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Le Codex Seraphinianus - Le livre le plus étrange du monde

Le Codex Seraphinianus - Le livre le plus étrange du monde
Certains considèrent ce livre comme le plus étrange jamais paru. Ce livre d’art pas comme les autres est unique et déroutant, grotesque et superbe, mais impossible à décrire. Le Codex Seraphinianus, de l’artiste italien Luigi Serafini, nous transporte dans un univers fantastique étrange par son propre alphabet (illisible) et ses nombreuses illustrations, qui puisent leur inspiration dans l’époque moderne, mais dérivent vers l’absurde. Cet ouvrage est publié pour la première fois en deux volumes, par Franco Maria Ricci, en 1981. Le Codex Seraphinianus est décrit comme un livre de "l’âge de l’information", époque à laquelle le codage et le décodage de messages deviennent de plus en plus important en génétique, en informatique et dans la critique littéraire : il présente une vision créative de cette époque. à l’époque de l’Internet et des blogs ? Déjà la couverture constitue une énigme. Trouvez vos exemplaires du Codex Seraphinianus en édition originale Related:  Mes centres ,,

Le code QR en pédagogie Le codes QR envahit notre environnement. Parfois appelé Flashcode , il s’agit d’un code-barre de forme carrée qu’il suffit de scanner, (de "flasher", comme on dit !) avec un smartphone ou une tablette pour lire les informations qu’il contient. La lecture déclenche alors sur l’appareil une action qui peut être l’affichage d’un texte, la création d’un nouveau contact, l’ajout d’un événement à l’agenda, l’envoi d’un courriel , l’accès direct à une ressource web de nature variée (image, fichier texte, audio ou vidéo)... [1] Il fait aujourd’hui son entrée dans le domaine de l’éducation ! Utilisé généralement pour enrichir les documents mis à la disposition des élèves (documents distribués, affichages, vidéoprojections...), le code QR peut être associé à de multiples situations pédagogiques. Un apprentissage nomade De plus en plus, le cours s’effectue en dehors d’une classe dite traditionnelle. Un accès aux ressources facilité : des ressources directement intégrées dans l’appareil mobile

Manuscrit Vous avez choisi de soumettre un manuscrit à Mémoire d’encrier, nous vous remercions de cette confiance. Avant de débourser en impression et frais postaux, nous vous prions de vérifier que votre manuscrit correspond à la ligne éditoriale de la maison en flânant sur notre site web ou en feuilletant les publications en librairie. Si vous avez des questions, vous pouvez communiquer avec nous à l’adresse : manuscrits@memoiredencrier.com Pour soumettre un manuscrit, vous devez nous le faire parvenir à l’adresse suivante : Mémoire d’encrier Inc. a/s Comité de lecture 1260 Rue Bélanger, Bureau 201 Montréal, Québec, H2S 1H9 Les manuscrits doivent être accompagnés d’une lettre d’intention dans laquelle doivent figurer vos coordonnées complètes. Toute communication ultérieure avec vous se fera par le biais de votre adresse électronique. Pour les délais de réponse, comptez un minimum de six mois. Les manuscrits refusés ne seront pas retournés, ils seront détruits. Au plaisir de vous lire!

Plan de Rome Le Pont Fabricius, aujourd'hui Ponte Quattro Capi, relie l'île Tibérine au Champ de Mars, à la hauteur du Théâtre de Marcellus. Il est constitué d'une pile centrale et de deux arches d'une portée de 24,50 m environ. Les inscriptions sur le pont et les textes anciens permettent de dater précisément l'édification de 62 av. J. Le Pont Fabricius, long de 62 m et large de 5,50 m, est le mieux conservé de tous les ponts antiques de Rome et le seul qui a gardé son caractère antique. La petite ouverture sur la pile centrale est destinée à diminuer la pression lors des crues. La dédicace (62 av. L FABRICIVS CF CVR VIAR FACIVNDUM COERAVIT « L. Une deuxième inscription, répétée an amont et en aval au dessus de la petite ouverture de la pile centrale, indique que le même personnage a vérifié la solidité : (E) I DEMQVE PROBAV(E)IT Une troisième inscription plus tardive (vers 21 av.

Le bonheur, un idéal qui rend malheureux? FIGAROVOX/ENTRETIEN - Le philosophe allemand Wilhelm Schmid vient de publier un essai intitulé Le Bonheur. Alors que le sujet de philosophie proposé aux élèves de terminale S est «Vivons-nous pour être heureux ?», FigaroVox lui a demandé sa définition du bonheur. Wilhelm Schmid vit à Berlin et enseigne la philosophie à l'université d'Erfurt. FigaroVox. - Votre livre s'intitule Le Bonheur. Wilhelm Schmid. - Il existe trois types de bonheur. Un deuxième type de bonheur a toutefois une signification encore supérieure pour l'homme moderne: le bonheur du bien-être. Mais seul l'art de vivre philosophique est capable d'éviter à un homme de résumer toute sa vie à un unique bonheur de bien-être. Un indice du bonheur national brut a été créé par l'ONU. Le bonheur ne peut évidemment pas se mesurer de manière générale, d'autant plus qu'il est très subjectif et que ses représentations varient selon les cultures. Dès le Ier siècle après J. Oui, on peut effectivement parler de tyrannie du bonheur.

Imprimerie Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'imprimerie est un ensemble de techniques permettant la reproduction d'écrits et d'illustrations sur support matériel en grande quantité, permettant ainsi une distribution de masse. Généralement, on utilise des supports plans et la matière la plus utilisée est le papier. Ces techniques forment ce que l'on appelle communément la chaîne graphique. Histoire[modifier | modifier le code] L'histoire de l'imprimerie est étroitement liée au développement de l’humanité et de la culture. Des scribes dans l'Égypte antique, qui gravaient sur la pierre et écrivaient sur papyrus, aux moines copistes médiévaux, qui passaient leurs journées à reproduire des œuvres — religieuses pour la plupart — en les recopiant à la main, l'homme a régulièrement essayé d'automatiser ces moyens de copie. En Extrême-Orient[modifier | modifier le code] La xylographie a été pratiquée dès le VIIe siècle en Chine. Les plus anciens xylographes ont été découverts :

Maquette de Rome Le prix de la reconnaissance littéraire : Kamel Daoud, Boualem Sansal et le système littéraire français de légitimation Les éditions Pauvert ont édité un très intéressant ouvrage écrit par une jeune chercheuse et romancière, Kaoutar Harchi. Une étude issue d'une thèse de doctorat en sociologie1. Kaoutar Harchi a enseigné au sein de différentes universités françaises et a publié de nombreux articles sur la littérature, notamment algérienne. Sa recherche pose la question de la reconnaissance littéraire des écrivains non français d'expression française. D'emblée se pose la question de «la langue de l'autre» et du rapport qu'entretient avec elle l'écrivain. Tous ces écrivains, Kateb, Djebar, Daoud et Sansal ont été, d'une manière ou d'une autre, consacrés par les institutions littéraires françaises. Les deux derniers romans que ces auteurs ont écrits sont «Meursault, contre-enquête» pour Kamel Daoud4 et «2084. Le transfert de l'œuvre du pays d'origine vers «le Centre littéraire» est accompagné par celui de l'auteur (même temporairement). Il en est de même pour Boualem Sansal. * Auteur, éditeur Notes : 4- Éd.

Moi, Auguste, Empereur de Rome - Grand Palais Du 19 mars au 13 juillet 2014 Fils adoptif de Jules César, Auguste (63 av J.C. – 14 ap J.C.) est le premier empereur romain de l’Histoire. Son nom est indissociable de la grandeur et de la gloire de l’empire qu’il contribua à pacifier et dont il réforma les institutions. Dans la politique habile qu’il mène, l’art occupe une place essentielle. Ses portraits diffusés dans tout l’empire véhiculent partout une image originale de l’homme d’État. D’Octave à Auguste. La première partie de l’exposition rappelle d’abord ce cadre historique en présentant des effigies des protagonistes des 2 triumvirats et en évoquant la bataille d’Actium et l’iconographie de la victoire qui y est associée. L’âge d’or. Le parcours évoque également l’adhésion des élites – aristocratie romaine et provinciale, affranchis, plébéiens – au nouveau régime politique, à travers des oeuvres de prestige qui se multiplient et véhiculent l’image du princeps. L’Empire. Mort et apothéose.

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