
L'Inde annonce un vaste (et coûteux) plan d'aide alimentaire Le gouvernement indien a publié un décret destiné à fournir des céréales subventionnées à près de 70 % de la population. Une mesure à 3,8 milliards de dollars par an. Le gouvernement indien a approuvé un vaste programme d'aide alimentaire destiné aux plus pauvres en jugeant qu'il allait permettre un grand bond dans la lutte contre la malnutrition, mais les analystes s'inquiètent du coût et de la mise en œuvre d'une telle mesure, la plus importante au monde en termes de bénéficiaires. Le gouvernement a publié mercredi 3 juillet un décret introduisant la "loi sur la sécurité alimentaire nationale", qui devrait être ratifié jeudi par le président Pranab Mukherjee. Ce texte, un an avant les élections générales, est au cœur de la stratégie électorale du parti du Congrès, à la tête de la coalition gouvernementale. Cette mesure est destinée à fournir des céréales subventionnées à près de 70 % de la population, soit 810 millions d'habitants.
A Paris, un supermarché collaboratif veut rendre les bonnes choses accessibles à tous Ce n'est pas un loup, mais une louve qui est aux portes de Paris. Venue d'outre-Atlantique, elle couve une jolie portée d'idées coopératives pour développer un modèle de distribution alternatif pour bons produits locaux et pas chers. Rencontre avec ses instigateurs. La passion des bonnes choses Tom, Brian et Maëlanne - 5 novembre 2013 - Photo: @SoAnn Brian Horihan vient du Minnesota, et Tom Boothe de l’Indiana. Brian a lui aussi fait du cinéma, tout en s'intéressant au jardinage, à l’agriculture, aux potagers urbains, aux coopératives... « Ni Tom ni moi ne venons de familles riches, on vient des lower middle class, on ressentait le besoin de trouver un lieu où l'on peut acheter les produits bons et pas chers », souligne-t-il pour expliquer comment a germé en eux l'idée de créer à Paris un supermarché coopératif. Trouver un bon équilibre de valeurs L'idée, simple, consiste à créer un espace de vente de bons produits pas chers. A Paris, La Louve ouvrira ses portes dans le 18e arrondissement.
Solutions locales pour un désordre global Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Solutions locales pour un désordre global est un film documentaire de Coline Serreau. Il est sorti en France le 7 avril 2010. Synopsis[modifier | modifier le code] « Les films d'alertes et catastrophistes ont été tournés. — Coline Serreau Le documentaire de Coline Serreau cherche à poursuivre au delà des documentaires « environnementaux » récents en montrant des solutions en marche. Montrer l'universalité des solutions[modifier | modifier le code] « Avec ce film, je montre qu'il existe partout dans le monde des gens qui, sans se connaître, font la même chose, ont la même philosophie de vie et les mêmes pratiques envers la terre nourricière. Critiques[modifier | modifier le code] « […] contrairement aux films dénonciateurs et provocateurs du genre Food, Inc. ou We Feed the World, la réalisatrice privilégie l’analyse et l’expertise sans jouer la carte des images choc. — Veronique Le Bris pour Première[1] — Stéphane Humbert pour CineAlliance.fr[2]
À Langouët (Bretagne), 10 ans de cantine 100 % bio et local 710 vaches, 602 habitants et une cantine 100 % bio : depuis 10 ans, la commune de Langouët en Ille-et-Vilaine, entre Rennes et St-Malo, garantit une alimentation entièrement bio et la plus locale possible aux 80 enfants des quatre classes de l’école publique qui fréquentent la cantine. Une cantine 100 % bio depuis 10 ans avec un coût de revient du repas en baisse. « Une expérience réussie qui a démarré en 2004 et qui prouve que le 100 % bio est possible, avec un approvisionnement de proximité et de saison », confirme Daniel Cueff, maire depuis 1999. Moteur de cette dynamique, il est convaincu de la nécessité d’une démarche écologique globale : pionnière en France, Langouët soutient non seulement la restauration scolaire bio, mais aussi l’installation de producteurs bio, la lutte contre le gaspillage, un éco-lotissement, les énergies renouvelables… La commune produit la totalité de ses besoins électriques ! Le repas bio moins cher ! Daniel Cueff, maire de Lagouët depuis 1999. Zéro gaspillage
Feed lots Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Feed lots au Texas Les feed lots (feedlots), ou parcs d'engraissement en français, sont des parcs d'engraissement intensifs de bovins en Amérique du Nord notamment au Texas, au Kansas et en Oklahoma. Ils se sont aussi développés dans les pays exportateurs de viande: Afrique du Sud, Argentine, Australie et Brésil. But[modifier | modifier le code] Ils permettent à partir d'espaces réduits une forte production en viande via un rendement très élevé. Système[modifier | modifier le code] Il s'oppose à l'élevage extensif (ranching en anglais) dont il est cependant complémentaire. Outre l'éthique et les préoccupations environnementales, les parcs d'engraissement ont fait l'objet de critiques pour des raisons de santé humaine. Une fois que les bovins ont atteint leur poids final, ils sont transportés vers un abattoir. Rôle économique[modifier | modifier le code] Liens externes[modifier | modifier le code] Sur les autres projets Wikimedia : Frontline
Une alternative à la grande distribution en plein cœur de Paris C’est dans l’un des quartiers les plus populaires de la capitale, la Goutte d’Or, qu’a ouvert Coop à Paris. L’enjeu, créer une vraie alternative à la grande distribution en soutenant l’activité des petits producteurs, tout en garantissant des prix accessibles. Depuis le lancement de la coopérative en janvier 2014, les familles du quartier adhèrent en masse et donnent de leur temps en contrepartie. Prochaine étape, la mise en place de paniers solidaires en vue de toucher les plus précaires. « De la viande, des fruits, des fromages, des pâtes, des produits laitiers, une gamme alimentaire complète, et cela évoluera ! », prévient Christophe Pradal, l’un des initiateurs du projet. Coop à Paris est une aventure de consommateurs citoyens. 120 producteurs bio pour 12 millions d’habitants... Les producteurs sont implantés dans l’Oise, en Charente, en Haute-Normandie, en Picardie, en Lozère et dans le Var. Des produits de qualité à des tarifs accessibles S’ouvrir aux personnes précaires
L'agroécologie pourrait nourrir et sauver la planète, selon l'ONU Pour nourrir le monde tout en préservant la planète du réchauffement, l'ONU encourage l'agroécologie, un tournant historique après plusieurs décennies de "révolution verte" basée sur l'agriculture intensive, désormais au banc des accusés. "Nous avons besoin de promouvoir des systèmes alimentaires durables (...) et de préserver l'environnement: l'agroécologie peut aider à y parvenir", a déclaré mardi le directeur-général de l'Agence des Nations unies pour l'agriculture et l'alimentation (FAO) José Graziano da Silva, en ouverture du deuxième symposium international sur l'agroécologie à Rome. Depuis la fin de la deuxième guerre mondiale, le développement de l'agriculture basé sur l'utilisation massive d'engrais et de ressources chimiques (pesticides, herbicides, fongicides..) destinés à augmenter les rendements pour parvenir à assurer la sécurité alimentaire de la planète a eu un prix élevé pour l'environnement, a-t-il souligné. - L'exemple de l'Andhra Pradesh en Inde -
L'Indépendante : l'épicerie dont vous êtes le héros (totalement autogéré) A L'indépendante, les clients décident ensemble des achats, mettent en rayon et encaissent eux-mêmes. Créée il y a presque 2 ans, cette épicerie autogérée permet à ses adhérents d'acheter des produits sains à des prix abordables tout en expérimentant collectivement une alternative au supermarché. Jusqu’en 2008, Hervé était un doux rêveur qui pensait qu’en « jouant du rock’n roll on était en action contre le système. C’est par l’assiette que ce musicien de profession est rentré dans la sphère militante. « Il m’a semblé que l’alimentation était un point central de l’action possible. « On a senti que l’on touchait à une certaine aspiration réelle d’un certain nombre de personnes », raconte Hervé. Sortir du supermarché « L’idée était de sortir du supermarché, de ne plus approvisionner les comptes de multinationales qui détruisent la planète », rappelle Hervé. Chaque adhérent ce sert librement dans ces deux placards et note ensuite ses achats sur le site internet MoneyCoop. Emmanuel Daniel