Maxime Doki-Thonon (RocketLinks) : "Les ténors du e-commerce nous achètent aussi des liens" Pourquoi et comment vendre ou acheter des backlinks pour améliorer son référencement ? Réponse avec RocketLinks qui s'est lancé dans cette activité, pourtant interdite par les consignes de Google... JdN. Maxime Doki-Thonon. 4300 sites sont désormais inscrits dans notre catalogue qui présente des sites vendant des liens dans tous les types de secteurs, même si certains sont plus représentés que d'autres, comme la high-tech, la mode ou la finance notamment. Tous les types de liens peuvent être vendus ou achetés, qu'ils soient en page d'accueil, dans le footer, dans le blogroll, sur une page interne, etc. Les liens sont loués au mois : il est donc possible de les enlever lorsque l'abonnement n'est plus payé, même si cela n'est arrivé qu'une seule fois ces neuf derniers mois. Ces liens sont tous en dofollow, or l'achat et la vente de liens de ce type sont proscrits dans les consignes de Google... Google n'a aucun moyen de savoir que des liens sont achetés ou vendus. Combien coûte un lien ?
Rédaction web : un chapeau pour découvrir votre contenu ! Le chapeau d’un article est le deuxième élément le plus important après le titre. 95% des internautes le lisent en entier. Il complète le titre. Il donne envie d’en lire davantage. Voici quelques conseils utiles pour bien le rédiger. [Source photo : archicampus.net] Petite devinette : mon premier découvre sans en montrer trop ; mon deuxième donne envie d’en voir davantage ; mon tout est une zone chaude. A vous tous, perdus dans vos pensées coquines, désolé de vous décevoir. Le chapeau (ou chapô) est un résumé succinct de votre contenu. compléter le titre et apporter un supplément d’information ;susciter le désir d’en lire plus. Le savez-vous ? Le rôle du contenu est déterminant, certes. Votre chapeau, on le remarque ? Le chapeau est un ancrage visuel. Le chapeau, c’est la deuxième zone chaude la plus importante après le titre. Pour votre chapeau, privilégiez le petit bob à la longue coiffe On vous l’a déjà répété à plusieurs reprises. Voici un exemple concret sorti d’un de nos articles :
Liens réciproques : faut-il encore échanger ? Il fut une époque ou l’échange de liens était très à la mode. Assez facile à mettre en place lorsqu’il suffisait de faire une simple liste de liens dans une page partenaire, on assistait alors à des volumes d’échanges importants, la plupart du temps réciproques (tu me fais un lien et je te fais un lien). Oui mais ça, c’était avant… Un lien réciproque, Kesako ? C’est simple : votre site (A) fait un lien vers le site (B)le site (B) fait un lien vers votre site (A) Pourquoi faire des échanges de liens ? Il y a très longtemps (oui je vieillis) on se faisait des échanges de liens parce que l’on appréciait de se renvoyer l’ascenseur en terme de trafic lorsque l’on avait un site dans la même thématique que son « partenaire ». Et puis Google a imposé son algo. Puis les choses ont évolué. Et je ne parle même pas de ces footers foireux ou les liens s’agglutinent toujours de manière réciproque avec les sites « amis »… Google est-il encore dupe ? Nan mais à l’huile quoi ! Mon constat Mon quotidien.
SEO : Mozilla pénalisé par Google pour des spams en commentaires Du contenu généré par les utilisateurs mais mal modéré peut déclencher une pénalité de moteur de recherche. Mozilla vient d'en donner la preuve... Mozilla a été victime d'une pénalité manuelle de Google. Le moteur de recherche lui a en effet fait parvenir un message lui indiquant avoir découvert du spam dans le contenu généré par les utilisateurs. Et pour cause, les pages pénalisées ont tout simplement pu être retirées de l'index de Google, lui a rappelé John Muller, un employé du groupe américain venu répondre à l'incompréhension exprimée par l'employé de Mozilla. De plus, John Muller n'a pas eu de mal à montrer à Christopher More des exemples de pages que Google pouvait considérer comme contenant du spam en commentaire. Et pour cause cette page a reçu pas loin de 12 Mo de spam réparti dans plus de 21 000 commentaires.
Référencement SEO Parfait d'une Page Web | Guerilla Web Avec la permission spéciale de l’équipe d’élite en référencement web de SEOmoz, voici la traduction de l’article de Rand Fishkin par rapport à l’optimisation parfaite d’une page web afin d’obtenir les meilleurs résultats possible pour votre optimisation « on-site » de votre site web. Comment référencer parfaitement une page web? Les recommandations suivantes vous aideront à arriver à un référencement SEO optimal de votre page selon les mots clés que vous aurez visés. Les techniques présentées sont souvent justifiées par plusieurs études poussées sur la question et d’innombrables tests afin d’arriver aux conclusions partagées. Balises HTML dans la portion <head> de votre page Title – L’élément le plus important sur votre page, la balise Title devrait contenir préférablement le mot clé ou la phrase clé dans les premiers mots de la balise. Adresse URL Éléments dans le <Body> de votre page Liens internes et localisation dans l’architecture de site Architecture d’une page
7 Simple Ways To Boost SEO With Pinterest Pinterest is becoming the fastest growing social media platform, so it pays to tap into this gold mine of SEO opportunities. Whether your SEO efforts focus on creating backlinks, keyword rich text, or content marketing, Pinterest is a valuable SEO tool. Here’s how to harness it for your marketing efforts. 1. Create Unique Content Image via Flickr by qthomasbower Just like websites, blogs, and other Internet outlets, fresh and unique content is rated higher than rehashed material. 2. When you create captions and content for your Pinterest posts, add relevant links to your website or blog. 3. Keyword are as relevant in your Pinterest posts as they are on your landing pages and blog. 4. Don’t forget to add a “Pin It” button to your blog, website, and other online pages. 5. Like all social media, you have to work hard to build a follower base, but you rank better with search engines when your base is large. 6. 7.
Negative SEO, le retour de bâton du référencement Le Negative SEO, ou NSEO, est l'ensemble des techniques plus ou moins propres qui permettent de détruire le référencement naturel d'autres sites web. Vous allez me demander comment nous en sommes arrivés là, et je vous répondrai que l'émergence de cette activité "tendance" résulte de deux raisons aussi évidentes que dommageables : Google est largement leader en France et se plaît à pénaliser à tout va tout ce qui touche de près ou de loin son algorithme de "pertinence". Je me fais volontairement l'avocat du diable et je profite de cette ironie pour rappeler qu'il n'est pas toujours bon de déifier Google, il est loin d'être exempt de tout défaut et le Negative SEO en est la preuve...L'être humain est guerrier par essence, et lorsqu'il s'agit de parts de marché, d'argent et de référencement, beaucoup de référenceurs mal intentionnés n'hésitent pas à utiliser les techniques les plus pathétiques et honteuses pour rabaisser les autres sites concurrents. Mainten Que peut-on imaginer encore ?
Google change les résultats des recherches sur mobile Pour aider les mobinautes à aller plus rapidement aux pages internes d'un site, le moteur de recherche revoit les premiers résultats affichés sur mobile en pouvant les enrichir d'une longue liste de sitelinks. Dans un billet appelé "rendre la recherche mobile plus rapide", Google a annoncé quelques nouveautés concernant les résultats générés par une recherche sur un mobile. Ces derniers pourront désormais faire apparaître sous le premier résultat une liste de ses pages internes, présentées sous la forme de sitelinks (voir capture ci-dessous). Google explique qu'il s'agit de faire gagner du temps au mobinaute, qui peut avoir envie de se rendre directement sur l'une de ces pages, sans passer par la page d'accueil par exemple. Ces changements sont déjà visibles sur certaines recherches réalisées en France depuis un smartphone sur Google.fr.
9 différents types de Rich Snippets (extraits enrichis)? Connaissez-vous les différents types de Rich Snippets ? Vous savez les extraits enrichis dans les résultats de recherche Google qui permettent d'afficher une image à côté du résultat d'une requête. Nous commençons à être familier avec le Rich Snippets Auteur qui permet d'afficher la photo de l'auteur mais savez vous qu'il y'en a de nombreux autres ? Cet article en détaille 9 d'entre eux. L'extrait enrichi auteur - Author Snippets Le snippet auteur inclus les éléments suivants: Le nom de l'auteur La photo de l'auteur telle qu'elle apparait dans Google+ Dans combien de cercle Google+ l'auteur est-il présent Des liens vers d'autres articles de l'auteur Pour faire un rich snippets auteur > L'extrait enrichi Organisation - Business and Organization Snippets L'extrait enrichi Organisation peut présenter les informations de localisation de l'organisation, les informations de contact, les tarifs, les horaires d'ouverture, les commentaires clients, ou les articles de blog de l'organisation.
Données le vertige Des flots d’octets, un océan de données, un déluge de connaissances… A mesure qu’Internet tisse sa toile, le volume d’informations numérisées n’en finit plus d’exploser. D’ici huit ans, cette masse vertigineuse de «datas» sera 50 fois supérieure à ce qu’elle est aujourd’hui, prédit le cabinet d’études IDC. Et il faudra dix fois plus de serveurs informatiques pour espérer gérer cette déferlante. Pas par crainte d’être submergés, mais plutôt pour être en mesure de retrouver, d’extraire et d’exploiter cette nouvelle manne. Il y a vingt ans, nous stockions encore nos fichiers sur des disques durs de quelques mégaoctets (1 Mo équivaut à 1 000 000 d’octets, soit 106 octets, 1 octet valant 8 bits ; le bit est l’unité de base en informatique, à savoir un 0 ou un 1). Photo: Emmanuel Pierrot.Vu pour Libération «Capteurs». C’est là qu’intervient une nouvelle discipline : le «big data». Mesagraph fournit ainsi à Canal + une modélisation de son audience à partir des conversations sur Twitter.
Données le vertige Des flots d’octets, un océan de données, un déluge de connaissances… A mesure qu’Internet tisse sa toile, le volume d’informations numérisées n’en finit plus d’exploser. D’ici huit ans, cette masse vertigineuse de «datas» sera 50 fois supérieure à ce qu’elle est aujourd’hui, prédit le cabinet d’études IDC. Et il faudra dix fois plus de serveurs informatiques pour espérer gérer cette déferlante. Pas par crainte d’être submergés, mais plutôt pour être en mesure de retrouver, d’extraire et d’exploiter cette nouvelle manne. Il y a vingt ans, nous stockions encore nos fichiers sur des disques durs de quelques mégaoctets (1 Mo équivaut à 1 000 000 d’octets, soit 106 octets, 1 octet valant 8 bits ; le bit est l’unité de base en informatique, à savoir un 0 ou un 1). Photo: Emmanuel Pierrot.Vu pour Libération «Capteurs». C’est là qu’intervient une nouvelle discipline : le «big data». Mesagraph fournit ainsi à Canal + une modélisation de son audience à partir des conversations sur Twitter.