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Rapport_beylat-tambourin.pdf

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Innovation : les investissements dans les starts-up bondissent Selon le baromètre FIBAMY, paru ce vendredi, les investissements dans les PME du numérique ont détoné au premier semestre 2013. 80 % d’investissements en plus chez les Pigeons L’envolée des pigeons. Les derniers chiffres du baromètre FIBAMY indiquent un progrès de 80 % des investissements dans les Petites et Moyennes Entreprises au premier semestre de cette année. Le montant total atteint près de 15 millions d’euros. En chute de 40 % au dernier trimestre 2012, les investissements, ainsi que le nombre de levées de fonds (+ 108 %), sont remontés en flèche dans le secteur du numérique. La torpeur, engendrée par le projet de loi de finances en 2012, est désormais bien loin. Le combat féroce des Pigeons n’aura pas été qu’illusoire. Pour preuve, « ceux qui investissent dans les PME sont fiers de le faire et d’en parler autour d’eux », constate Jean-David Chamboredon, président du Fonds d’investissement ISAI. La hausse de l’Impôt sur la fortune est aussi responsable de ce gain spontané.

Silver Economy : pourquoi les technologies ont du mal à se développer Le secteur des technologies à destination des Seniors peine à décoller dans beaucoup de pays et notamment en France. Les raisons sont multiples et sont détaillées dans cette analyse. Nous verrons le timing du lancement de la filière SilverEconomy est le bon pour que la France adopte des initiatives de façon à soutenir ce secteur qui est estimé à 2,7 milliards d'euros en 2010 (25 milliards en 2020) et pourrait concerner l'équivalent de 80.000 à 150.000 emplois en France d'ici à 5 ans. Quand on parle des technologies à destination des Seniors, il ne s'agit pas de la radio, télévision ou autres appareils que toutes les générations utilisent avec habitude mais de technologies répondant à un besoin lié à l'âge ou à une génération, en l'occurrence celle des Seniors. Les spécialistes parlent de 5 principaux secteurs : téléassistance, télémédecine et santé à la maison, technologies pour faciliter l'emploi, les transports intelligents et la domotique. Manque de politiques publiques

Bee-Wall : the Home Information Panel of your daily life. A “Bɘe-Wall” is a connected Home Information Panel (HIP) displaying applications that are easily created by you, by us, by anyone.The first available Bɘe-Wall is the Melipona, a 15" connected touch screen that you can mount onto a wall.One of the goals of this IndieGogo campaign is to fund the development of Trigona, the next generation dedicated device. While companies like Microsoft and Samsung often claim that they will offer Home Information Panels (HIP) to their customers soon, Bɘe-Walls make it happen right now ! We are already developing dozens of Bɘe-Notes that will be available from the Fundatrix Gallery to upload on your Bɘe-Wall You can also create new Bɘe-Notes fitting your own needs with a few lines of JavaScript, thanks to the Bɘe-Wall SDK (already available). If the Bɘe-Note that you create is of general interest, you are free to publish it onto the Fundatrix Gallery or on your own site. The Bɘe-OS makes Home Information Panels (HIP) easier to use than any tablet. Privacy

Les grandes entreprises déçues par leurs efforts d’innovation D’après une étude mondiale d’Accenture, inédite en France, si les entreprises investissent toujours plus dans l’innovation, les résultats ne seraient pas à la hauteur de leurs attentes. En cause, leur manque de prise de risque, analyse le cabinet. À ce rythme-là, l’innovation n’aura bientôt plus le vent en poupe. L’innovation moins stratégique ? Mais ce n’est pas encore la pétole (calme plat) en matière d’innovation dans les entreprises. Les grandes entreprises rétives au risque En creux, ce serait quand même plus d’un tiers des dirigeants qui ne considèrent pas l’innovation comme stratégique : 23 % dans le top 10 des priorités, 6 % important mais pas une priorité et 1 % pas important ! Un problème de process, vraiment ? Aurélie Barbaux

L'incubateur de Boucicaut cherche des start-ups en phase de décollage L’incubateur Boucicaut va accueillir des start-up dans les domaines de la e-santé, de la ville de demain et du design, ainsi que dans le cadre de deux programmes « industriels » avec la SNCF et Alcatel One Touch. (crédit : AUA Paul Chemetov) Plus de 90 candidatures ont été reçues par Paris Incubateurs pour le site de Boucicaut qui doit ouvrir en janvier autour de cinq programmes d'incubation. Paris Incubateurs recherche toujours des projets pour le site de Boucicaut qui doit ouvrir en janvier prochain dans le 15ème arrondissement. L'appel à candidatures de start-ups, lancé au milieu de l'été, a réuni 94 dossiers à sa clôture fin septembre. Des lots de 25 à 100 m2 Une première sélection sur les dossiers reçus lors du 1er appel à candidatures s'opère néanmoins en ce moment et des réponses seront fournies dans la semaine. Des initiatives d'incubation privées et publiques

Fleur Pellerin : « L’innovation, c’est un projet de société » Pourquoi une « nouvelle donne pour l'innovation » ? Fleur Pellerin : l'innovation est un facteur essentiel de la montée en gamme de notre économie et un antidote au "low-cost". La compétition uniquement par les coûts entraînerait la France dans une spirale infernale qui n'est pas compatible avec notre modèle social. C'est pourquoi il faut nous différencier et donc innover. Or nous ne maximisons pas ce potentiel de l'innovation. Par exemple, le numérique a contribué à 25% de la croissance française contre 37% aux Etats-Unis ces 25 dernières années, ce qui représente un manque à gagner de 0,5 à 0,6 point de PIB par an pendant vingt ans. Nous avons un problème de logiciel dans notre manière d'appréhender l'innovation, qui est souvent perçue comme un accessoire de la Recherche & Développement. L'innovation n'est pas toujours issue d'une recherche scientifique. Quelle est votre définition de l'innovation ? Comment stimule-t-on justement "l'innovation par tous" ?

Le top 100 du numérique made in France pèse plus de 10 Md€ Convergence des modèles économiques, partage des mêmes problématiques (Big Data, Saas, intégration des réseaux sociaux) : c'est sur la base de ces arguments que l'Afdel (Association française des éditeurs de logiciels) justifie le changement de physionomie de son top 100 des éditeurs. Le crû 2012 de ce classement mêle en effet les acteurs du logiciel au sens traditionnel du terme, aux fournisseurs de services Internet et éditeurs de jeux. Résultat : ce rassemblement des forces permet au top 100 français de dépasser les 10 milliards de chiffre d'affaires en 2012 (à 10,5 Md€). Un doublement par rapport à l'édition précédente, presque entièrement du au jeu vidéo dont les 7 acteurs présents pèsent ensemble plus de 5 Md€, tandis que les 10 services Internet qui intègrent le classement ne représentent qu'un apport environ dix fois plus modeste (à 600 M€). Dassault Systèmes se sent moins seul Plus d'actualités et de tutoriels

Pôles de compétitivité : les milliards de l'Etat ont-ils servi à quelque chose ? Lancés en 2005, les pôles de compétitivité, dont l'objectif était de développer des réseaux comprenant des entreprises et des organismes de recherche et de formation, ont-ils accéléré les efforts de recherche des PME et des ETI ? Les résultats d'une étude de l'Insee dévoilée ce jeudi comparant les entreprises des pôles à des entreprises semblables restées hors du dispositif et portant sur la période 2005-2009 laissent plutôt songeur. Pourtant, l'État n'a pas ménagé ses efforts en faveur des 71 pôles, via les subventions publiques et le crédit impôt recherche (CIR). Entre 2005 et 2009, le financement public de la recherche et développement (R&D) a atteint entre 2,5 et 3 milliards d'euros par an selon l'Insee, auxquels s'ajoutent également chaque année quelques centaines de millions de financements européens. Pas d'effet d'aubaine "Nos résultats montrent que, suite à leur participation aux pôles de compétitivité, ces PME et ces ETI auraient augmenté leurs dépenses de R&D.

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