Les 5 composants de l'organisation Contrairement aux propositions exposées précédemment, relativement abstraites, H. Mintzberg inventorie les composants d'une organisation en termes de catégories d'acteurs, qu'il inventorie au nombre de 5 : le "sommet stratégique" : les acteurs qui sont en charge de la définition de la mission de l'organisation et des modalités stratégiques de mise en œuvre. Dans le cas de l'entreprise, ce sommet s'identifie à la direction générale, l'équipe de direction ;la "ligne hiérarchique" : l'ensemble des responsables qui relaient les décisions et instructions du sommet et font ainsi le lien avec les acteurs qui exécutent les différentes tâches en s'appuyant sur l'autorité que leur confère leur position. On parle communément de l'ensemble des cadres, des cadres supérieurs jusqu'aux agents de maîtrise dans le cas d'une entreprise ;le "centre opérationnel" : il regroupe les acteurs chargés d'accomplir le travail proprement dit, c'est-à-dire les exécutants ;
Technologie Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Dans la seconde moitié du XXe siècle, l'humanité avait atteint la maîtrise technologique nécessaire pour quitter pour la première fois la surface du globe et se lancer à la conquête de l'espace. Étymologie[modifier | modifier le code] Le concept de technology selon Bigelow[modifier | modifier le code] C'est semble-t-il un professeur de Harvard, Jacob Bigelow, qui aurait pour la première fois systématisé l'usage du mot technology en anglais dans son ouvrage Elements of technology (1829)[2]. C'est ainsi que les premiers usages du terme dans le sens qu'en donna Bigelow précèdèrent les bouleversements techniques du XIXe siècle, et que l'usage du terme se répandit pendant la révolution industrielle. Histoire des techniques[modifier | modifier le code] Paléolithique (de 2,5 millions d'années à 12 000 ans avant le présent)[modifier | modifier le code] Les outils de pierre[modifier | modifier le code] Le feu[modifier | modifier le code]
Avis d'expert : améliorer le déploiement des projets ECM Par Ziad WAKIM, VP Solutions EVER TEAM «La technologie ECM continue de progresser et les entreprises maîtrisent mieux les coûts de mise en oeuvre. Cependant, 33% des déploiements ECM échouent [1]». Une solution ECM minutieusement choisie et la mobilisation de ressources qualifiées ne garantissent pas le succès de la mise en œuvre d'un projet. En se focalisant sur les détails de la mise en œuvre, les directeurs de projets et autres intervenants techniques ont tendance à oublier l'aspect le plus important du projet : l’adoption par les utilisateurs finaux. D'autre part, au vu de l'évolution rapide du contexte de l'informatique, avec notamment la gouvernance de l'information et les modèles de cloud computing, les organisations ont besoin d'une stratégie globale bien définie et d' une vision à long terme de leurs projets de gestion de l'information et d’ ECM. Trois aspects sont abordés dans ce document. Focus sur les utilisateurs finaux La Gestion du changement La gouvernance de l'information
L'impact de l'information sur la performance des entreprises La réussite de l’entreprise passe d’abord par une surveillance intelligente, continue et globale de l’information pour s’adapter aux différents changements. En effet, cette vigilance ne peut être garantie que par la mise en place d’une stratégie de veille permettant de disposer à tout moment d’informations synthétiques et exploitables car l’information revêt une importance stratégique pour une entreprise qui cherche à accroître ses parts de marché, assurer la qualité de ses produits et étendre les produits existants. Les sources d’information sont de deux types : - Sources formalisées : les études, les brevets, les ouvrages, les catalogues techniques… - Sources informelles : ce sont les sources qui ne deviennent utiles qu’après un traitement approprié. En outre, l’information joue un rôle important pour assurer la performance économique des entreprises. L’identification des informations : Les différents types de veille et leurs composants :
Le Schéma numérique de la BnF La BnF est un établissement public sous tutelle du ministère de la Culture et de la communication. Cette synthèse inédite constitue une ressource pour quiconque souhaite connaître la stratégie numérique de la BnF et ses projets phares dans ce domaine. Elle dresse un état des lieux de la transformation, ces dernières années, non seulement des missions mais aussi des modalités de travail et même de l’identité de la Bibliothèque. La notion de numérique fait elle-même référence à différents registres : elle recouvre des outils, des dispositifs et des infrastructures, mais aussi des valeurs, des services, des objets et des usages. Tourné vers l’avenir, ce document reflète et alimente également la dynamique d’innovation de l’établissement en lien avec ses publics et ses partenaires.
Les fondements de l’organisation :: Lisez « L’organisation ». Il se peut, quand on essaie de faire marcher quelque chose, que l’élément de base qu’est l’organisation soit manquant. Le mot organiser signifie former un tout à l’aide de parties qui sont liées et interdépendantes ; mettre sur pied une structure bien déterminée et ordonnée. À partir de ce concept, on obtient le terme organisation. L’organisation est la subdivision d’actions et de tâches en fonctions spécialisées. Une personne peut organiser une série d’actions à faire par elle-même. Un groupe est organisé de façon qu’il puisse y avoir des flux et de façon à accomplir des actions spécialisées qui sont menées elles-mêmes à bien. Il y a une différence entre diriger et faire, que certaines personnes ont du mal à distinguer. Il est vrai qu’une personne active et compétente peut mieux faire les choses. Un groupe, du fait qu’il est organisé, est plus difficile à mettre en échec qu’un individu. 1. 2. L’échec principal de n’importe quel groupe est de ne pas réussir à organiser.
information, données... Table de matières 1ère PAR TIE : GESTION DE L 'INFORMATION 2ème Partie : SYSTEMES D 'INFORMATION DE L 'ENTREPRISE I- Les systèmes d'information (SI) II-2- LE `COMMENT' DE LA GESTION DE L 'INFORMATION II-2-1- LA GESTION ELECTRONIQUE DES DOCUMENTS (GED) II-2-1-1- DOCUMENTS PAPIER, DOCUMENTSÉLECTRONIQUES II-2-1-2- NUMÉRISA TION DES DOCUMENTS PAPIER II-2-1-3- CLASSEMENT ET RECHERCHE II-2-1-4- GESTION DES VERSIONSII-2-1-5- LES BENEFICES DE LA GED II-2-1-5-1- RÉD UCTION DES COÛTS DE L 'ESPACE DE STOCKAGE II-2-1-5-2- RÉD UCTION DES COÛTS ET DES TEMPS DE RECHERCHE II-2-1-5-3- RÉD UCTION DES COÛTS ET DES TEMPES DE DIFFUSION II-2-1-5-4- ACCÈS SIMULTANÉ II-2-1-5-5- AMÉLIORATIONS DE LA SÛRETÉ ET DE LA SÉCURITÉ II-2-1-6- LA GED, FONDEMENT DES TECHNIQUES DE GROUPE II-2-1-7- EXEMPLE DE GED : BPS GED II-3- Les Progiciels de Gestion Intégrés (PGI) II-4 Les MES (Manufacturing Execution System) II-5- Les SGDT (Systèmes de gestion des données techniques) Section 1 : PHASE D 'ANALYSE ET DE CONCEPTION
Email and Social Networking Will Converge by 2014 The interface between social networking and email as well as where enterprise collaboration is going has been the subject of a lot of speculation recently. Only this week, at Gartner’s Symposium/ITxpo 2010, Gartner’s Monica Basso added to the mix by suggesting that by 2014 social networking will replace email for interpersonal business communications. Well, not really replace. This is not the first time we have come across this argument, and there is anecdotal and product-based evidence to suggest that this is already happening with large email providers like Google. In August this year, Yaacov Cohen, Co-Founder and CEO of Mainsoft, pointed out in CMSWire that Google Voice’s decision to provide a complete phone calling service within Gmail and to pull the plug on Google Wave demonstrates that Gmail has become the centrepiece of Google’s Enterprise 2.0 initiative. Email and Social Networking Basso’s argument goes like this. Vendors Need to Social Enable Email The Enterprise is Slow to Deploy
L’information dans l’entreprise Dans tous les secteurs d’activité, dans toutes les entreprises, l’information est devenue le « nerf de la guerre ». Disposer de l’information utile avant ses concurrents, et savoir la rendre disponible à ceux qui savent en tirer profit dans l’entreprise, sont des éléments qui permettent de faire la différence. Il y a peu de temps, disposer de l’information pertinente était réservé à une élite. Aujourd’hui, l’information est accessible à tous et les entreprises attendent de nous que nous soyons tous des décideurs capable de filtrer l’information pertinente, de la transformer, de la rendre disponible, de la communiquer afin d’en tirer une connaissance. L’information dans nos entreprises est gigantesque et ne cesse d’augmenter de plus en plus vite. L’information est un service dont le coût est faible pour celui qui la fourni, mais dont la valeur ajoutée est très forte pour celui qui la reçoit et sait en tirer profit. Trouvez-vous cette fiche utile ?