background preloader

Reportage vidéo web - Johannesburg, un urbanisme sous pression : Geo.fr

Reportage vidéo web - Johannesburg, un urbanisme sous pression : Geo.fr

"Cachez cette ségrégation que je ne saurais voir !" (dixit la Coupe du Monde de foot aux Sud Africains) - Globe Carte de Johannesburg vue par le MAE: focus sur l'insécurité ©MAE "Après l'apartheid, la ségrégation sociale recoupant des critères raciaux s'est renforcée. Les anciens quartiers résidentiels blancs des classes moyennes ou aisées sont devenus les quartiers riches et sont les seuls à avoir connu un peu plus de mixité raciale, mais non sociale. Les quartiers noirs pauvres sont restés identiques socialement à ce qui existait sous l'apartheid" (notice Villes d'Afrique du Sud, wikipedia). Tel était, en 2000, déjà, le diagnostic de Philippe Gervais Lambony et Myriam Houssay-Holzschuch. Sur ce spot officiel du Mondial 2010, c'est bien simple: pas une ombre de ville. Ce spot publicitaire ci dessous vaut aussi son pesant de cacahuètes: après le roi Lion, voici venu l'Afrique du sud idyllique des gentils footballeurs. Quitte à parler des villes, parlons de l'insécurité: voilà qui est plus sérieux et plus avouable que la ségrégation, au pays Arc en ciel, 20 ans après l'abolition de l'apartheid.

Johannesburg, métropole africaine et bientôt mondiale - Le blog de Diedrich Pour autant, les problèmes de la métropole demeurent : - la criminalité est très forte tant dans les quartiers noirs que dans les blancs. - Les contrastes économiques et sociaux entre noirs et blancs sont omniprésents : Le problème de la distribution de l'eau par exemple, illustre aussi les forts contrastes de la société sud-africaine : dans le quartier noir d'Alexandra, la consommation d'eau par jour et par personne est de 90 litres contre plus de 400 dans le quartier riche et blanc de Sandton. - L'immigration intense des pays voisins en direction de la métropole maintient une forte spéculation foncière. Johannesburg est sans aucun doute une métropole mondiale naissante qui fait figure à la fois de meilleur élève du continent africain et donc de centre d'impulsion pour ce continent. Pour autant, les problèmes demeurent, la ville est marquée par des contrastes ethniques et sociaux très forts. Jean-Christophe Diedrich

Ville d'apartheid, ville de ségrégation : Johannesburg - Bulletin n°28 le centre ville de Johannesburg, cliché GDF Ville d'apartheid, ville de ségrégation : Johannesburg 1- L'apartheid ou le développement séparé Le 22 février 1990, le président sud-africain Frédérik De Klerk annonce à un parlement stupéfait son intention d'abroger toutes les lois ségrégationnistes et de partager le pouvoir avec les Noirs. […] Il met fin à un siècle de privilèges exorbitants d'une minorité blanche sur une majorité de couleur, au nom de la race. A/ Une histoire politique sud-africaine : 1) Présentez les grandes dates de la politique d'Apartheid ? 3- le township d'Alexandra : un modèle d'urbanisme sécuritaire 4- 350 000 âmes s'entassent dans les "frontières" fixées par l'apartheid « Alex » est le symbole de la société sud africaine coupée en deux. Coincée dans ses « frontières », entre Sandton et la rivière Juskei, Alexandra étouffe. 350 000 personnes y vivent (sur 50 km² environ) alors que les infrastructures n'ont été prévues que pour 70 000 habitants. F.

Alexandra, Gauteng Alexandra is situated on the banks of the Jukskei River. In addition to its original, reasonably well-built houses, it also has a large number (estimated at more than 20,000) of informal dwellings or "shacks". History[edit] Early history[edit] Alexandra was established in 1912, on land originally owned by a farmer, a Mr. By 1916, the population of Alexandra had grown to 30,000 people and thus the Alexandra Health Committee was established to manage the township. 1950–2000[edit] Local residents of 15th Ave, Alexandra In the early 1960s, the government decided to demolish all family accommodation in Alexandra and replace them with single-sex hostels, which led to widespread resistance and protest. The riots that started in Soweto in June 1976 quickly spread to other areas such as Alexandra, where 19 people were killed. Finally, in 1982, Alexandra was given the official status of a residential area and the then Alexandra liaison committee, led by Rev Buti, was instituted to run the township.

Related: