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La science qui veut prédire les crimes

La science qui veut prédire les crimes
C’est une anecdote que les responsables de la police de Los Angeles, le célèbre LAPD, aiment à raconter. Il y a quelques années, alors qu’un ouragan filait vers la Floride, le numéro un mondial de la grande distribution, Walmart, décida d’envoyer dans les supermarchés de cet Etat des stocks supplémentaires… de Pop-Tarts à la fraise. Quel rapport avec l’ouragan ? La prédiction des crimes s’apparente de moins en moins à de la science-fiction mais on ne peut s’empêcher de la rapprocher du film de Steven Spielberg Minority Report (adapté de la nouvelle éponyme de Philip K. Pour donner un exemple, les cambriolages sont en partie prévisibles car les statistiques montrent qu’une fois qu’une maison a été « visitée », le risque que les demeures du voisinage le soient à leur tour augmente, tout comme se produisent des répliques après un séisme. Tous ces logiciels n’ont pas pour ambition de deviner le comportement futur de tel ou tel individu.

Ce type pense pouvoir arrêter définitivement de manger Manger et prendre du plaisir à manger est une perte de temps, d’argent et d’énergie. Franchement, ne serait-il pas préférable d’ingérer des substituts alimentaires sans goût pour le reste de ses jours plutôt que de manger d’horribles sandwichs tout faits ou de s’en mettre plein la panse un lendemain de cuite ? Rob Rhinehard — un ingénieur en informatique de 24 ans, originaire d’Atlanta et probablement surbooké — pense que si. Rob a pris conscience de l’incommensurable perte de temps que représentait la cuisson d’un œuf au plat et a décidé d’agir. En voulant réduire la nourriture en simple « nutriments nécessaires au bon fonctionnement du corps » (ça sonne comme un truc de boulimiques mais ça n’a rien à voir, je vous assure), Rob a mis au point un cocktail beige et inodore répondant au nom de Soylent. Au début, je ne savais pas si je devais prendre ça au sérieux ; « Soylent green » étant le nom de la pilule à base de chair humaine dans le film du même nom, sorti en 1973. Oh. Cool.

Une intelligence artificielle qui analyse le passé pour prédire l’avenir Le co-directeur de la recherche chez Microsoft et une chercheuse israélienne ont mis en commun leurs efforts pour concevoir un logiciel pouvant anticiper l’avenir à partir de l’analyse de données. Projet intéressant mêlant histoire, mathématiques et informatique. Kira Radinsky est une chercheuse au Technion, qui n’est autre que l’Institut israélien de technologie. Eric Horvitz co-dirige le laboratoire de recherche de Microsoft situé à Redmond. Dans la publication intitulée Mining the Web to Predict Future Events, les deux chercheurs décrivent la méthode utilisée pour parvenir à prévoir des événements à venir à partir d’une base de données contenant les faits historiques marquants de ces vingt-deux dernières années. Une base de données riche en information Les deux chercheurs se sont appuyés sur les archives du New York Times de 1986 à 2007 et sur plusieurs bases de données en ligne. Certaines entreprises utilisent déjà ces méthodes Ces sujets vous intéresseront aussi :

Execution by elephant The sight of elephants executing captives attracted the interest of usually horrified European travellers, and was recorded in numerous contemporary journals and accounts of life in Asia. The practice was eventually suppressed by the European empires that colonised the region in the 18th and 19th centuries. While primarily confined to Asia, the practice was occasionally adopted by Western powers, such as Rome and Carthage, particularly to deal with mutinous soldiers. Cultural aspects[edit] The intelligence, domestication, and versatility of elephants gave them considerable advantages over other wild animals such as lions and bears used as executioners by the Romans. Historically, the elephants were under the constant control of a driver or mahout, thus enabling a ruler to grant a last-minute reprieve and display merciful qualities.[1] Several such exercises of mercy are recorded in various Asian kingdoms. Geographical scope[edit] Geographical scope of executions by elephant West Asia[edit]

Riot : ce logiciel vous espionne et prédit votre comportement Un outil baptisé Riot (Rapid Information Overlay Technology) a été placé sur le devant de la scène par The Guardian dimanche dernier. Le quotidien a également proposé une vidéo qui date de 2010 pour illustrer le potentiel de ce moteur de recherche. C’est le géant américain Raytheon (5e société la plus importante dans le monde) qui est le père de cet outil. Ce dernier est destiné à la défense américaine et permet d’analyser toutes les données en provenance des réseaux sociaux (Foursquare, Twitter, Facebook…). Riot référence donc toutes vos vidéos, vos photos, vos coordonnées et connaît aussi tous vos amis et vos déplacements. Ce logiciel est puissant et fait un peu peur, car votre vie privée n’est plus personnelle. Il connaît toute votre vie Riot a donc la capacité de savoir où vous serez tel jour et à telle heure. Une pratique légale Selon The Guardian, l’objectif de Riot est d’étudier « des milliards de milliards d’identités en ligne ». Présentation de Riot Vous avez aimé cet article ?

List of fatal, unprovoked shark attacks in the United States Four species of sharks account for the vast majority of fatal attacks on humans: the bull shark, the tiger shark, the oceanic whitetip shark, and the great white shark. A pink background indicates that the greater weight of the evidence suggests that this victim died from a cause of death other than a shark attack; however, at least one source at some point in time has identified shark attack as the cause of death. 2010s[edit] 2000s[edit] 1990s[edit] 1980s[edit] 1970s[edit] 1960s[edit] 1950s[edit] 1940s[edit] 1930s[edit] 1920s[edit] 1910s[edit] 1900s[edit] Before 1900[edit] See also[edit] For a topical guide to this subject, see Outline of sharks. References[edit] Footnotes Bibliography Allen, Thomas B. (2001). General references External links[edit]

Predicting the Future By Mining Online News and Other Web Data Researchers have created software that predicts when and where disease outbreaks might occur based on two decades of New York Times articles and other online data. The research comes from Microsoft and the Technion-Israel Institute of Technology. The system could someday help aid organizations and others be more proactive in tackling disease outbreaks or other problems, says Eric Horvitz, distinguished scientist and codirector at Microsoft Research. “I truly view this as a foreshadowing of what’s to come,” he says. The system provides striking results when tested on historical data. Horvitz says the performance is good enough to suggest that a more refined version could be used in real settings, to assist experts at, for example, government aid agencies involved in planning humanitarian response and readiness. The system was built using 22 years of New York Times archives, from 1986 to 2007, but it also draws on data from the Web to learn about what leads up to major news events.

List of fatal bear attacks in North America Fatal bear attacks in North America have occurred in a variety of settings. There have been several in the bears' wilderness habitats involving hikers, hunters, and campers. Brown bear incidents have occurred in their native range spanning Alaska, Northern and Western Canada, and portions of the Rocky Mountains in the United States. The locations of black bear wilderness fatal attacks reflect their wider range: all Canadian Provinces except the Atlantic Provinces and several major mountainous areas in the United States. In this list three species of bear are recognized: the Brown Bear (Ursus arctos), the American Black Bear (Ursus americanus) and the Polar Bear (Ursus maritimus). 2010s[edit] Black bear[edit] Brown bear[edit] 2000s[edit] Black bear[edit] Brown bear[edit] 1990s[edit] Black bear[edit] Brown bear[edit] Polar bear[edit] 1980s[edit] Black bear[edit] Brown bear[edit] Polar bear[edit] A polar bear in Churchill, Manitoba. 1970s[edit] Black bear[edit] Brown bear[edit] Polar bear[edit] 1960s[edit]

Microsoft prédit l'avenir grâce à un logiciel qui analyse le passé Le journal Technology Review édité par le MIT indique que des chercheurs de Microsoft et de l'Institut israélien de Technologie Technion ont mis au point un logiciel censé prédire les catastrophes futures, grâce à une analyse du présent et des évènements passés. Le système a été "nourri" par 22 années d'archives du New York Times, de 1986 à 2007, et exploite de nombreuses autres sources tirées du web. En particulier, le système utilise DBpedia, qui structure les informations de Wikipédia sous forme de base de données exploitable, WordNet, qui permet de comprendre le sens des mots anglophones, et OpenCyc, une autre base de données de connaissances diverses. En tout, 90 sources seraient ainsi compilées. "Dans des tests impliquant des prévisions de maladies, violences et un nombre significatifs de morts, les avertissements du système étaient corrects entre 70 et 90 % du temps", indique le MIT. En soit, ces travaux n'ont rien de surprenant ni d'inédit.

Pourquoi laisserions-nous Will.i.am être un gros con impunément ? Une blague de Will.i.am, ci-dessus. L'autre jour, je suis tombé sur une info qui a fait chuté mon taux de sérotonine : ce grand amateur de culture et de couvre-chefs qu'est Will.i.am, sera l'invité spécial du grand final du Legends of the Summer Wireless Festival –qui réunira également cet été Jay-Z et Justin Timberlake – au Parc olympique de Londres. Au début, je me disais – « OK Will.i.am qui joue dans un festival sponsorisé par Yahoo! Je me suis donc forcé à écouter Elephunk plusieurs fois de suite, j'ai posé le pour et le contre assis devant de plusieurs épisodes de The Voice UK et, un peu à contrecœur, j'ai joué l'hymne des boîtes de nuit du monde entier, le fameux « I've Gotta Feeling » en fond lors de toute ma pause déjeuner. Pourquoi tant de gens aiment ce mec ? Sérieusement, qu’est-ce que ce mec a apporté à l’humanité, si ce n’est : Ça fait déjà dix ans que Will.i.am se fringue comme s’il sortait du cerveau de John Galliano un dimanche après-midi. Ou genre, comme ça : Pour ? OK.

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