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Equilibre vie professionnelle/ vie privée

Equilibre vie professionnelle/ vie privée
Un levier de performance pour l’entreprise Le travail est, pour 92% des français, très important. Il est perçu comme un moyen de s’accomplir et une source de développement individuel. Pourtant, ils sont 65% à estimer que le travail prend trop de place dans leur existence. Longtemps les entreprises ont eu une attitude ambivalente concernant le hors-travail, considérant que cela relevait de la sphère privée et non professionnelle. Cette distinction est aujourd’hui dépassée. L’entreprise qui veut attirer, motiver et fidéliser ses talents ne peut désormais faire l’impasse sur la question de l’équilibre vie privée – vie professionnelle. Cependant, il n’existe pas de solutions préétablies. Une société et des attentes qui changent La progression toujours plus forte des familles dites biactives – dans lesquelles les deux parents travaillent – est l’un des changements majeurs auxquels les entreprises font face. Un monde du travail à la traine Nouvelles générations : équilibre wanted ! Télétravail ?

Articuler vie professionnelle et vie personnelle : la quête d’un impossible absolu 1) Comprendre pour mieux appréhender l'articulation vie professionnelle et vie personnelle Comment pouvons-nous définir ce qu'est la vie professionnelle et la vie personnelle ? La vie professionnelle peut être définie de la manière suivante : c'est le temps passé dans ou hors de l'entreprise dans le cadre de l'exercice d'un emploi. L'employeur définit des règles pour régir ce temps professionnel. Depuis ces dernières années, nous avons pu observer de nouveaux services proposés par des villes comme Paris, Rennes, Poitiers, Belfort ou Chambéry : le bureau des Temps. L'exemple de la ville de Rennes est significatif. Ainsi, Thierry Paquot (2) parle-t-il "d'écologie du temps". Les temps sociaux sont de plus en plus inégaux : temps de travail, temps parental, temps domestique, temps individuels, temps de formation, temps de la ville. La féminisation et la flexibilité du travail apparaissent comme les premières variables de cette mutation. Identités et stéréotypes Forte culture du présentéisme

Sociétés : Ces entreprises qui chouchoutent leurs salariés Microsoft, Accenture, Total et d'autres rivalisent d'originalité pour accroître le confort au travail de leurs salariés. Objectif: motiver leurs troupes et valoriser leur marque employeur. Les bureaux de Google France.Crédits photo : Jean-Christophe MARMARA/Le Figaro Dans le hall, une 2CV rouge trône sur une moquette bleue. Derrière, un espace cuisine à l'ambiance familiale. Bien loin d'impersonnel «open space», Google France a joué la carte du bien être en dévoilant, début décembre, le nouveau cadre de travail de ses 350 salariés. Comme Google, les entreprises qui investissent pour le confort au travail de leurs salariés sont de plus en plus nombreuses. Une piscine chez Total L'espace pwCool de PricewaterhouseCoopers. Dans le cadre de son projet «Moving forward» («Allons de l'avant»), la succursale française d'Accenture a par exemple installé des cocons design pour les conciliabules de ses employés, et un «happenspace» où se déroulent spectacles, concerts ou projections.

Motiver les salariés, priorité des entreprises en 2013 Les directeurs de ressources humaines ont trois sujets de préoccupations et de travail prioritaire pour les 24 mois à venir, selon les résultats d'une étude ADP (spécialiste de la gestion paie des entreprises). " Les DRH sont optimistes car ils ont des leviers pour permettre à leur entreprise de traverser la crise. En particulier, la question du niveau d'engagement, de la motivation des collaborateurs va devenir leur cheval de bataille en 2013. Crise de confiance des salariés " Dans ce contexte de chômage élevé, les salariés ont le moral en berne et ils hésitent à quitter leur poste . La banque-assurance réunit la plus forte proportion de DRH " plutôt optimistes " pour l'activité de leur entreprise, soit 86%, contre 67% dans l'industrie manufacturière et 63% dans les transports. 56% des DRH se disent freinés Parallèlement, 56% des entreprises reconnaissent des difficultés pour atteindre leurs objectifs.

Vie pro / vie perso : comment trouver le bon équilibre : Vie pro / vie perso : comment trouver le bon équilibre "Je ne peux pas me dédoubler", "Je n'ai pas assez de temps pour ma famille", "Mon travail m'épuise"... Nombreuses sont les personnes qui ne parviennent pas à vivre pleinement leur vie professionnelle sans avoir l'impression de rogner sur leur sphère privée. Conjoint, enfants, amis, engagements associatifs... Les divers aspects de l'investissement personnel souffrent régulièrement d'un emploi trop prenant. Voici quelques conseils pour retrouver un équilibre dans sa vie, y compris ceux des lecteurs du Journal du Net qui ont témoigné sur le sujet.

Définition de la motivation des salariés | La démotivation au travail | Les thématiques | Enjeux et Obligations RH Stressés, mal payés, peu encouragés, seuls 7% des Français se disent vraiment motivés au travail, loin derrières les allemands qui sont deux fois plus nombreux. Selon cette étude qui s'est intéressée à l'Hexagone et à cinq de ses voisins - l'Allemagne, l'Espagne, la Belgique, le Royaume-Uni et l'Italie, les français sont « recordmen de la démotivation en Europe », avec 40 % de salariés qui affirment que leur motivation diminue. Les cadres sont en première ligne: ils sont plus de la moitié à estimer qu'ils passent trop de temps au bureau (51%, soit 4% de plus qu'en 2008), pour une reconnaissance insuffisante (41 % d'insatisfaits), le tout en étant de moins en moins bien dirigés. En découle un niveau de stress « élevé et en hausse ». Tous salariés confondus, le manque de reconnaissance, une rémunération jugée trop faible (à 68 %) et la charge de travail, sont les principaux griefs de la baisse de motivation des salariés.

Comment «rebooster» la motivation des salariés  Selon une étude de Kelly Services, la participation aux bénéfices est un bon outil. Deux ans près le démarrage de la crise, où en est l'engagement des salariés envers leur entreprise ? Cette question taraude les DRH, qui cherchent les bonnes pratiques susceptibles de redynamiser leur motivation. Selon une étude exclusive de Kelly Services qui sera rendue publique aujourd'hui, plus de la moitié des salariés français estiment qu'ils seraient plus productifs et motivés s'ils bénéficiaient d'une participation aux bénéfices ou s'ils détenaient des actions de leur entreprise. Avantages «en nature» Aujourd'hui, souligne le spécialiste des solutions en ressources humaines, 21 % des salariés disposent d'une partie variable dans leur rémunération, liée à l'atteinte d'un certain nombre d'objectifs. La politique salariale n'est pas le seul outil à la disposition des DRH.

Un "droit à la déconnexion" au travail ? Mes conseils simples aux entreprises et salariés Vers un "droit à la déconnexion" au travail ? (Flickr/Christine und David Schmitt/CC) Si l’initiative du gouvernement et des entreprises dans la reconnaissance du "droit à la déconnexion" est une excellente initiative, les écueils sont encore nombreux pour faire évoluer les mentalités et conduire à un changement de pratiques. En effet, mes recherches conduites sur le sujet depuis 10 ans montrent que les freins viennent des entreprises et des salariés. Des attitudes à changer côté entreprises et salariés Côté entreprise, les attitudes des mangers doivent également changer : pour avoir conduit une enquête comparative France / USA sur l’adoption du mobile par les cadres, j’ai pu constater qu’il rime davantage avec contrôle et stress en France qu’avec autonomie… contrairement à la situation aux USA où la confiance dans le salarié qui télé-travaille est supérieure. Or, comme le confient les enquêtés, à la fin de la journée, on a traité ni ses propres urgences ni ses propres priorités.

Une organisation du travail de plus en plus individualisée Depuis les années 1990, les horaires de travail des Français ont beaucoup évolué. Deux grandes tendances parallèles ressortent : diminution du temps de travail et fragmentation accrue de la semaine au travail. En dix ans, l'organisation du travail des Français a beaucoup évolué. C'est en tout cas le constat dressé par l'étude d'Olivia Sautory et Sandra Zilloniz, publiée dans la revue Économie et Statistiques datée du 29 octobre. Les auteurs distinguent plusieurs types de journées: standard (près de huit heures par jour, du lundi au vendredi), longues, demies journées, décalées matin, après-midi, soirée ou nuit, fragmentées, courtes. Premier constat, l'organisation par semaine reste la norme pour la grande majorité des travailleurs, même si les semaines se font de moins en moins standard (cinq journées standards et un week-end peu travaillé). 36% des personnes en emploi travaillaient enfin le samedi, et 20% le dimanche.

Travailler chez Disneyland Paris (Eurodisney) Offres d'emploi affichées Les avantages des salariés Disneyland Paris (Eurodisney) : jusqu'à 17 jours de congés supplémentaires, jusqu'à 5120 à 7160€ de primes, intéressement ou participation, self, mutuelle, parking, chèques vacances, tickets cinéma, subventions vacances, chèques cadeaux, culture et sport, ce, ... Merci de nous aider à compléter les informations sur Disneyland Paris (Eurodisney) Pourquoi cette mise à jour ? Email : Votre adresse email ne sera pas publiée mais nous permet de vous contacter si besoin Postuler et travailler chez Disneyland Paris (Eurodisney) Voici une sélection d'offres d'emplois proposées par Disneyland Paris (Eurodisney). Business Analyst Informatique - web & eCommerce F/H - Disneyland Paris(2018-03-19T23:00:00Z)Chessy Seine-et-Marne Ile-de-FranceDans le cadre de sa transformation digitale, Disneyland Paris recherche ses futurs talents ! Détail des avantages à travailler pour Disneyland Paris (Eurodisney) Partagez cette page

Zappos, l'entreprise qui bannit les chefs La motivation au travail : sur quels leviers agir Selon Spinoza, le désir est l’essence de tout être. Le philosophe André Comte de Sponville nous dit lui que les individus ne cherchent pas à travailler par nature. Ils ne sont pas mus par ce désir. Pour lui, le travail est avant tout envisagé comme un moyen qui se matérialise par un salaire. Celui-ci sert ensuite à mettre en place les conditions du bonheur telles que définies par chacun. En effet, les attentes des travailleurs ne reposent pas que sur les rémunérations. Les leviers de la motivation Laurence Thomas évoque dans son ouvrage : motiver ses équipes*, trois besoins qui doivent nécessairement être comblés pour mettre en place les conditions de la motivation. Le premier besoin à satisfaire est celui de la stimulation. Le besoin de reconnaissance est également un autre à satisfaire. 37 % des salariés français ressentent un manque de reconnaissance selon l’ANACT (Agence national d’amélioration des conditions de travail). Des objectifs adaptés Donner du sens

Ces outils digitaux qui augmentent l'engagement des collaborateurs Les entreprises peuvent tenir compte des attentes de leurs salariés grâce à une nouvelle solution : les softwares d'engagement. La France est championne du monde… du désengagement au travail, selon une étude menée par Steelcase et Ipsos en 2015. La cause ? Des bureaux bruyants, un manque d'intimité ou des objectifs peu liés à la réalité. Pour éviter cette situation et prendre en compte les attentes des salariés, les entreprises se laissent séduire par des solutions qui permettent d'écouter les collaborateurs en temps réel : les logiciels d'engagement. "Les pays anglo-saxons ont compris depuis plusieurs années qu'il était possible de s'appuyer sur les outils digitaux pour stimuler l'engagement de tous au travail. La plateforme ZestMeUp propose plusieurs modules. Autre solution innovante proposée par les softwares d'engagement, les sondages. "Je pense que l'avenir est aux softwares d'engagement. Labrador Company, société de communication financière fait partie des clients de SuperMood.

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