background preloader

Fabrique-moi un mouton

Fabrique-moi un mouton
LE MONDE CULTURE ET IDEES | • Mis à jour le | Frédéric Joignot On les appelle les "makers" ("ceux qui fabriquent"). Ce mouvement international de passionnés de high-tech et d'impression 3D prétend réinventer le capitalisme et révolutionner la production des biens de consommation. Il veut en finir avec la standardisation des objets courants, défier l'obsolescence programmée, arrêter les délocalisations, réindustrialiser les villes sans les polluer, relancer l'artisanat. Rien que ça. Chris Anderson dirige à présent une petite usine de drones et de robots volants à San Diego, Californie. Avec ces machines, n'importe quel artiste, designer, architecte ou particulier de talent peut modéliser en 3D un objet ou un prototype auquel l'industrie n'a pas pensé, puis le fabriquer, sur son imprimante 3D ou en passant par une entreprise équipée pour, en plastique, en plâtre, en résine, en aggloméré ou en métal. Comment fonctionne l'impression tridimensionnelle ?

"On ira dans un fablab comme chez un commerçant" LE MONDE CULTURE ET IDEES | • Mis à jour le | Propos recueillis par Frédéric Joignot Le "labmanageur" Jean-Michel Molenaar, 30 ans, a monté deux fablabs ("laboratoires de fabrication") aux Pays-Bas. Il a participé au lancement du fablab de Grenoble, avec l'aide du Centre de culture scientifique technique et industrielle de la ville. Comment créer un fablab ? Sur le site du Massachusetts Institute of Technology (MIT), à Cambridge, on trouve une charte qui précise la mission des ateliers ainsi que la liste des machines indispensables. Combien coûte un fablab ? Il faut 60 000 euros, ce qui explique qu'ils s'adossent souvent à des mairies, des associations ou des institutions.

Maker culture The maker culture is a contemporary culture or subculture representing a technology-based extension of DIY culture. Typical interests enjoyed by the maker culture include engineering-oriented pursuits such as electronics, robotics, 3-D printing, and the use of CNC tools, as well as more traditional activities such as metalworking, woodworking, and traditional arts and crafts. The subculture stresses new and unique applications of technologies, and encourages invention and prototyping.[1] There is a strong focus on using and learning practical skills and applying them creatively. Philosophical emphasis[edit] 'Maker culture' emphasizes learning-through-doing (constructivism) in a social environment. Hackerspaces and Fab Labs[edit] Media[edit] Maker Faire[edit] Criticisms[edit] A number of criticisms have been levelled against the claim that maker culture offers an innovative model of learning. Everything old is new again[edit] Hobbyists have made custom things for a long time. See also[edit]

CES 2013 : le boom de l'impression 3D Le Fab Lab, atelier ouvert pour une nouvelle culture de l’innovation Le premier Fab Lab (Fabrication Laboratory) a été monté aux USA, par le MIT – Massachusetts Institute of Technology – . La Fing, Fondation Internet Nouvelle Génération, est un des acteurs qui ont favorisé le développement des Fab Labs en France. Après avoir participé à la première expérimentation française pour Futur en Seine en 2011, Fabien Eychenne a organisé des voyages d’étude en Europe et aux USA pour faire un tour d’horizon des Fab Labs. Depuis, la Fing continue à soutenir cette nouvelle culture du faire et des «makers» à travers son programme «Refaire». Qu’est ce qu’un Fab Lab ? Un Fab Lab est un atelier ouvert dans lequel se trouve des machines à commandes numériques (machine à découpe laser, fraiseuse numérique, imprimante 3D,…). Le Fab Lab fonctionne sur le principe du « do it your self » ou plutôt « do it with others », car si l’on y arrive seul, on y collabore à plusieurs. En quoi est – ce un « atelier ouvert » ? J’ai pu l’expérimenter moi-même en tant qu’utilisateur. Oui.

A Montpellier, les “dingos” d’informatique ont rendez-vous dans l’arrière-salle La fabrication d’une imprimante 3D, un exercice pour des amateurs très avertis. (Ch. P.) Les adhérents de Labsud ne sont pas tous geeks, mais ils apprécient de réfléchir ensemble, partager leurs savoirs. Geek, vous avez dit geek ? "En étudiant mon imprimante 3D, j’ai compris que je pouvais la construire moi-même" Leurs passions : l’informatique et les sciences numériques, en open data, comprenez des informations partagées et gratuites. La nuit, ils se rassemblent pour construire et inventer. Une association de 65 adhérents Labsud est donc une association atypique mais pas seule en son genre. "Les règles des Fablabs sont simples. Jean-Philippe en est persuadé : "Il y a une véritable attente. De la pollution de l'air à la guitare électrique

Le Fablab, un laboratoire numérique qui cherche un public populaire - Journal Numérique - Articles locaux Par la rédaction pour La Voix du Nord, Publié le 28/03/2013 - Mis à jour le 28/03/2013 à 02:17 La caverne d'Ali Baba version XXIe siècle, à quoi peut-elle ressembler ? Avec le Fablab, il devient possible de l'imaginer. Imprimante 3D, fraiseuse numérique, découpe vinyle... Des machines au service de l'art numérique que ses utilisateurs du Fablab de Roubaix veulent voir entre toutes les mains. roubaix@lavoixdunord.fr PHOTO « LA VOIX » Le Fablab, un laboratoire où l'art côtoie l'utile et la création taquine le numérique, a un objectif principal : démocratiser les machines telles que découpe-laser, fraiseuse numérique, découpe vinyle et imprimante 3D, trop peu connues du grand public. « Il faut sortir les machines, les amener vers l'extérieur et non les garder ici, au sein des locaux à la QSP », insiste Thierry Mbaye. Pour faire connaître le Fablab, quoi de plus simple que de penser à organiser des ateliers dans les centres sociaux ou les établissements scolaires ? www.meuhlab.org/contact

Hacklab Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Un hackerspace, hacklab ou media hacklab est un lieu où des gens avec un intérêt commun (souvent autour de l'informatique, de la technologie, des sciences, des arts...) peuvent se rencontrer et collaborer. Les Hackerspaces peuvent être vus comme des laboratoires communautaires ouverts où des gens (les hackers) peuvent partager ressources et savoir[1]. Beaucoup de hackerspaces utilisent et participent à des projets autour du logiciels libres, du hardware libre, ou des médias alternatifs. Ils sont souvent physiquement installés dans des maisons des associations ou des universités, mais dès que le nombre d'adhérents et l'éventail des activités augmente ils déménagent généralement dans des espaces industriels ou d'anciens entrepôts. Fonctions[modifier | modifier le code] Les activités qui prennent place dans un hackerpace peuvent être très variables selon l'endroit. Organisation[modifier | modifier le code] Critiques[modifier | modifier le code]

Impression tridimensionnelle Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'impression 3D ou impression tridimensionnelle sont les termes courants utilisés pour parler des procédés de fabrication additive. Initialement, en raison de leurs défauts originels, ces procédés ont été développés pour le prototypage rapide, mais maintenant ils sont de plus en plus utilisés pour la fabrication de pièces fonctionnelles. Bien que d'autres existent, voici quelques technologies qui coexistent : le FDM (Fuse Deposition Modeling : modelage par dépôt de matière en fusion), la SLA (Stéréolithographie : une lumière UV solidifie une couche de plastique liquide) et le frittage sélectif par laser (un laser agglomère une couche de poudre). L'impression tri-dimensionnelle permet de produire un objet réel : un opérateur dessine l'objet sur un écran en utilisant un outil de Conception assistée par ordinateur (CAO). En 2013[modifier | modifier le code] Une maquette de façade d'immeuble créée par impression tridimensionnelle.

L'impression tridimensionnelle: vers l'avènement d'un e-artisanat? | Pensée dès 1964 par Arthur C. Clarke, l’impression tridimensionnelle ou « réplicative » s’impose aujourd’hui comme une réalité bien tangible, inductrice de nouvelles pratiques et conceptions de l’acte « fabricant ». Les premières tentatives stéréo­lithographiques s’initient suivant un modèle de réalisation par photopolymérisation : l’objet se façonne via la double action de la résine et d’un laser, permettant de sculpter la forme à même le matériau. Au-delà des subtilités techniques et industrielles inhérentes au procédé, le réel enjeu de cette innovation réside dans la mutation des conceptions de l’objet et de ses processus de fabrication. Les techniques développées s’inscrivent dans un contexte tendanciel du « faire soi-même » (courant DIY) et de l’open culture. Nous passons d’une logique du « everything is made » (notamment illustrée dans les travaux de designers comme Bob and Roberta Smith ou Ettore Sottsass) à celle du « You can make everything ».

Le Fab Lab Gi-Nova s'équipe d'une imprimante 3D à faisceau électron - Innovation / Mécanique / Métallurgie - Isère E-lettre Bref | Publié le 08-04-2013 Elle s’appelle EBM pour Electron Beam Melting : la quatrième machine dédiée à l’impression 3D par faisceau d’électron installée en France sera inaugurée cet après-midi à Grenoble, sur la plate-forme d’innovation et de valorisation industrielle Gi-Nova (AIP Primeca Dauphiné-Savoie). Hébergé avenue Félix-Viallet sur le site de Grenoble-INP (administrateur général : Brigitte Plateau), l’équipement du groupe suédois Arcam - seul fabricant au monde de machines 3D à faisceau électron - va servir en priorité deux projets de recherche grenoblois, l’un porté par le laboratoire SIMaP (labex Ceman) avec l’académicien et spécialiste des matériaux Yves Bréchet ; le second par G-SCOP, autre laboratoire grenoblois de génie industriel spécialisé dans les sciences pour la conception, l’optimisation et la production. L'investissement est porté à 600 000 €. La fin de la technologie soustractive ? Outil au service des entreprises A propos de Gi-Nova

L’imprimante 3D, ce gadget qui change le monde Imprimante 3D de la marque Makerbot Le salon des techniques de l'information et de la communication (Cebit) se déroule cette semaine à Hanovre en mettant à l'honneur l'économie du partage. On entend beaucoup parler de l'émergence de cette économie, mais ce partage croissant de connaissances, de ressources, de contacts, d'échanges ou d'emprunt d'objets peut-il changer le monde ? Quels sont les nouveaux espaces d'innovation ? Sont-ils portés par l'ambition de bâtir un monde plus viable ? Bienvenue dans l'industrie du bricolage Dans Makers, la nouvelle révolution industrielle, l'américain Chris Anderson estime que l'impression 3D et la multiplication des possibilités données à chacun de bidouiller par lui-même et en réseau, de manière libre et ouverte, dessinent les contours d'un nouveau modèle économique de fabrication. Oui mais voilà : quand on y regarde de plus près, il est important de distinguer les vecteurs de cette révolution annoncée. Une impression pas nette En plastique...

3D printing An ORDbot Quantum 3D printer. 3D printing or additive manufacturing[1] is a process of making a three-dimensional solid object of virtually any shape from a digital model. 3D printing is achieved using an additive process, where successive layers of material are laid down in different shapes.[2] 3D printing is also considered distinct from traditional machining techniques, which mostly rely on the removal of material by methods such as cutting or drilling (subtractive processes). A 3D printer is a limited type of industrial robot that is capable of carrying out an additive process under computer control. The 3D printing technology is used for both prototyping and distributed manufacturing with applications in architecture, construction (AEC), industrial design, automotive, aerospace, military, engineering, dental and medical industries, biotech (human tissue replacement), fashion, footwear, jewelry, eyewear, education, geographic information systems, food, and many other fields.

Votre design 3D devient réalité avec l'impression 3D W.Afate 3D printer On dit de l’imprimante 3D qu’elle aura le même impact que la machiné à vapeur. Un jeune togolais est peut-être en train d'écrire une des pages les plus belles et pleines de promesses de cette nouvelle épopée technologique... Soyez à la source de cette éclosion. Ecologie. _Valoriser les e-déchets et contribuer à nettoyer les dépotoirs informatiques qui comme à Agbogbloshie au Ghana, s’étendent à l’échelle de quartiers entiers. _Mettre la technologie à la portée de petites gens et faire de l’Afrique, non pas une spectatrice, mais une actrice à part entière d’une prochaine révolution industrielle plus vertueuse. _Favoriser le détournement et la réutilisation des machines usagées pour éviter de les envoyer à la casse et ainsi génerer un nouvel apport économique aux ménages africains, aux écoles et aux cyber cafés. Le WoeLab lance un appel à soutien. Les origines de la W.AFATE. La fabrication de la W.AFATE en 10 étapes (Tous les détails seront disponibles sur le Wiki du projet.) 1. 2. 3. 4. 5.

Related: