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Centre Belge de la Bande Dessinée, Bruxelles — Accueil

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Art nouveau L’Art nouveau est un mouvement artistique de la fin du XIXe et du début du XXe siècle qui s'appuie sur l'esthétique des lignes courbes. Né en réaction contre les dérives de l'industrialisation et la reproduction des anciens styles, c'est un mouvement soudain et rapide qui connaît un développement international. Le mouvement a connu des dénominations diverses selon les régions : Tiffany (d'après Louis Comfort Tiffany) aux États-Unis, Jugendstil[Note 1] ou Art nouveau en Allemagne, Sezessionstil en Autriche, Art nouveau ou Nieuwe Kunst aux Pays-Bas, Art nouveau ou Stile Liberty en Italie[1], Art nouveau ou Modernismo en Espagne (pour le second terme, plus spécifiquement en Catalogne), style sapin en Suisse, Modern en Russie. Le terme français « Art nouveau » s’est imposé notamment dans le monde anglo-saxon et hispanique, en même temps que la France, en lien avec la vague d’anglomanie qu’elle connaissait alors, a brièvement utilisé le terme Modern Style[2] au début du XXe siècle[3]. Suisse

Georges Simenon Musée Magritte MIM Bruxelles Peu après la création du Musée en 1877, les collections étaient entreposées rue aux Laines, dans une annexe du Conservatoire royal de musique qui avait été doté de nouveaux locaux, conçus par l'architecte Jean-Pierre Cluysenaar. Situé rue de la Régence, le Conservatoire recevait également une maison de maître à l'angle du Petit-Sablon dans laquelle s'installait son directeur, François-Auguste Gevaert (1828-1908). Avec l'accroissement des collections, il s'avéra nécessaire de trouver de nouveaux locaux et de créer de meilleures conditions de conservation dans les réserves. La situation devint très critique et, en 1926, le mécène Louis Cavens menaça même de retirer les dons qu'il avait faits au mim si le gouvernement ne prenait pas les mesures adéquates. Ces bâtiments comprenaient alors deux immeubles de style très différents. Les locaux ont été transformés afin de répondre aux conditions modernes de sécurité et de climatisation garantissant une conservation optimale des objets.

Ni frontières ni papiers, Raoul Vaneigem Il fut un temps où l’anarchiste Albert Libertad, pressentant le développement d’une bureaucratie kafkaïenne et de la dictature paperassière, invitait les citoyens à brûler leurs papiers d’identité et à redevenir des êtres humains en refusant de se laisser réduire à des numéros, dûment répertoriés dans le dénombrement étatique et statistique des esclaves. Nos existences sont aujourd’hui si imprégnées de ces chiffres qui contingentent indifféremment les paiements bancaires, les salaires, la sécurité sociale, les allocations de chômage et les retraites qu’exister sans papiers paraît aussi impossible et impraticable que la recommandation de Libertad d’en finir avec le marquage infamant et policier du bétail social. Ajoutez à cela un processus de dégradation de l’Etat dû à l’emprise des puissances bancaires, elles-mêmes menacées par un effondrement monétaire mondial. Car les Etats ont perdu le privilège, qu’ils s’arrogeaient, de gérer le bien public. Qu’en est-il aujourd’hui ? Comment ?

Musée Horta (Art nouveau) Casa Batlló Les grèves belges « Des grèves de masse ne peuvent se produire que lorsque les conditions historiques en sont présentes. Elles ne se laissent pas proclamer sur commande. Des grèves de masse ne sont pas des moyens artificiels, qui peuvent être employés lorsque le parti est arrivé dans une impasse avec sa politique, afin de le sortir du jour au lendemain de ce marasme. Lorsque les contradictions de classe se sont exacerbées et lorsque la situation politique s'est tendue au point où les moyens parlementaires ne suffisent plus pour faire avancer la cause du prolétariat, alors la grève de masse apparaît comme une nécessité impérieuse, et alors elle est hautement profitable à cette cause, même si elle n'aboutit pas à une nette victoire. » (Rosa LUXEMBOURG : « La grève de masse politique », dans Vorwaerts, 24 juillet 1913) Les sociologues avaient dit que la classe ouvrière était en train de disparaître ; voilà qu'elle se manifeste avec une énergie rarement égalée. Comment expliquer ce paradoxe? I. II.

Musées Royaux des Beaux Arts de Belgique

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