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Jeremy Rifkin hors les murs le 6 février 2012

Jeremy Rifkin hors les murs le 6 février 2012
L'invité Toute l'équipe des Rendez-vous du Futur est très heureuse d'avoir réalisé cette émission hors les murs. Nous étions dans un hôtel parisien en compagnie d'un des penseurs les plus impactants de notre temps. Jeremy Rifkin est un économiste, essayiste, conseiller politique et activiste américain, spécialiste de prospective économique et scientifique. Influent sur les politiques publiques américaines et européennes, il l’est aussi sur l’opinion publique, avec notamment son livre « La Fin du travail » (End of Work), paru en 1995, qui en a fait l’un des acteurs centraux du débat sur l’influence de la technologie dans le futur du travail.

Compulsive hoarding Compulsive hoarding in an apartment. Compulsive hoarding (more accurately described as "hoarding disorder")[1] is a pattern of behavior that is characterized by the excessive acquisition of and inability or unwillingness to discard large quantities of objects that cover the living areas of the home and cause significant distress or impairment.[2] Compulsive hoarding behavior has been associated with health risks, impaired functioning, economic burden, and adverse effects on friends and family members.[3] When clinically significant enough to impair functioning, hoarding can prevent typical uses of space so as to limit activities such as cooking, cleaning, moving through the house, and sleeping. It can also be dangerous if it puts the individual or others at risk from fire, falling, poor sanitation, and other health concerns.[4] In 2008 a study was conducted to determine if there is a significant link between hoarding and interference in occupational and social functioning. Symptoms[edit]

Crowdsourcing et Gamification au service des villes et de la science Les villes seront les principales actrices d’un avenir meilleur pour notre planète. Grâce à l’avènement de nouvelles technologies, il est désormais possible de combiner l’intelligence, la créativité, et le savoir-faire d’un ensemble de citoyens (le Crowdsourcing) bénéficiant chacun sans restriction d’un accès à toutes sortes de copyrights, brevets ou autres mécanismes de contrôle, jusqu’ici inaccessibles dans leur totalité ( l’Open Data). Ainsi, en mutualisant les ressources et compétences, chaque ville pourrait déléguer une partie de sa gestion à ses riverains. Finalement l’étape la plus difficile n’étant pas de combiner les efforts de chacun, mais de solliciter chaque individu. C’est pourquoi le jeu semble une alternative plus qu’intéressante pour obtenir l’implication de personnes dans des actions qu’elles n’ont pas forcément envie d’accomplir, car il crée une distance avec la notion d’effort propre au travail. Simcity dans la vraie vie

Rhuthmos Nous avons à nouveau un futur Par Hubert Guillaud le 27/03/12 | 24 commentaires | 10,635 lectures | Impression Le prospectiviste Jeremy Rifkin (Wikipédia, @jeremyrifkin), directeur de la Fondation des tendances économiques est un penseur important de notre modernité. Nombre de ses livres se sont révélés prophétiques comme La fin du travail (1996) ou L’âge de l’accès (2000). Son dernier livre, la Troisième révolution industrielle (voir également le site dédié), est certainement l’un de ses plus ambitieux, car il nous livre – rien de moins – qu’un futur de rechange par rapport à celui qu’on abandonne. La seconde révolution industrielle (1880-2006) n’est plus notre futur Rifkin dresse un double constat. L’autre constat repose bien sûr sur les conséquences dramatiques qu’a engendrées cette seconde révolution industrielle sur la santé de notre biosphère. Rifkin tient un propos véhément. Image : Coucher de soleil sur un champ pétrolier, photographié par Fábio Pinheiro. 1. Limites et critiques Hubert Guillaud

Thèses What are Fab Labs, anyway? « Aalto Talk: Cindy Kohtala If you read this previous post, you’ll know I was in Norway last month at the Lyngen Fab Lab. It was a valuable visit because there I got to know much more about the origins of the whole Fab Lab philosophy and intentions. Of course, the MIT Fab Lab network is informal and organic, so each Lab is unique in its operations, users and stakeholders, funders and revenue model, and goals and objectives. So what is a Fab Lab? Norwegians are so friendly! What is Fab Lab Norway, then? Actually, Haakon would interrupt me here and say that it is not the PLACE — it is the PEOPLE. 4. the beauty of Lyngen in the autumn And finally 6. The Fab Lab Norway building, Lyngen MIT-Fab Lab Norway is a fascinating case study in itself because of its unique conditions and context. But how about a city-based Lab? A city Fab Lab can also play an important social role, sparking off small businesses, bringing learning opportunities to the young and the old, and even bringing neighbours together.

Bernard Stiegler: « Le temps est venu de passer d’un consumérisme toxique à une économie de la contribution » | geek politics Bernard Stiegler est un philosophe en lutte. En ligne de mire, un capitalisme addictif qui aspire le sens de nos existences. Son remède : passer à une économie de la contribution, inspirée du logiciel libre. Ce n’est plus un secret pour personne : le capitalisme est en train d’être dévoré par ses propres effets toxiques. Aujourd’hui, l’association comporte plus de 500 membres, économistes, philosophes, informaticiens et toxicologues (car le capitalisme est devenu « addictif » et « pulsionnel ») confondus et ne semble pas s’être trompée de sonnette d’alarme. « Nous faisons partie des gens qui ont soulevé, dès 2006, l’insolvabilité chronique du système financier américain. L’homme habite un petit moulin industriel reconverti en maison à Epineuil-le-Fleuriel, au beau milieu de la France paysanne. Le règne de l’incurie « Le problème du capitalisme, c’est qu’il détruit nos existences. Où se situe la solution ? La passion avant l’argent Le numérique, poison et remède à la fois Telecomix Notes :

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