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Meurtre de Laetitia Toureaux dans le métro en 1937

Meurtre de Laetitia Toureaux dans le métro en 1937
Dimanche 16 mai 1937, 18h30. Laetitia Toureaux, une jeune ouvrière d’origine italienne monte dans une rame Porte de Charenton, au terminus de la ligne 8. Une minute plus tard, six voyageurs montent à la station suivante, Porte Dorée. Tout à coup, tandis que le métro repart, son corps s’écroule au sol dans une mare de sang. Ce 16 mai 1937, le métro parisien connut donc son premier meurtre, et le plus fort, c’est qu’il resta longtemps totalement inexpliqué et même inexplicable ! On s’intéressera à la personnalité trouble de Laetitia Toureaux. S’agissait-il d’un règlement de compte ? Soudain, 25 ans plus tard, coup de théâtre : la police recevait en juin 1962, une lettre d’un médecin de Perpignan qui se déclarait être l’assassin de la belle Laetitia, dévoilant un scénario possible et un mobile d’un nouveau genre : la jalousie… l’aveu est tardif et anonyme. Voici la lettre d’aveux de l’assassin de Laetitia Toureaux en juin 1962 Les chroniques De.Phoebus Paris-unplugged

La légende de la tombe de Victor Noir 10 janvier 1870… Yvan Salmon journaliste, dit Victor Noir, se présente au 59 rue d’Auteuil chez le Prince Pierre Bonaparte, cousin de l’Empereur. Il accompagne son confrère Ulrich de Fonveille. Les deux hommes sont là en qualité de témoin d’un certain Pascal Grousset, qui, s’estimant diffamé par un article signé du Prince, souhaite le provoquer en duel. La mort brutale de ce jeune journaliste de 21 ans fut récupérée par tous les opposants au régime, tel le symbole de la répression impériale contre les libertés publiques. Cet épisode marquera pour le Second Empire, le début d’une longue période de déclin qui s’achèvera le 2 septembre par la défaite de Sedan. Il suffit d’observer la lustration des proéminences du monument pour se convaincre que la légende garde la peau dure. © Christophe Mourthé Les chroniques De.Phoebus Paris-unplugged

Paris 1900-2013 en photos : pilotez notre fabuleuse machine à remonter le temps | Rue89 Culture Dix autochromes, commandés par un riche banquier, de la capitale au siècle dernier... en face de dix photos, prises par nous cette année. Rue89 vous invite à sentir le temps passé. Mode d’emploi - Les flèches à droite et à gauche de l’image, pour changer de photos. - La poignée rouge, pour remonter le temps. Ces photos parisiennes du début du XXe siècle, que vous connaissez peut-être, nous ont fascinés. Albert Kahn a envoyé des photographes à travers le monde entier pour réaliser un fonds photographique qui comprendra au final plus de 60 pays et 72 000 plaques autochromes. Plusieurs photographes (ou « opérateurs ») ont réalisé ces autochromes parisiens au début du siècle dernier. Nous avons voulu revoir ces endroits, sentir le temps passé. Making of Audrey est partie avec son appareil et son pied. Nous interrogions de temps en temps des vieux du quartier, Pascal leur demandant de commenter les images que nous leur montrions.

La colonne de Juillet : le génie de la liberté « Non Serviam »- « Je ne servirai pas ! » Quelques mots suffirent à Dieu pour précipiter la plus belle de ses créatures au fond de l’abîme. Lucifer, le porteur de Lumière, entraîna avec lui un tiers des anges dans sa révolte. L’enfer fut créé pour lui. La colonne de Juillet Place de la Bastille, fut érigée entre 1833 et 1840. Durant la commune de Paris en 1870, après avoir abattu la colonne Vendôme, les communards s’en prirent à celle de la Bastille… sans succès. Crédit photos Génie de la Liberté : Edouard Bergé; ElleFixe; ParisZigZag; Paris dans mon oeil Les chroniques De.Phoebus Paris-unplugged

La dernière prison de Paris Paris a connu de nombreuses prisons pendant son histoire, sans compter des maisons de santé transformées en petit centre pénitentiaire. Parmi les plus connues, nous pouvons citer la Bastille, la Conciergerie, la prison du Temple (Louis XVI y a été emprisonné), la Petite et la Grande Roquette (devant laquelle était installée la guillotine à Paris dont des traces sont toujours visibles). Au fil des siècles, presque toutes les prisons de Paris furent démolies ou fermées dans la ville intramuros. Il ne reste aujourd’hui qu’une seule prison à Paris toujours en activité : la prison de la Santé. En vous baladant vers le boulevard Arago et la rue de la Santé dans le 14ème arrondissement (à 10 minutes à pied de la place Denfert Rochereau), vous vous retrouverez nez à nez face à ce bâtiment des plus imposants. Grandes murailles, barbelés, petites fenêtres de cellules en hauteur, pas de doute possible, la seule prison de Paris est sous vos yeux. Côté Pratique

Paris Avant : interview d'une machine à remonter le temps ! Nous avions découvert il y a quelque temps l’application Paris Avant très intéressante pour comprendre et voir l’évolution des bâtiments, des rues, des commerçants, des vieilles enseignes à Paris. On a voulu en savoir un peu plus sur leur façon de collecter les infos et profiter de leur œil d’expert du avant/après à Paris. Nous les avons donc rencontrés pour une interview et voici leur Paris d’avant ! 1. Nous sommes 3 dans l’équipe de Ma Ville Avant : Gwendal, Jean et Sylvain. Nous développons des applications mobiles, et l’idée d’une application « Paris Avant » pour faire voyager les gens dans le temps nous est donc venue très rapidement. 2. La période est volontairement restreinte aux années 1890-1920, à quelques rares exceptions près. La photo la plus ancienne de Paris qui soit connue est celle prise par Daguerre en 1837 ou 1838. 3. Les changements les plus radicaux ont eu lieu dans les arrondissements les plus éloignés. 4. 5. 6. J’aurais adoré voir le puits artésien de Grenelle. 7.

Le barbier et du pâtissier sanguinaire de l'île de la Cité A la fin du 14ème siècle, les petits pâtés d’un maître pâtissier de l’Île de la Cité comptaient parmi les plus réputés de la capitale. Délicats et savoureux, ils avaient pourtant une recette très singulière ainsi qu’un petit parfum de crime. La légende dit q’en 1384 au coeur de l’Île de la Cité, un pâtissier et un barbier de la rue des Marmousets s’étaient associés pour un trafic aussi rentable que macabre. Leur funeste entente reposait sur une froide répartition des tâches. A charge pour le barbier d’égorger les proies, souvent de pauvres étudiants du chapitre de Notre Dame. Une fois les corps dépecés, celui-ci les envoyait par une trappe chez son voisin le pâtissier. Les deux compères furent démasqués en 1387 lorsque le chien de l’une des victimes alerta le voisinage et la maréchaussée par ses hurlements continus devant la boutique du pâtissier sanguinaire. Dans la cave des preuves accablantes furent découvertes dont le fameux billot servant à étriper les corps.

L'éléphant de la Bastille Si aujourd’hui tout le monde connait la place de la bastille, sa colonne de Juillet et son génie de la liberté, on connait moins l’existence de l’éléphant de la bastille auquel fait référence Victor Hugo dans les misérables. Voici donc l’étonnante histoire de cet éphémère éléphant dont il ne reste rien ! Tout commence en 1808 … Napoléon désireux de donner à Paris les signes de la grandeur de la France choisi de dresser une fontaine gigantesque …le seul problème alors est de trouver où ? Place de l’Étoile ? La pensée de l’empereur se précise le 9 février 1810 : « Il sera élevé sur la place de la Bastille, une fontaine de la forme d’un éléphant en bronze, fondu avec les canons pris sur les Espagnols insurgés ; cet éléphant sera chargé d’une tour et sera tel que s’en servaient les anciens ; l’eau jaillira de sa trompe. La carcasse, située au niveau du débouché du Boulevard de la Bastille et de la rue de Lyon, ne fut démontée qu’en juillet 1846.

D’où vient le nom de bateaux Mouches ? C’est à l’occasion de l’exposition universelle de Paris en 1867 que les premiers bateaux-mouches firent leur entrée dans la capitale. À la suite d’un concours lancé par les organisateurs de l’exposition, le constructeur naval lyonnais Michel Félizat remporta le prix et achemina une trentaine d’exemplaires de ses bateaux construits dans ses ateliers implantés dans le quartier de la Mouche à Lyon (d’où leur nom). Après la guerre, le transport fluvial de voyageurs disparut rapidement au profit des transports terrestres et souterrains (Métro). Afin de faire parler de sa nouvelle activité touristique sur la Seine, Jean Bruel inventa le personnage mythique de Jean-Sébastien Mouche, qu’il présenta comme le concepteur des Bateaux Mouches. Durant l’inauguration de son bateau en 1953, la presse évoqua cet événement insolite, acte fondateur d’une nouvelle activité touristique sur la Seine qui attira depuis des millions de visiteurs.

Endroits disparus de Paris ! Aujourd’hui nous passons en revue quelques endroits de Paris qui ont disparu et pour lesquels les clichés Avant/Après prennent tout leur sens. La liste des endroits de Paris qui ont disparu ou beaucoup changé est longue. On vous propose donc un petit voyage dans le temps ! L’esplanade des invalides Là où aujourd’hui il y a les pelouses, il y avait des bâtiments extraordinaires voire exotiques construits en dur mais prévus juste pour une année. La galerie des machines La galerie des Mahines, vue depuis l’avenue de la Motte-Picquet. Un monument énorme pour l’exposition universelle de 1889. Le puit artésien de la place de Breteuil La tour a disparu en 1903, remplacée en 1904 par la statue de Pasteur Un puit qui a fonctionné pendant quelques années jusqu’à ce que la source se soit tarie. La fontaine de Saint Germain La fontaine Saint Germain à son ancien et nouvel emplacement Parfois il n’est pas facile de savoir quel type de cliché faire quand le monument existe toujours, mais a été déplacé.

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