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Numéros spéciaux

Numéros spéciaux
Hors série 2004Autour de l’œuvre d’Albert Bandura Table des matières :Philippe Carré - Bandura : une psychologie pour le XXIe siècle ?Pierre-Henri François - Fondements sociaux de la pensée et de l’action chez BanduraJacques Lecomte - Les applications du sentiment d’efficacité personnelleBenoît Galand, Marie Vanlede - Le sentiment d’efficacité personnelle dans l’apprentissage et la formation : quel rôle joue-t-il ? D’où vient-il ? Albert Bandura, l’un des plus célèbres psychologues américains, est au fondement du courant sociocognitiviste. Dans ce numéro hors-série, onze auteurs présentent l’œuvre d’Albert Bandura et commentent la théorie sociocognitive qu’il a développée et affinée depuis trente ans. Cette livraison paraît à la veille de la venue du psychologue américain en France à l’occasion de la 7e Biennale de l’éducation et de la formation (Lyon, 14-17 avril 2004). Résumés des articles _________________________________________ Bandura : une psychologie pour le XXIe siècle ? Éditorial Related:  MAP CARTE RESEAU... DE NOTRE PENSEE, NOS IDEES, NOTRE REFLEXION`test 1017

L'individuel et le social dans la théorie sociocognitive de Bandura (Carré, 2003 La réciprocité causale « triadique » Traditionnellement, le comportement humain est expliqué à travers un système de causalité binaire, unidirectionnel. Les conduites sont généralement vues comme étant sous l’emprise de forces de la situation (par exemple avec le behaviorisme) ou pilotées par des dispositions internes inconscientes (comme en psychanalyse ou dans certaines conceptions sociologiques). Dans la TSC, le fonctionnement psychologique est analysé à travers une causalité réciproque triple, à travers un modèle dit « triadique ». Trois séries de facteurs entrent en interaction deux à deux. Les facteurs internes à la personne (P) concernent les évènements vécus aux plans cognitif, affectif, biologique et leurs perceptions par le sujet ; en particulier les perceptions personnelles d’efficacité (ou de compétence), les buts cognitifs, le type d’analyse et les réactions affectives vis-à-vis de soi-même. La relation PC “ personne-comportement ” (1) (2) [...]

Développer le « savoir analyser » pour analyser sa pratique professionnelle Patrick Robo Formateur Consultant, Bézierspatrick.robo[arobase]laposte.net Résumé L’Analyse de pratiques… expression polysémique s’il en est, activité à déclinaisons multiples, variées et variables, requiert des savoirs, des compétences diverses, du temps… Elle exige d’acquérir et de développer un « savoir analyser ». Cet article tentera, à la lumière de quelques repères situant l’analyse de pratiques proprement dite et à partir de quelques questions rencontrées, de préciser, de cerner en quoi consiste cette « méta-compétence » particulière au travers d’un processus, d’un cheminement. Mots-clés savoir analyser, formation, accompagnement, méta-compétence Catégorie d’article Texte de réflexion en lien avec des pratiques Référencement Robo, P. (2013). Mais qu’en est-il réellement ? D’où la nécessité, voire le besoin de clarifier ce concept aux contours et déclinaisons fluctuants. 1. Voici deux premières questions proches et peut-être complémentaires que l’on peut (se) poser… 2. 3. 4. 5. 6. 7.

Course Outline Guide | Teaching and Learning Services Below, you will find information on preparing a course outline in keeping with current McGill policy. Course Outline Brief Guide - Printable Version [.pdf] Introduction Course outlines are intended to provide students with an overall plan for a course to enable them to function efficiently and effectively in the course. A course outline can be divided into seven sections: In the following sections, items in bold print are required to be included in written course outlines, which must be provided to students during the first week of classes according to the McGill Charter of Students' Rights (Chapter One, Article 10.2 - amended by McGill Senate 21 January 2009 - of the Handbook on Student Rights and Responsibilities, available here) General information McGill Policy Statements The following two statements must be included in all course outlines, in keeping with various Senate resolutions: "McGill University values academic integrity. Learning outcomes Course content Instructional method

Fondements sociaux de la pensée et de l'action chez Bandura Bandura base sa théorie sur la notion d’interaction. « Selon cette conception transactionnelle du soi et de la société, les facteurs personnels internes – sous forme d’événements cognitifs, émotionnels et biologiques –, les comportements et l’environnement opèrent tous comme des facteurs en interaction qui s’influencent réciproquement » (Énoncé 1) (Bandura, 2003, p. 16). Le principe est posé que l’environnement (social en particulier) influence la personne, qu’il est susceptible d’affecter ses représentations et croyances. Par exemple, l’observation d’un modèle peut avoir une incidence sur l’autoévaluation de ses propres capacités. Malgré ces exemples qu’il nous livre, Bandura est peu enclin à envisager que les processus d’auto-efficacité soient eux-mêmes soumis aux contingences sociales et culturelles. On est en droit de penser que ces effets de l’environnement sont plus ou moins durables même quand l’individu n’est plus exposé à cet environnement.

Le sentiment d'efficacité personnelle dans l'apprentissage et la formation : quel rôle joue-t-il ? D'où vient-il ? Comment intervenir ? S’inscrivant dans une longue tradition de recherche (Atkinson, 1964 ; Vroom, 1964), le concept de sentiment d’efficacité personnel partage, avec la plupart des conceptions actuelles de la motivation en formation, l’idée que les croyances qu’a l’apprenant en ses capacités à réussir joue un rôle crucial dans son engagement et ses performances. Même si chaque conception théorique a ses propres spécificités, l’importance du sentiment de compétence ou de contrôle constitue un point commun majeur de la plupart des courants de recherche en psychologie de l’éducation (Bong & Skaalvik, 2003 ; Wiegfield & Eccles, 2002 ; Viau, 1994). Les mesures développées dans ces différents courants de recherche sont d’ailleurs souvent empiriquement très proches. C’est pourquoi ce texte inclura aussi des études traitant de la compétence perçue ou du concept de soi et pas seulement du sentiment d’efficacité. Il y a deux manières courantes de mesurer le sentiment d’efficacité personnelle.

De Piaget à Vygotski La psychologie de Vygotski s’appuie sur l’idée que les facultés rationnelles dépendent du contrôle et de la régulation des processus cognitifs au niveau conscient, grâce à l’utilisation d’« outils » cognitifs médiateurs de la pensée. C’est pourquoi elle subordonne le développement cognitif de l’enfant à son appropriation progressive de construits culturels, et notamment de construits organisés tels que le langage et les systèmes conceptuels. L’idée suivant laquelle l’apprentissage interagit avec le développement confère un rôle clé à l’éducation formelle et, à cet égard, à l’asymétrie de la relation adulte-enfant dans le processus d’apprentissage. Cette dynamique du développement intellectuel s’oppose à la dynamique piagétienne pour laquelle le moteur du développement est un processus d’auto-équilibration d’origine interne. Piaget centre son modèle de développement des facultés cognitives sur l’idée d’interaction entre l’individu et son environnement. Nathalie Bulle.

Les effets positifs de l’apprentissage vicariant Depuis le rapport Delaubier, publié en 2002, le système scolaire français a franchi un pas vers la reconnaissance des spécificités cognitives des enfants à haut potentiel intellectuel (dits « surdoués » ou « intellectuellement précoces ») et les enseignants ont été sensibilisés à l’échec particulièrement injuste de certains d’entre eux. Jacques Bert nous apprend que la PMEV ferait particulièrement bon ménage avec la précocité. Du sur mesure Les objectifs de cette méthode sont en effet en adéquation avec les besoins de cette catégorie d’enfants. Pour qu’il y ait apprentissage vicariant, il faut que soient en présence, face à un apprentissage donné, des enfants qui ont déjà maîtrisé cet apprentissage et des enfants qui, le découvrant, vont avoir besoin de prendre des repères pour se l’approprier. Pour les élèves en difficulté, pour les « atypiques » Les avantages particuliers que peut représenter cette méthode pour cette catégorie d’enfants sont multiples :

Auto-efficacité Le sentiment d’auto-efficacité constitue la croyance qu’a un individu en sa capacité de réaliser une tâche[1]. Plus grand est le sentiment d'auto-efficacité, plus élevés sont les objectifs qu’il s'impose et son engagement dans leur poursuite[1]. La théorie de l’auto-efficacité a été élaborée par le psychologue canadien Albert Bandura (Bandura, 1977, 1997, 2003) dans le cadre théorique plus large de la théorie sociale cognitive (Bandura, 1986). Définitions et traductions[modifier | modifier le code] L’auto-efficacité est une émotion aussi connue sous le nom de confiance contextuelle (ou situationnelle). La notion d’agentivité et sa « variable clé » selon Bandura, l’auto-efficacité, posent des difficultés de traduction et d’interprétation en français. Quatre sources de construction de l'efficacité personnelle[modifier | modifier le code] Selon Albert Bandura, l'efficacité personnelle puise à quatre sources[3]. Trois effets d'une auto-efficacité élevée[modifier | modifier le code]

Cours de psycho sociale Carol Dweck Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Carol S. Dweck (née le 17 octobre 1946) est professeur de psychologie sociale à l'Université Stanford[1]. Elle a obtenu son diplôme universitaire au Barnard College en 1967 et son doctorat à l'Université Yale en 1972. Elle a enseigné à l'Université Columbia, l'Université Harvard et l'Université de l'Illinois avant de rejoindre le personnel académique de Stanford en 2004. Contributions[modifier | modifier le code] Les intérêts de recherche principaux de Carol Dweck concernent la motivation[2],[3],[4], la personnalité, et le développement. Sa principale contribution à la psychologie sociale réside dans les théories implicites de l'intelligence. C'est important car (1) les individus avec une théorie "de développement" sont plus susceptibles de continuer à travailler dur en dépit des revers et (2) les théories de l'intelligence des individus peuvent être affectées par des indices environnementaux subtils. (fr) Dweck, C.

Et si on évaluait des cartes mentales au Brevet et au Bac ? Tapez « carte mentale » dans n’importe quel moteur de recherche et vous comprendrez tout de suite que le succès de cet outil pédagogique n’est plus à démontrer. Les termes de ‘mind mapping’, de carte heuristique ou plus prosaïquement de carte mentale ont envahi la Toile. Une carte mentale permet d’organiser de façon très visuelle nos idées et connaissances sur un sujet donné. Si l’on se réfère au document ci-dessous, les usages de la carte mentale sont nombreux. Apprendre, mémoriser, organiser, la liste est longue mais si je devais rajouter un verbe à cette liste d’usages, je choisirais évaluer. En mai 2012, un article de Thot Cursus montrait tout l’intérêt d’évaluer les connaissances avec les cartes mentales. « De nombreux témoignages montrent que les « mindmaps » servent de plus en plus comme supports de présentation orale dans le cadre de « simples » exposés, d’épreuves d’examen ponctuelles ou de contrôles en cours de formation. La carte mentale et l’examen En savoir +

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