Théorie générale de la connaissance. M. Schlick. NRF; « bibliothèque de philosophie ». Gallimard (2009). 548 pp. ISBN: 978-2-07-077185-1. (index inclus) (Traduit de l’allemand et présenté par Christian Bonnet)
Dans son introduction (pp. 7–24) , Christian Bonnet nous précise qui était Monitz Schlick, né à Berlin en 1882. Ce philosophe éprouvait une « profonde méfiance à l’égard de toute spéculation pure ». Il suit une formation scientifique (physique et mathématique) associée à une formation de philosophie. Il est souvent considéré comme un autodidacte en philosophie. La physique devrait satisfaire son désir de comprendre le monde. Il a publié « Sagesse dans la vie. Après avoir suivi les cours de Gustav Störring (philosophe et psychologue) il s’est intéressé aux questions de philosophie de la connaissance et d’épistémologie. « La théorie générale de la connaissance » est publiée à Berlin en 1918, Schlick fut l’un des tout premiers à tirer les leçons de la théorie de la relativité et à prendre la mesure de la révolution philosophique qu’elle a impliquée. Schlick fait partie de ceux qui pensent que la « relativité » ébranle les principes de la philosophie kantienne. –Qu’est-ce que la vérité ?
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Moritz Schlick
Moritz Schlick en 1930 Moritz Schlick est un philosophe et physicien allemand né à Berlin le 14 avril 1882 et assassiné le 22 juin 1936 par un de ses anciens élèves. Si le jeune Schlick se tourne vers la physique, c’est, de son propre aveu, « par besoin philosophique et dans un esprit philosophique » , autrement dit pour satisfaire son désir de comprendre le monde et non par goût pour le détail des faits et des phénomènes naturels. Théorie générale de la connaissance , Moritz Schlick (trad. Cet ouvrage bien qu’ancien est un outil essentiel pour celles et ceux qui souhaitent développer les connaissances (et donc secondairement les compétences) dans le champ de la médecine palliative et accompagnante. Médecine palliative, Volume 10, n° 1 , Marcel-Louis Viallard, éd. Vous pouvez également consulter les articles suivants sur les autres projets Wikimedia :
Démon de Laplace
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'expression « démon de Laplace », aussi parfois appelé « génie de Laplace » fait référence à une expérience de pensée proposée par Laplace dans son ouvrage Essai philosophique sur les probabilités (1814) pour illustrer son interprétation du déterminisme : « Une intelligence qui, à un instant donné, connaîtrait toutes les forces dont la nature est animée et la situation respective des êtres qui la composent, si d’ailleurs elle était suffisamment vaste pour soumettre ces données à l’analyse, embrasserait dans la même formule les mouvements des plus grands corps de l’univers et ceux du plus léger atome ; rien ne serait incertain pour elle, et l’avenir, comme le passé, serait présent à ses yeux. » — Pierre Simon Laplace, Essai philosophique sur les probabilités[1] Le terme « démon » ne provient pas de Laplace lui-même mais a été introduit par ses commentateurs. Références[modifier | modifier le code] Voir aussi[modifier | modifier le code]
Jacques Bouveresse
Jacques Bouveresse , né le 20 août 1940, est un philosophe français . Il est aujourd'hui professeur au Collège de France où il occupe la chaire de philosophie du langage et de la connaissance , succédant à son maître et ami Jules Vuillemin . Essais II , 2001 [ modifier ] Il n'est plus possible aujourd'hui de rejeter simplement comme faisant partie des lamentations traditionnelles de la pensée réactionnaire l'idée, défendue par Klages, que le but réel de ce qu'on est convenu d'appeler le « progrès » pourrait être, en fin de compte, l'anéantissement pur et simple de la vie sous toutes ses formes. Essais II , Jacques Bouveresse, éd. Agone, 2001, p. 8 Citation choisie citation du jour pour le 16 septembre 2009 . En parlant, comme je le fais ici, de la confrontation entre le rationalisme et l’irrationalisme, j’ai, il est vrai, l’impression de renvoyer un peu à la préhistoire. Essais II, l’époque, la mode, la morale, la satire (texte en ligne) , Jacques Bouveresse, éd.