background preloader

Nature en ville

Nature en ville

Le nouveau site Sauvages de PACA Le programme Sauvages de ma rue s’adapte à la biodiversité spécifique des villes du sud-est de la France et se décline en Sauvages de PACA. Venez découvrir le site Internet Sauvages de PACA ! Le site Sauvages de PACA "Je me promène en ville, j’identifie et je photographie les plantes sauvages de ma rue. Je transmets les informations aux scientifiques !" tel est le slogan du nouveau site Sauvages de PACA. Les actualités Suivez les actualités en région dans l’espace "Actualités" : sorties de terrain, formations et avancées scientifiques régionales vous y seront présentées par les animateurs et les chercheurs locaux ! À venir... L’application Sauvages de PACA est en cours de développement et sortira au printemps prochain. Pour plus d’informations, n’hésitez pas à me contacter à audrey@tela-botanica.org Sauvages de PACA est un projet financé par la Région Provence-Alpes-Côte-d’Azur et le Préfet de la Région.

L’offre d’espaces verts par habitant d’Île-de-France sous surveillance L’offre d’espaces verts par habitant d’Île-de-France sous surveillance L’IAU îdF lance un nouvel inventaire régional des « espaces verts et boisés ouverts au public » / lu 1010 fois Publié le 18 août 2013 à 18h08. L’observation d’un élément fort de la ville durable et d’une réelle attente citoyenne Depuis 1990, l'IAU Île-de-France établit un inventaire des espaces verts et boisés ouverts au public. Cet inventaire est élaboré à partir d’une enquête adressée aux communes et aux départements d’Île-de-France, tous les quatre ans. Le 21 juin, l’IAU ÎdF a lancé sa sixième enquête. Ce suivi dans le temps permet d’observer et d’analyser la politique d’ouverture au public de ces espaces de ressourcement pour les Franciliens. Un virage inquiétant L’enquête précédente de 2009 a montré qu’après 30 ans d’augmentation du nombre de m² par habitant, la politique des espaces verts publics entrait dans une nouvelle phase. Suivre cette évolution Pour plus d’informations :

Toitures végétalisées : en box ou en graine, l’entretien est nécessaire - Innovation produits © Ecovegetal La maison Vague à Sillery En terme de végétalisation de toiture, la France a rattrapé son retard. De nombreuses solutions sont aujourd’hui disponibles : du semis au tapis pré-cultivé en passant par la box tout-en-un. Quelles différences ? Le temps de développement et le coût avant tout. Mais l’entretien, bien que limité, reste une nécessité Un million de mètres carrés de toitures-terrasses végétalisées installés en France en 2012. © Toitvert Optigreen un atout environnemental Véritables niches pour les insectes et les oiseaux, la végétation sur les toits préserve et améliore la biodiversité urbaine. La végétalisation des toits a commencé avec la toiture-terrasse-jardin, dite aussi « toiture intensive » : un concept qui accueille une végétation de grande taille et très diversifiée, mais qui nécessite une épaisseur importante de substrat. Pour tous les toits © Toitvert Optigreen L’eau de pluie est en partie consommée par les plantes et libérée par évapo­transpiration.

Nature urbaine en projets Plan "nature en ville" 25 janvier 2011 (mis à jour le 4 juillet 2012) - Ville durable, aménagement et construction Présentation de la démarche de travail CONTEXTE : Le "plan restaurer et valoriser la nature en ville" est l’un des engagements du Grenelle Environnement, repris dans la loi de programme du 3 août 2009 et dans le plan ville durable dont il constitue l’un des 4 volets. ENJEUX : La nature en ville, c’est l’adaptation au changement climatique, l’amélioration énergétique, la réduction des pollutions, la maîtrise du ruissellement, la création de lien social, le développement des jardins solidaires, le maintien de la diversité biologique... autant de services que la nature en ville rend parfois déjà sans qu’il y paraisse, et dont la reconnaissance et le développement permettront aux villes de mieux répondre aux attentes des citoyens. Synthèse de la conférence de lancement du 29 juin 2009 (PDF - 72 Ko) > L’atelier n°2 : « Eau, nature et ville ». > L’atelier n°4 : « Economie de la nature en ville ».

Ecophyto Pro en zones non agricoles Espace Perso Site édité par Label "Terre Saine" - Candidatez ! L'opération nationale Terre Saine, communes sans pesticides », portée par le Ministère de l’Écologie, du Développement Durable et l’Énergie, vise à valoriser l’action des collectivités territoriales qui n’utilisent plus de produits phytosanitaires et les démarches collectives de réduction d’usage pour atteindre et dépasser les objectifs de la loi Labbé. Contact : ecophytopro@plante-et-cite.fr Candidatez au label national Terre Saine pour la 2nde session de labellisation. Pour accéder au formulaire : lien En savoir + Demarches pionnières : Ville de Huningue / Des plantes couvre sol pour réduire l'utilisation des pesticides La ville de Huningue utilise des plantes couvre-sol pour éviter la pousse des "mauvaises herbes" et ainsi réduire ainsi l'utilisation des pesticides. Les ressources documentaires Bulletins de veille bibliographique Bulletin de veille technique et scientifique Ecophytozna-pro - N°60 - 2015 Méthode de lutte et biocontrôle

Hackez les villes Le végétal à la conquête de la ville Gestion des eaux de pluie, réduction des îlots de chaleur, biodiversité, isolation thermique... le végétal en ville présente un potentiel majeur pour améliorer le cadre de vie des urbains même si le soutien politique fait encore défaut. Le gris du béton et du bitume n'a qu'à bien se tenir. L'heure est au vert dans les villes. De nombreuses recherches cherchent d'ailleurs à quantifer ses bénéfices. Note Consulter l'étude de l'Apur sur la situation et les perspectives de la place de la nature à Paris Plus d'infosNote Consulter l'étude sur le potentiel de végétalisation des toitures terrasses à Paris de l'Apur Plus d'infos

Les façades changent de couleur grâce au béton vert Espagne / / Europe Le béton mis au point par les chercheurs de l’université de Catalogne absorbe une partie de l’eau de pluie pour se recouvrir de mousses et de lichen. Cette couche végétale améliore à la fois l’efficacité énergétique et les qualités esthétiques des bâtiments, tout en favorisant la capture de CO2. © Ecoticias Le ciment biocompatible offre un support organique Pour construire des façades « vivantes », les chercheurs de l’Université polytechnique de Catalogne (UPC) ont créé des panneaux de béton biologique sur lesquels peuvent se développer différents micro-organismes. Au-delà des qualités ornementales de ce nouveau matériau, les végétaux permettent d’améliorer le confort thermique des constructions, sans qu’il soit nécessaire d’appliquer un revêtement sur le béton. Pour réussir ce tour de force, l’équipe de l’UPC a eu recours à deux matériaux traditionnels : le béton conventionnel carbonaté, fabriqué à partir de ciment de type Portland, et le ciment de phosphate de magnésium.

La Trame verte et bleue dans les Plans locaux d'urbanisme - Guide méthodologique | Gest'eau Résumé : Le présent guide poursuit plusieurs objectifs : - Sensibiliser les différents acteurs de l'aménagement du territoire aux enjeux de la biodiversité et de la Trame verte et bleue (TVB), à l'intérêt et à la nécessité de les prendre en compte dans les documents d'urbanisme communaux et intercommunaux - Favoriser la prise en compte de la Trame verte et bleue dans les PLU * et PLUI, en fournissant des éléments d'explication, d'organisation ainsi que des méthodes et des outils pour guider les acteurs dans leurs réflexions et leurs choix. Auteur(s): Direction Régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement de Midi-Pyrénées, Parcourir les Territoires, Asconit. Thématiques abordées par le document : Ecosystèmes aquatiques, Gestion intégrée, Législation Réglementation. Type de document : Guide méthodologique. Diffuseur: Direction Régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement de Midi-Pyrénées

Inviter la nature en ville Les écosystèmes qui s’organisent au cœur même de nos cités suscitent de plus en plus d’intérêt. Vers la fin du XIXème siècle, on donne une place de plus en plus grande dans l’espace public urbain à la nature mais c’est une nature très domestiquée : bois remodelés, parcs, buttes fabriqués de toutes pièces, squares, avenues plantées d’arbres bien alignés… Cette nature tirée à quatre épingles contraste avec les terrains vagues, lambeaux de jungles urbaines. A partir des années 1950, la gestion des espaces verts se rationnalise encore plus avec les parterres de gazon et autres haies de thuya qui se multiplient sans aucun intérêt pour la biodiversité et à grands renforts de produits phytosanitaires. Avec la vague écologique des années 1990, les gestionnaires des parcs et jardins inventent la "gestion différenciée » qui valorise la flore et la faune spontanées. Conserver des friches dans nos villes et les aménager temporairement tous les 15 ans permet d’augmenter la présence des espèces.

La biodiversité urbaine sujet de recherche Plus généralement, et comme dans tout milieu, les écologues distinguent trois grands types d’espèces : celles qui évitent les centres-villes et ne supportent pas les grands dérangements ; les tolérantes qui s’y plaisent mieux qu’en zone rurale, comme les pies ou les corneilles et qui, dans certains cas, peuvent aussi devenir envahissantes, comme les étourneaux. Et une troisième catégorie qui s’adapte à l’écosystème urbain. Les cerisiers fleurissent plus tôt « Ces espèces sont au départ plus généralistes, précise Alain Butet, responsable de l’équipe Paysaclim du laboratoire Écobio(1). Rennes et Berlin précurseurs À Rennes, Philippe Clergeau, alors chercheur à l’Inra, en a été l’un des précurseurs. « Plusieurs intérêts ont commencé à converger à partir de 2001, rappelle le chercheur, aujourd’hui écologue au Muséum d’histoire naturelle de Paris. Deux fois plus d’oiseaux en ville La surprise des plantes nitrophiles Dans les haies des espaces publics

Objectifs de la Trame verte et bleue Le code de l'environnement (article L. 371-1 I) assigne à la Trame verte et bleue les objectifs suivants : Diminuer la fragmentation et la vulnérabilité des habitats naturels et habitats d’espèces et prendre en compte leur déplacement dans le contexte du changement climatique ;Identifier, préserver et relier les espaces importants pour la préservation de la biodiversité par des corridors écologiques ;Mettre en œuvre les objectifs visés au IV de l’article L. 212-1 et préserver les zones humides visées aux 2° et 3° du III du présent article ;Prendre en compte la biologie des espèces sauvages ;Faciliter les échanges génétiques nécessaires à la survie des espèces de la faune et de la flore sauvages ;Améliorer la qualité et la diversité des paysages.

Un label pour les projets qui amènent la nature en ville-7939 Toitures, murs, voies et parkings végétalisés, jardins particuliers, partagés ou éphémères, potagers urbains... de plus en plus de projets immobiliers ménagent en effet une place à la nature dans la cité. "Retrouver la nature en ville est une envie de plus en plus forte de nos concitoyens, c'est important pour leur qualité de vie, et c'est un enjeu sociétal et écologique de taille", a souligné Christine Grezes, directrice du développement durable chez Bouygues Construction, lors de la conférence de lancement du label. "La biodiversité apporte de la valeur aux projets immobiliers", a-t-elle souligné. Plus de neuf Français sur dix estiment que le contact avec le végétal est important, voire essentiel à leur quotidien, et sept Français sur dix qu'il n'y a pas assez de végétal en ville, selon des enquêtes Ipsos. Source : batirama.com / AFP

Related: