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Multiplication des mousses

Multiplication des mousses
Reproduction sexuée Le cycle de vie des mousses présente une alternance régulière entre une génération haploïde (n chromosomes), productrice de gamètes mâles et/ou femelles, appelée gamètophyte et une génératon diploïde (2n chomosomes), productrice de spores, appelée sporophyte ou spermaphyte . Les organes reproducteurs se trouvent à l'extrémité de la tige à l'intérieur des feuilles périchétiales. anthéridie va produire des anthérozoïdes (ou spermatozoïdes ) . archégone et féconder la cellule reproductrice femelle (l' oosphère De la fécondation va naître une sorte de suçoir qui va s'ancrer à l'extrémité du gamétophyte. capsule sporange dans lequel se développent des spores haploïdes par méiose. La capsule est recouverte d'une coiffe qui va disparaître. protoména . Reproduction asexuée Outre la dispersion par les spores issues de la reproduction sexuée, les bryophytes peuvent se reproduire de manière asexuée appelée aussi multiplication végétative . Multiplication par propagules Propagules sur des feuilles Les

Cycle de vie des bryophytes Le cycle de vie des bryophytes 1 Aspect, diversité et mode de vie des bryophytes Les bryophytes sont représentés par les mousses pourvues de feuilles comme le polytric ou la sphaigne, les hépatiques, qui présentent des feuilles ou des thalles selon les espèces, et les anthocérotes, au nombre d'espèces très réduit. La majorité des espèces de bryophytes vivent dans les endroits où règne une importante humidité, souvent à l'abri du soleil direct. On trouve, par exemple, davantage de mousses sur la face nord du pied des arbres, là où n'arrive jamais la lumière directe du soleil. Exemple de mousse Mnium hornum, Mniaceae, Mniales, Bryopsida, Bryophytes (Watermael-Boitsfort, Province de Brabant, Belgique - 08/04/1986 - Diapositive originale réalisée par Eric Walravens). Sporophytes de Mnium hornum, Mniaceae, Mniales, Bryopsida, Bryophytes (Ougrée (Seraing), Vallée de la Meuse, Province de Liège, Belgique - 05/04/1986 - Diapositive originale réalisée par Eric Walravens). a Feuilles b Rhizoïdes

Le cycle de développement des Bryophytes Le cycle de développement des Bryophytes est digénétique haplodiplophasique avec dominance du gamétophyte. Nous examinerons successivement le cas des mousses et celui des hépatiques, bien qu'il n'y ait pas de différences majeures dans le déroulement des cycles de développement de ces deux types de plantes. a. Les mousses (exemple du Polytric commun) 1. 1. Le gamétophyte est issu de la méiospore haploïde. (1) un protonéma chlorophyllien à la surface du substrat qui évoque une algue verte dont les cloisons transversales seraient obliques et (2) des rhizoïdes, avec peu ou pas de chloroplastes, qui s'enfoncent dans le substrat. De place en place, le protonéma chlorophyllien produit, par recloisonnements, un bourgeon qui donnera naissance à un axe feuillé de 10 à 15 cm de haut, fixé au substrat par de nombreux rhizoïdes formant parfois un manchon feutré dense. L'anatomie de la tige feuillée est simple (Figure 12.1). Figure 12.1 - Anatomie de la tige feuillée chez le Polytric commun 2. 3. b.

Les ptéridophytes - Morphologie La génération sporophytique diploïde est prédominante chez les ptéridophytes. Ceci se traduit par un appareil végétatif perfectionné, muni d'organes et de tissus structurellement et fonctionnellement différenciés. Le sporophyte possède des racines nécessaires à l'absorption de l'eau et des sels minéraux dans le sol. Contrairement à ce que l'on connaît des premières plantes terrestres ou les générations sporophytiques et gamétophytiques étaient sensiblement de même morphologie, les ptéridophytes se caractérisent par une génération gamétophytique très réduite. Auteurs : Pascal Gantet, Vincent Tandart, Alain VergerCrédits photographiques : Marie-Pierre Arvy, Vincent TandartIllustrations : Françoise Gantet

UNIVERSITE DE LA REUNION Retour Atomistique Configurations électroniques - Nombres Quantiques - Classification périodique Approximations hydrogénoïdes de Slater - Propriétés atomiques Retour aux sommaire des TD mp = 1,00727 u.m.a mn = 1,00866 u.m.a me = 9,1095 10-31 kg N=6,022 1023 mol-1 C=3 108 ms-1 Exercice 1 : Les masses atomiques du plomb (Z=82) et de l'hydrogène sont respectivement 207,2 et 1,008 g. Exercice 2 : Le cuivre naturel est composé de deux isotopes stables de masses atomiques respectives 62,929 et 64,927. Indiquer la composition des deux isotopes. Sachant que la masse molaire du mélange isotopique naturel est de 63,540, calculer l'abondance des deux isotopes. Exercice 3 : Le chlore naturel est un mélange de deux isotopes 35Cl et 37Cl dont les proportions relatives sont respectivement en nombre d’atomes 75% et 25%. a) Calculer la masse molaire atomique du Chlore naturel. b) Combien de sortes de molécules de dichlore existe-t-il dans le dichlore naturel ? Exercice 4 : Exercice 5 : Exercice 2 : Exercice 3 :

ATOMISTIQUE Exercice 1 : Pb Z = 82 et M = 207,2 M = 207,2 g mol-1 Û A = 207Þ N = A - Z = 207 - 82 = 125 Masse des électrons : mélectrons = Z * me = 82 * 9,1095 10-31 @ 7,5 10-29 kg @ 7,5 10-26 g Masse de l'atome : M = 207,2 g mol-1 Û matome = 207,2 u.m.a 1 u.m.a = 1 / N g = 1 / 6,022 1023 = 1,66 10-24 g matome = 207,2 * 1,66 10-24 @ 3,4 10-22 g matome / mélectrons @ 4586 H Z = 1 et M = 1,008 M = 1,008 g mol-1 Û A = 1 Þ N = A - Z = 1 - 1 = 0 mélectrons = Z * me = 1 * 9,1095 10-31 @ 9,1 10-31 kg @ 9,1 10-28 g M = 1,008 g mol-1 Û matome = 1,008 u.m.a matome = 1,008 * 1,66 10-24 @ 1,67 10-24 g matome / mélectrons @ 1839 Pour les atomes "légers" (comme H) et à plus forte raison pour les atomes "lourds" (comme Pb) la masse des électrons est toujours négligeable. La masse de l'atome est concentrée dans son noyau. Retour aux enoncés Exercice 2 : Cu : Z = 29 Isotope 1 : M1 = 62,929 g mol-1 Û A1 = 63 Þ N1 = 34 29 protons ; 29 électrons et 34 neutrons Isotope 2 : M2 = 64,927 g mol-1 Û A2 = 65 Þ N1 = 36 M = S xi Mi Exercice 3 :

SPECTRE DE L'HYDROGENE ET DES HYDROGENOIDES Exercice 1 : n = C / l = 3 108 / 200 10-9 = 1,5 1015 Hz s = 1 / l = 1 / 200 10-9 = 5 106 m-1 E = h n = 6,62 10-34* 1,5 1015 = 9,915 10-19 J = 6,2 eV Retour aux ennoncés Exercice 2 : Passage de l’infini à n : 1 / l1 = RH (1/n2 –1/p2) = RH / n2 => l1 = n2 / RH Passage de n + 1 à n : 1 / l2 = RH (1/n2 –1/(n+1)2) = RH [ (n + 1)2 - n2] / [n2 (n+1)2] => l2 = n2 (n + 1)2 / [ ( 2n + 1 ) RH] Remarque : Les séries sont de plus en plus étalées et on observe un chevauchement dès n = 4. On finit donc pour n élevé par obtenir un spectre quasi continu. Pour certains atomes émettant dans le visible, on pourra donc obtenir une lumière pratiquement blanche, d’où l’utilisation pour l’éclairage "au néon ". Visible de 400 à 750 nm. Représentation graphique. Exercice 3 : E0 = h C RH = 6,62 10-34 * 3 108 * 1,09677 107= 2,18 10-18 J = 13,61 eV DEn,p = En - Ep = ( -E0 / n2 ) - ( -E0 / p2 ) = E0 ( 1/p2 - 1/n2 ) avec n > p DE¥ ,2 = E0 (1/4 - 1/¥ ) = E0 / 4 = 2,18 10-18 / 4 = 0,545 10-18 J = 3,4 eV Exercice 4 : Exercice 5 :

Configurations électroniques – Nombres quantiques Configurations électroniques – Nombres quantiques Classification Périodique des Eléments Exercice 1 : Règle de Klechkowski : A quelques exceptions près, le remplissage des couches et des sous-couches se fait dans l’ordre des valeurs de ( n + l ) croissant. Soit la représentation mnémotechnique suivante : Les configurations électroniques seront notées sous la forme abrégée (gaz rare) (couches externes) La couche de valence est écrite en rouge, les couches de cœur en vert. Si une sous-couche interne n’est pas totalement remplie on la compte dans la couche de valence car elle peut participer aux propriétés chimiques. Calcium (Ca) : Z = 20 = 18 + 2 à ( Ar ) 4s2 Fer (Fe) : Z = 26 26 = 18 + 8 à ( Ar ) 4s2 3d6 ( Ar ) 3d6 4s2 Brome (Br) : Z = 35 = 18 + 17 à ( Ar ) 4s2 3d10 4p5 ( Ar ) 3d10 4s2 4p5 Césium (Cs) : Z = 55 = 54 + 1 à ( Xe ) 5s1 ( Xe ) 5s1 Chrome (Cr) : Z = 24 = 18 + 6 à ( Ar ) 4s2 3d4 ( Ar ) 3d4 4s2 Molybdène (Mo) : Z = 42 = 36 + 6 à ( Kr ) 5s2 4d4 ( Kr ) 4d4 5s2 Retour aux ennoncés Exercice 2 :

seco12 Classification ou tableau périodique des éléments I. Classification historique de Mendéléïev Mendéléïev (1834-1907) eut l'idée de classer les éléments, connus à son époque, en colonnes et en lignes par ordre de masses molaires atomiques croissantes, de telle manière que les éléments figurant dans une même colonne présentent des propriétés chimiques semblables. La masse molaire atomique est une grandeur dont la définition sera donnée au chapitre suivant (quantité de matière et grandeurs annexes). II. 1. · Cette classification comporte 7 lignes (ou périodes) et 18 colonnes. · Les éléments sont rangés dans chaque ligne par ordre croissant du numéro atomique Z. · On trouve cette classification complète dans tous les livres de chimie mais nous ne présentons ici que l'étude des 18 premiers éléments comme le stipule le programme de la classe de seconde. 2. Cette présentation est classique mais elle offre à ce stade du cours trop d'informations. 3. 4. III. 1. 2. 3.

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