvoir à conserver jalousement mais bien comme une ressource à partager, un bien commun, un vecteur aussi de création de richesses citoyennes, sociales et économiques ». Les données publiques seront désormais ouvertes par défaut @PierreCol

Ca bouge du coté d'HTML5, ne ratez pas le départ HTML5 (HyperText Markup Language 5) est la prochaine révision majeure d'HTML le format de représentation des pages web. C'est une version encore en développement en 2012 mais composée de nombreux modules, et livrée progressivement. Elle est déjà compatible avec les dernières versions des principaux navigateurs. HTML5 c'est surtout la promesse de repousser les limites de HTML avec: l’intégration en standard de Widgets, la lecture de vidéo ou d’audio sans module complémentaire, la simplification de la création d’applications web (glisser coller, couche application avec API, géolocalisation en standard, ...), la simplification du référencement des pages par les moteurs de recherche (grâce à la description des données présentes sur la page) et surtout la consultation de contenu hors connexion. A la clef du contenu et des applications plus dynamiques, compatibles internet fixe et internet mobile, et ayant une interaction parfaite avec leurs équipement mobile, tablettes ou smartphones.

Pourquoi la Big data devient un très gros business Vous êtes agacé par ces pubs et ces promos qui vous poursuivent sur le web dès que vous avez consulté un site marchand ? Les commerçants en ligne qui vous souhaitent votre anniversaire par e-mail ou SMS vous irritent ? Vous n'avez encore rien vu ! Grâce au traitement de "données massives" rendu possible par des logiciels et des ordinateurs surpuissants, vous serez bientôt repéré, observé, ciblé, "profilé" dans tous les compartiments de votre existence. Pour le meilleur ou pour le pire, vous deviendrez un "nuage" de données, sans cesse passé à la moulinette des algorithmes d'extraction (data mining). 50 milliards d'objets connectés La ruée sur les données est lancée. Les machines parlent aux machines. Les données, une mine d'or L'ère du "big data" s'est ouverte grâce à la conjonction des trois "v" : volume, vitesse et variété des données (statistiques, textes, photos, sons, vidéos...). Avant, on récoltait les données, et on s'en servait pour un objectif prédéfini.

« Infobésité » : plus une question de qualité que de volume L’infobésité (buzzword s’il en est) n’est pas un concept nouveau, mais devient ces derniers temps une sorte de marronnier : trop d’informations, trop de mails, trop de données… Seulement, si le terme en lui-même est contestable (bien que parlant, nous verrons pourquoi), il semble qu’il soit à l’heure actuelle mal employé. Plutôt que de se focaliser sur la « surcharge informationnelle », pourquoi ne pas se questionner sur la qualité de ces informations ? En rentrant de vacances j’ai, comme beaucoup de « travailleurs de l’information », retrouvé mes agrégateurs, boites mails et autres réceptacles informationnels, « légèrement » surchargés. Voyons en quoi l’infobésité est bien présente, mais s’oriente plus vers une diététique informationnelle, que vers une question de volume. Trop d’infos : la faute au web ? Un des premiers aspects lorsque l’on parle actuellement d’infobésité est de souligner que (comme beaucoup de choses me direz-vous) c’est la faute du web (et des méchants zinternets).

Un Web Index pour mesurer l'impact d'Internet sur chaque pays Quel est l’impact d'Internet pour chaque pays dans le monde ? Quels sont ceux qui utilisent le plus le réseau des réseaux ? Pour tenter de répondre à cette question, Tim Berners-Lee a proposé la mise en place du projet Web Index qui devrait, chaque année, publier un classement en s'appuyant sur un certain nombre de données. Ainsi, la World Wide Foundation — qui chapeaute le projet — compte notamment exploiter les rapports élaborés par certaines structures internationales dans les domaines les plus variés (presse, télécommunications, etc.) Le premier classement proposé par le Web Index prend en compte à 61 pays. Le trio de tête est constitué de la Suède, des États-Unis puis du Royaume-Uni. D'après les responsables du projet, une personne sur trois utiliserait Internet dans le monde. Source : (la carte est interactive) Pour en savoir plus :

Souvenons-nous du monde avant internet Mon beau-père, allemand, m’a envoyé récemment un courrier pour me signaler l’exposition à Mannheim du plus ancien essai photographique conservé, le fameux “point de vue du Gras” de Niépce, montré pour la première fois en Europe depuis soixante-dix ans. Avec sa carte d’accompagnement et sa coupure de presse, cet envoi a la forme classique d’un signalement du XXe siècle (voir ci-dessus). L’effort mobilisé le réservait aux nouvelles d’importance. Je ne recevais que quelques envois semblables par an. Les interfaces numériques et la mise en ligne des contenus ont permis de réduire à quelques clics cette opération, devenue la brique élémentaire de l’échange social. Si je tente d’évaluer le nombre de signalements dont je prends effectivement connaissance par le biais des réseaux sociaux, l’ordre de grandeur de la multiplication est largement supérieur à 1000. Ces jeunes sont énervants. Lire la suite: “Souvenons-nous du monde avant internet (suite)“

Comment Wikipédia domine les résultats de Google - SEO de Wikipedia - Journal du Net Solutions Wikipédia est un modèle de réussite pour les référenceurs car l'encyclopédie en ligne arrive à très bien se positionner sur un nombre particulièrement impressionnant de requêtes. L'agence Résonéo a pu en partie mesurer cette réussite grâce à son outil interne Matriceo. Ce dernier scrute les résultats générés par Google.fr sur plus de 4,6 millions de requêtes (d'un ou plusieurs mots) retenues par l'agence. Matriceo peut ainsi mesurer le nombre de mots clés sur lesquels apparaît un site. L'outil lui attribue aussi un score de visibilité selon la fréquence des requêtes et les positions du site sur ces requêtes dans les pages de résultats de Google.fr. Comme le montre le tableau ci-dessous, basé sur des données datant de juin 2012, la domination de Wikipédia sur les millions de requêtes auditées par Résonéo est assez nette. L'agence Résonéo dispose également d'un panel de mots clés classés par secteur (et suivant la classification d'Adwords).

En coulisse, la liberté du Net est peut-être menacée 01net. le 18/05/12 à 19h19 C’est une histoire en cascade et extrêmement complexe. Une de ces histoires qui pourraient avoir de lourdes conséquences pour tous les Internautes à travers le monde. Une mise en garde Régulièrement, depuis quelque temps, Robert McDowell, très respecté et reconnu commissaire au sein de la FCC, la Commission fédérale sur les communications américaines, publie des chroniques dans la presse américaine où il crie à qui veut l’entendre que la liberté du Net est menacée, généralement, par l’ONU. Et le commissaire américain d’expliquer que l’UIT, pour Union internationale des télécommunications, rattachée à l’ONU depuis 1947, va revoir en décembre 2012, à la demande de quelques-uns de ses 193 Etats membres, le traité de 1988 à l'occasion de la WCIT, la World Conference on International Telecommunications. Les risques d’une révision Revoir le traité n’est en soit pas foncièrement mauvais. Un passif économique et politique lourd Page d'accueil du site de l'UIT. Candeur ?

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