background preloader

L'e-réputation en chiffres (Infographie)

L'e-réputation en chiffres (Infographie)

La e-réputation en 10 points clés Nous le constatons tous les jours : la question de la e-réputation monte en puissance. Pas seulement sur le web, où tout le monde en parle, mais aussi et surtout dans les comités de direction. Pour beaucoup, c’est un réflexe de protection face aux attaques potentielles sur Internet. Dans un monde connecté et en conversation, c’est une préoccupation légitime. Toutefois, entre gestion de crise sur le web et gestion de la réputation, il y a un océan. 1 – La e-réputation n’existe pas en soi. 2 – Travailler sur la e-réputation, c’est comprendre les ressorts de la réputation. 3 - La réputation, avec son sous ensemble de e-réputation, se gère comme un actif stratégique. 4 – Le diagnostic de e-réputation est un moment fondateur. 5 – La e-réputation se conçoit comme une démarche de progrès, au service de la stratégie d’entreprise. 6 – La e-réputation présente deux versants : risques/opportunités. 7 – Les collaborateurs, comme les dirigeants, sont vecteurs de réputation sur le web.

Les origines de la e-Réputation Henri Ford disait « les deux choses les plus importantes n’apparaissent pas au bilan de l’entreprise : sa réputation et ses hommes. » La e-reputation devient un sujet de plus en plus important au sein de notre vie professionnelle et personnelle. A travers quelques articles sur la nowhere -enteprise, je vais tenter d’apporter mon éclairage sur le sujet. Réputation en Ligne On ne peut comprendre un sujet que si l’on connait son origine, son moteur,sa base. Je commence donc mon explication par : L’origine de l’e-reputation. Il était une fois, le Web. De cet immense quantité d’informations, comment pouvons-nous ressortir celle qui nous intéresse ? De cette question naquit un marché : les moteurs de recherche. Nous avons donc ici les deux piliers fondateurs de la e-reputation : le contenu et la recherche dans ce contenu. Une réputation en ligne se fonde sur l’impression, la synthèse subjective qu’offre une ou plusieurs informations rattachées à un sujet, une marque ou un individu précis.

Guides Pratiques de l’E-Réputation à l’usage des individus et des entreprises A l’occasion du premier anniversaire du Digital Reputation Blog, nous avons initié deux projets collaboratifs d’édition de 2 guides pratiques de l’e-réputation à l’usage des individus et à l’usage des entreprises. Notre objectif a été de réunir le maximum de ressources autour du sujet de l’e-réputation et de répondre aux questions suivantes: Diverses options pour consulter et télécharger les guides. Si vous n’arrivez à accéder aux guides pour une quelconque raison, merci de nous laisser un commentaire ou nous contacter ici et nous vous enverrons les supports en retour. N’hésitez pas à l’issue de votre lecture à nous faire part de vos retours, commentaires et critiques. Bonne lecture! La mauvaise e-réputation - Nouvelles technos Frasques de jeunesse, histoires sentimentales ou fautes professionnelles : tout circule sur Internet, et rien ne se jette. Dès lors, comment faire pour ne pas rester marqué à vie quand son image est ternie ? Enquête, alors qu'arrive sur les écrans “The Social Network”, le film de David Fincher sur Facebook. Elle est brune, classe et lasse. Dans un café parisien, elle raconte, sous couvert d'anonymat, ce qui lui pourrit la vie depuis huit ans : un blog ! Sophie (appelons-la ainsi) avait 20 ans à l'époque et revenait d'un camp de jeunes. Sophie n'est pas un cas. “Les fâcheries, qui se réglaient autrefois dans la cour devant trois témoins, se concluent sur Facebook à la vue de tous.” On applaudit la société numérique, extraordinaire aiguillon démocratique. Dans un café, Dylan et ses copains, 15 ans, ont chacun « deux cents à six cents amis » sur leur compte Facebook. L'enjeu, pour ces ados comme pour tous, est de pouvoir, le jour souhaité, tout effacer. Mais la contestation monte.

L’é-reputation : les études se multiplient « CitizenTrend 20 avril 2010 par citizentrend A noter, la parution cette semaine de deux études sur l’e-reputation et les médias online en général. La première, réalisée par le GFII (Groupement Français de l’Industrie de l’Information) propose une large analyse autour du thème « e-réputation et identité numérique des organisations – Typologie des menaces et identification des modes de traitement applicables ». Cette étude de 67 pages propose des outils concrets pour analyser les menaces en termes d’image de marque sur Internet, comme une « fiche de relevé d’incident ». Srce : Digimind Le 19 avril, KPMG révélait son second baromètre « Media and Entertainment ». scre : KPMG Malgré cette croissance régulière, l’étude du cabinet de conseil fait part d’une méfiance persistante de la part des individus envers les contenus online. Encore une fois, cette étude démontre la faiblesse du "Tout en un", soit le seul développement des médias traditionnels ou, à l’inverse, des médias online. Like this: J'aime chargement…

E-réputation Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Sur les autres projets Wikimedia : e-réputation, sur le Wiktionnaire L'e-réputation, parfois appelée web-réputation, cyber-réputation, réputation numérique, sur le Web, sur Internet ou en ligne, est la réputation, l’opinion commune (informations, avis, échanges, commentaires, rumeurs…) sur le Web d'une entité (marque, personne, morale (entreprise) ou physique (particulier), réelle (représentée par un nom ou un pseudonyme) ou imaginaire). Elle correspond à l’identité de cette marque ou de cette personne associée à la perception que les internautes s'en font. Historique[modifier | modifier le code] Le terme e-réputation est apparu en 2000 dans l'une des nombreuses études suisses-allemandes et américaines consacrées aux relations entre réputation du vendeur et performances des ventes sur les sites d'enchères en ligne[1]. Principaux vecteurs de l'e-réputation[modifier | modifier le code] Les consommateurs[modifier | modifier le code] Cova B. et S.

8 outils pour gérer son « e-reputation  Gérer sa réputation sur Internet est devenu indispensable. Il paraît notamment impensable pour quiconque cherche à obtenir un rendez-vous professionnel de laisser traîner sur son profil facebook la photo de sa dernière beuverie (remarquez, j’en connais qui n’hésitent pas). Mais comment faire pour gérer cette e-réputation – et aussi pour surveiller celle des autres ? C’est la question que s’est posée Aref Jdey dans cet article de son blog qui propose une matrice (cliquer sur l’image à gauche) des outils de la veille. métamoteurs sociaux, tels samepoint.com et j’ai pu vérifier que je remplissais moi-même quelques pages. dans un sens ce n’est pas une surprise, mais cela est impressionnant (100 pages) d’autant. ce qui est intéressant c’est que le moteur dépouille les “mots-clefs négatifs” et positifs. En définitive, si vous aviez besoin de preuves, vous laissez des traces partout sur Internet. WordPress: J'aime chargement…

La génération Z va semer la zizanie dans le monde de l'entreprise Les entreprises perdaient déjà leur latin avec la génération Y- zappeuse, frondeuse, insoucieuse des hiérarchies. La vague suivante, la génération Z, s’annonce comme une déferlante plus redoutable encore. Car les moins de vingt ans, nés après 1995, portent un regard très dur sur l’entreprise tout en ayant des attentes extrêmement fortes à son égard. Alors que leur seul contact avec l’entreprise s’est limité, pour la grande majorité, à un stage en classe de troisième, les moins de vingt ans emploient des mots très durs pour la qualifier. Ce portrait noir ne rime pourtant pas avec un dégoût de l’entreprise, perçue d’abord comme stressante. Une refonte des attributs du leadership La génération Z exige aussi une refonte des attributs du leadership. La génération Z attend également un véritable engagement éthique de l’entreprise. Ni hipsters, ni intellos, ni geeks Plus encore que leurs aînés, les Z accordent une grande importance à leur réseau.

Surveillez l’e-réputation de votre entreprise Sur Internet, une étincelle suffit à propager la rumeur. Impossible, bien sûr, de placer tout le Web sur écoute, mais une veille bien ciblée permet de détecter à temps les menaces et agissements malveillants. Le 8 août 2009, les 3 Suisses mettent en vente sur leur site un téléviseur à écran plat au prix inouï de 179,90 euros. Il s’agit évidemment d’une erreur (le véritable prix était de 1 899,80 euros) mais l’information se répand très vite sur la Toile via Le Journal du Geek, Twitter et Facebook . L’entreprise ne reconnaîtra ses torts qu’au bout de trois jours par le biais d’une annonce discrète. Trop tard, le mal est fait. Orientez les investigations selon vos priorités Lorsqu’une information erronée ou diffamatoire circule sur le Web, son impact peut être durable, la plupart des sites ayant tendance à conserver les données. Evaluez l’influence des sites et des internautes Tous les sites ne présentent pas la même capacité de nuisance.

L’e-réputation décryptée Le web social, qui permet à tout un chacun de s’exprimer sur n’importe quel sujet, n’importe où et n’importe quand, a entrainé avec lui des notions que nous connaissons tous dans la « vraie vie » : celle de l’image et de la notoriété. Seules différences : nous laissons des traces écrites sur le net, et leur potentiel de propagation est bien plus important. Auparavant, on pouvait dire que le pain de Mme Michu laissait vraiment à désirer. On en parlait autour de soi et, à la limite, on pouvait toucher les amis de nos amis, qui finissaient par savoir eux aussi que la baguette Michu n’est vraiment pas bonne. Aujourd’hui, on peut publier un message sur Mme Michu sur des forums, sur des communautés de fans de pains, sur les réseaux sociaux ou sur son blog. Pour faire court, l’identité numérique rassemble tous les éléments qui permettent à une personne (physique ou morale) de construire son identité en ligne. Reprenons l’exemple de Mme Michu, et de son pain apparemment mauvais.

Intérêt du Personnal Knowledge Management en organisation Résumé : Un grand mérite de la Gestion Personnelle des Connaissances* (PKM) est de remettre l’utilisateur au centre du dispositif KM. Certes ses enjeux en organisation paraissent modestes relativement à d'autres leviers d'action KM. Mais, peu coûteux en moyens, le PKM permet d'obtenir des résultats rapides auprès des opérationnels. Idéal pour le Knowledge Manager qui doit d'abord faire ses preuves. I. Les promoteurs du PKM n'hésitent pas à s'opposer aux approches centrées sur la codification ou sur l'échange de connaissances. La surabondance d’informations est l'obstacle majeur rencontré par un grand nombre de collaborateurs. Le PKM se distingue en apportant des outils et des méthodes applicablespar l'opérationnel, pour l'opérationnel, à son niveau individuel. II. Le PKM optimise donc le travail de consommation des informations et des connaissances. III. Le PKM est donc une corde parmi d'autres à l'arc du Knowledge Manager.

Related: