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THATCamp Paris 2012 - Les réseaux sociaux numériques de chercheurs en SHS

THATCamp Paris 2012 - Les réseaux sociaux numériques de chercheurs en SHS
1Les deux animateurs indiquent qu’un projet de réseau social scientifique pour les SHS est en cours d’élaboration au sein de l’Institut des humanités numériques de Bordeaux, dans un état déjà avancé (préparation d’un budget, d’un plan de développement, d’un modèle économique), cependant qu’à la Fondation Maison des sciences de l’homme, au cœur d’un réseau national et international de chercheurs en SHS, la réflexion est bien engagée sur la création d’un réseau équivalent, avec une dimension francophone dans un premier temps, mais qui devra s’ouvrir ensuite. L’atelier voudrait donc s’orienter vers l’explicitation des pratiques et des expériences concrètes des chercheurs sur les réseaux sociaux, en particulier les réseaux sociaux scientifiques, ainsi que sur les fonctionnalités nécessaires ou désirées dans un nouveau réseau social spécifiquement dédié aux SHS. 4Researchgate est peu investi par les chercheurs en SHS. 7Google Scholar s’interroge sur l’adjonction d’une couche réseau social.

Academia.edu : le réseau social scientifique préféré des SHS Les réseaux sociaux sur internet ont connu ces dernières années une fréquentation de plus en plus importante, tandis que se développaient également les “réseaux sociaux scientifiques”, plus spécifiquement dirigés vers le monde de la recherche. Le but premier de ces réseaux est d’aider les chercheurs à faire connaître leurs travaux à une communauté scientifique plus large. Dans ce domaine, ResearchGate et Academia.edu sont les réseaux les plus importants, au coude à coude pour le nombre d’inscrits : ResearchGate affiche sur sa page d’accueil 2,7 millions (à la date de rédaction de ce billet) et Academia a annoncé sur son blog au mois de janvier dernier avoir dépassé les 2 millions. Mais si le premier, d’après le graphe affiché, attire majoritairement les communautés scientifiques issues des sciences dites « exactes », Academia semble avoir la faveur des disciplines SHS. Page d’accueil de ResearchGate avec la répartition par disciplines des inscrits. Page personnelle sur Academia.edu.

ceriscope Agrégation web Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'Agrégation Web, aussi connue sous le terme francisé de 'curation', est l'action de regrouper, sélectionner et, éventuellement, valider des pages concernant un sujet précis et de les présenter, mises en forme, dans un blog ou un outil dédié. Le mot curation semble un phénomène de mode exploité par un marketing efficace. Mais il demeure que l'Agrégation Web répond a des besoins forts des internautes : disposer de pages (URL) consacrées à un sujet et éclairées, éventuellement, par de réels spécialistes ;réduire l'investissement nécessaire à la publication construite sur le web ;commenter ou critiquer ces pages. Perspectives[modifier | modifier le code] Presse[modifier | modifier le code] Il n'est pas besoin d'être compétent dans les outils du Web pour créer et faire vivre son agrégat. L'important est l'information et sa validation selon des méthodes et une éthique journalistique. Marketing[modifier | modifier le code] arcs sémantiques de "agrégation"

Enquête sur les Pratiques Informationnelles des Chercheurs : Quelques Résultats 4 mars 2011 Le 6 octobre dernier nous vous sollicitions pour participer à une Enquête sur les Pratiques Informationnelles (EPI) des chercheurs lancée par l’Urfist de Nice avec la collaboration du laboratoire I3M. Le questionnaire en ligne a recueilli 681 réponses complètes et 325 incomplètes au 7 janvier 2011. Nous avions choisi d’interroger les chercheurs aussi bien sur leurs pratiques « professionnelles » que sur leurs pratiques informationnelles privées, « culturelles », ce qui rend le questionnaire relativement long (56 questions et une vingtaine de minutes pour y répondre) et dans ces conditions, le nombre de retours nous apparaît plutôt comme un succès (le questionnaire reste accessible ici). Importance massive de la documentation numérique: moins de 20% des répondants consultent plus de documentation papier que de documentation numérique et près de 40% estiment à plus de 75% la proportion des documents numériques consultés. Plus de précisions après le saut… Principaux usages

Réseaux sociaux scientifiques : panorama, intérêts et usages des chercheurs, risques liés | CS22-Cnam-ADBS Réseaux et autres serveurs scientifiques ou sites dédiés au domaine scientifique “développement” sont très nombreux, les sites scientifiques sont de nature très diverse et demeurent plutôt disciplinaires. Sur la base de l’enquête Vertigo (2009-2010) et au regard d’un tour d’horizon de la communauté scientifique, il ne semble pas exister un véritable réseau convivial actif parlant à la fois de questions scientifiques et de terrain, et pouvant lier les intérêts des chercheurs et des professionnels. Pourtant, l’émergence des réseaux sociaux à destinée professionnelle est en pleine phase de croissance. La communauté scientifique s’interroge sur une évolution possible et tente de proposer des solutions. Une définition du réseau social numérique en recherche (RSNR) Selon P. P. Les principaux réseaux sociaux scientifiques Plusieurs documents permettent d’aborder un panorama des réseaux sociaux scientifiques. Les productions sur le sujet se multiplient. ♦ parmi les spécialistes de la recherche :

Dan Kahan: ‘Really the problem isn’t that people are not sufficiently rational – in some sense they’re too rational’ | No Funny Business Image Credit: Some rights reserved by Boston Public Library This post is a series of excerpts from an interview conducted with Professor Dan Kahan earlier this year, which touched on a wide range of themes including: Broadly, the ‘science of science communication’Scientists as science communicatorsThe breakdown of communicating climate scienceThe false assumptions of science literacy and the deficit modelAnd of course, Kahan’s ‘cultural cognition thesis’ and the mediating influence of worldview on societal issues. Dan Kahan hails from Yale, with appointments as the Elizabeth K. To start on the last point. Can you give you thoughts on scientists as science communicators? I understand and admire scientists’ want to be part of the communication solution. Scientific literacy is often advocated by climate change proponents as the key solution to relieve public conflict. It’s a valid conjecture, hypothesis, that what the scientists are saying is complicated.

Analyse des réseaux sociaux L'analyse des réseaux sociaux est une approche issue de la sociologie, qui a recours à la théorie des réseaux afin d'étudier les interactions sociales, en termes de réseau. Il existe une association internationale de chercheurs en analyse de réseaux : l'International Network for Social Network Analysis (INSNA). Les trois grandes périodes[modifier | modifier le code] « Les fondations de ces différents édifices ont été construites entre les années 1940 et les années 1960 (outre les textes de certains auteurs classiques de la fin du XIXe et du début du XXe siècle, comme ceux de Bouglé et de Simmel). L'analyse des réseaux se fonde sur : un cadre théorique qui repose sur une conception large de la structure sociale et de nombreuses études empiriques démontrant que « les comportements des individus sont liés aux structures dans lesquelles ils s'insèrent »[2]. En 1957, Elisabeth Bott publie son étude sur les systèmes de relations des familles. Graphes et matrices[modifier | modifier le code] .

Protection et propriété des données sur Academia.edu et ResearchGate Il est extrêmement facile de s’inscrire sur Academia ou ResearchGate. Pressés d’accéder aux PDF d’articles qu’une recherche sur Google a fait miroiter, on procède en quelques clics à l’inscription qui donne alors accès à une incroyable base de donnée constituée par les documents scientifiques déposés par les inscrits sur leur profil. Mais, lors de cette inscription simple et rapide, qui prête vraiment attention aux conditions générales d’utilisation que l’on s’empresse d’approuver en cochant la case requise ? Pas moi en tout cas, ni aucun des collègues à qui j’ai posé la question. Sur la forme, le règlement d’Academia est relativement long, très détaillé et divisé en trois parties : “Copyright” (complété par une “Foire Aux Questions” (FAQ)), “Terms” et “Privacy”. Au moment où vous validez votre inscription sur un réseau, vous accordez automatiquement un certain nombre de droits à ce dernier sur la propriété et l’utilisation de vos données. Imprimer ce billet

Réseaux sociaux : pratiques et enjeux dans la recherche et la carrièr… No notes for slide depuis XVIIe siècle au moins : rencontres et échanges (communautés savantes, lectures, conférences, sociétés savantes…) et publications ; sociabilité scientifique ancienne  pratiques informationnelles (trouver de l’information, partager et échanger des connaissances) et communicationnelles (se créer un carnet d’adresses, maintenir des relations) – cf. Xavier de la Porte, Internet Actu, 21/11/2011, confirmée à l’ère des réseaux sociaux : 62 % des chercheurs privilégient les échanges entre chercheurs comme source d’informations (G. Gallezot et M.

comunicacion de la ciencia Réseau social Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le terme provient de John Arundel Barnes (en) en 1954[1]. L’expression « médias sociaux » recouvre les différentes activités qui intègrent la technologie, l’interaction sociale (entre individus ou groupes d'individus), et la création de contenu. Andreas Kaplan et Michael Haenlein définissent les médias sociaux comme « un groupe d’applications en ligne qui se fondent sur la philosophie et la technologie du net et permettent la création et l’échange du contenu généré par les utilisateurs »[2]. Les médias sociaux utilisent l’intelligence collective dans un esprit de collaboration en ligne. Applications en sciences sociales[modifier | modifier le code] La théorie des réseaux sociaux est un champ extrêmement actif dans le milieu universitaire et plusieurs outils de recherche d'analyse des réseaux sociaux sont disponibles en ligne et sont relativement faciles à employer pour présenter simplement un graphe de réseau social[réf. souhaitée]. E.

Les réseaux sociaux scientifiques, la visibilité et l’open access J’ai participé, le 19 novembre, à la journée d’étude des correspondants IST (CorIST) de l’InSHS. Je n’ai pu assister qu’à une partie de la journée mais ce que j’ai pu voir, notamment la table-ronde sur Wikipédia comme outil de la valorisation de la recherche, était intéressant et fera j’espère l’objet d’un compte rendu. On trouvera un cadrage des thèmes traités ici, ainsi qu’un compte-rendu de chaque intervention ici. J’intervenais pour ma part dans une table ronde sur les réseaux sociaux scientifiques et leurs usages par les chercheurs. Des réseaux sociaux largement intégrés dans l’activité quotidienne des chercheurs La table ronde a été introduite par Brigitte Perucca, directrice de la communication du CNRS, qui présentait une enquête récente sur les usages par les chercheurs des réseaux sociaux (apparemment pas encore en ligne). Hypothèses, réseau social méconnu Academia.edu, un réseau social en fort développement parmi les chercheurs Quelques bénéfices des réseaux sociaux scientifiques

Les réseaux sociaux pour chercheurs: une illusion? | L'histoire contemporaine à l'ère numérique Un récent débat autour du libre accès aux données et publications scientifiques et d’un réseau social pour chercheurs m’a poussé à me poser une question que j’ai déjà effleurée ici ou là. Des réseaux sociaux spécifiques aux chercheurs ont-ils une quelconque utilité pour les chercheurs? Qu’apportent-ils de plus que les outils sociaux génériques comme twitter, facebook ou des logiciels avec couche social comme Google Drive, par exemple? Contexte du débat En faisant une simple recherche sur un moteur de recherche, en anglais comme en français, on trouve assez facilement des références sur le sujet. À THATCamp Paris 2012, une session avait été organisée sur le sujet. Aujourd’hui, il existe un certain nombre de réseaux sociaux pour chercheurs: ResearchGate (RG), MyScienceWork (MSW) ou Academia.edu. Sur les cinq réseaux mentionnés dans le paragraphe précédent, seul Zotero est financé sur fonds publics et développé au sein d’une université. Chacun de ces réseaux a ses propres particularités:

XML aplicado a la Literatura: Introducción a TEI (Text Encoding Inititive) J. Tomás Nogales Flores Prof. Titular del Dpto. de Biblioteconomía y Documentación Universidad Carlos III de Madrid [ Página inicial ] Contenido Introducción Tal como puede leerse en la página principal del Consorcio TEI (Text Encoding Initiative, TEI (también referenciado como Electronic Text Encoding and Interchange) es un estándar internacional e interdisciplinar de facto, que "ayuda a bibliotecas, museos, editores, eruditos e investigadores a representar todo tipo de textos literarios y lingüísticos para la investigación y la enseñanza en línea, usando un esquema de codificación que es máximamente expresivo y mínimamente obsolescente" (TEI-C, 2001b). La institución TEI fue lanzado en 1987 por la Association for Computers and the Humanities (ACH), The Association for Computational Linguistics (ACL) y The Association for Literary and Linguistic Computing (ALLC), que siguen patrocinando la iniciativa. Su financiación principal procede del U.S. La DTD. Citas

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