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Guyane: les bagnards (archives)

Guyane: les bagnards (archives)
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Comité national pour la Mémoire et l'Histoire de l'Esclavage L'esclavage et son abolition dans les colonies françaises L’abolition de l’esclavage dans les colonies françaises Tableau de François-Auguste Biard (1799-1882), Musée du Château de Versailles L’abolition de l’esclavage dans les colonies françaises est symbolisée par un député français : Victor Schœlcher. Son action aboutit en 1848 à la fin définitive de l’esclavage dans tous les territoires français d’outre-mer. Définition de l’esclavage Un esclave est un être humain soumis à un régime économique et politique qui le prive de liberté et le contraint par la force à réaliser les travaux les plus pénibles sans rémunération. L’esclavage, asservissement de l’homme par l’homme, est un phénomène qui a toujours existé dans l’histoire de l’humanité. La mise en place de la traite négrière et sa contestation Conquérant arabe capturant des esclaves en Afrique Dessin de René Geoffroy de Villeneuve (1767-1831), BNF Il faut toutefois rappeler deux choses importantes concernant la France. De nombreux papes font de même, notamment : Le commerce triangulaire

27 avril 1848 - Abolition de l'esclavage en France Le 27 avril 1848, le gouvernement de la République française publie un décret par lequel il abolit l'esclavage dans les colonies françaises. L'abolition concerne avant tout les vieilles colonies héritées de l'Ancien Régime, dont l'économie repose encore sur les grandes plantations sucrières. Le long parcours des abolitionnistes Sous la Révolution, les députés de la Convention ont aboli l'esclavage une première fois pour calmer les révoltes dans les colonies des Antilles. Mais Napoléon Bonaparte est revenu sur cette mesure et a légalisé l'esclavage le 20 mai 1802. Les Anglais se montrent plus hardis : sous la pression des sociétés philanthropiques d'inspiration chrétienne, ils abolissent la traite atlantique en 1807 et l'esclavage en 1833. Les libéraux et les philanthropes français sont tout disposés à imiter leurs homologues d'outre-Manche. Ils y réussissent sans trop de problème dans l'île de Mayotte. Une application précipitée À leur manière, les esclaves ont accéléré le mouvement.

Le rétablissement de l'esclavage en Guyane (1802) - L ... Les « nouveaux citoyens » de Guyane replongés dans l’esclavage. L’abolition de l’esclavage, votée par la Convention en 1794 n’a pas touché toutes les colonies héritées de la France d’Ancien régime mais, après Saint-Domingue, l’esclavage a été supprimé effectivement à La Guyane. Son rétablissement par Bonaparte en 1802, signifie pour 10 000 personnes (86% de la population) qui ont expérimenté la liberté et la citoyenneté pendant huit ans, le déni de leur humanité et la réduction de leur statut à celui de « biens meubles ». Les « affranchis et libres de couleur », soit près de 500 anciens esclaves (4% de la population) ayant bénéficié de mesure individuelle avant même la Révolution, voient aussi leur statut remis en cause. A la Guadeloupe, l’envoi du décret d’abolition permet en 1794 d’organiser la contre-offensive libératrice de l’île, occupée à l’époque par les Anglais. Vente d’esclave en 1831 Loi du 30 Floréal an X Esclaves se rendant au travail Auteur : Françoise LEMAIRE

Com au carré – OUI : on fait ça en Guyane et on vous le raconte ! Une Saison en Guyane | Aux rythmes de la Nature et des Hommes Guyane française (France) 1) Situation géographique 2) Composition ethnolinguistique - La population d’origine africaine - Les Européens - Les Amérindiens - Les Asiatiques et les autres - Des tensions entre autochtones et immigrants 3) Données historiques - Une colonie au début précaire - L’esclavage - Une colonie pénitentiaire - Le dynamisme économique et démographique - Un département français d’outre-mer 4) La politique linguistique - Les langues de l’Administration - Le français dans l’éducation - Les médias - La vie commerciale La forêt guyanaise française : entre valorisation et protection Bibliographie | citer cet article Le territoire de la Guyane française résulte d'une géographie singulière et d'une histoire originale. Cet espace sud-américain, recouvert à 90 % d'une forêt tropicale humide, appartient au vaste ensemble forestier amazonien. La densité de population du seul espace forestier guyanais avoisine les 0,3 hab/km² , ce qui en fait un quasi désert humain, aux limites de l'écoumène. Un territoire, des acteurs Le territoire est un lieu de luttes d'influence : les objectifs et les intérêts des populations résidentes, des élus des collectivités territoriales, de l'État, des scientifiques, des orpailleurs, des entreprises forestières et des associations diverses, peuvent s'opposer et rivaliser. Complément 1. Les Amérindiens, premiers habitants de l'espace forestier, se répartissent en plusieurs groupes dont la culture est plus ou moins bien préservée. Les Amérindiens vivent traditionnellement au rythme de la nature. Une marginalité entretenue Complément 2. Notes

Oeuvres Archive - Vivre l'art en Guyane Filtrer les œuvres : Corps Effets Couleur Espace Support Matière Type Supprimer tous les filtres Faites défiler la barre de gauche à droite pour découvrir toutes les oeuvres KOKOLAMPOE | CENTRE DRAMATIQUE Les Marrons et leurs communautés aux Amériques | Politika José Juan Arrom, « Cimmarón : Apuntes sobre sus primeras documentaciones y su probable origen », in J.J. Arrom, Manuel A García Arévalo (dir.), Cimmarón, Santo Domingo, Fundación García Arévalo, 1986, p. 13-30. Roger Bastide, Les Amériques noires : les civilisations africaines dans le nouveau monde, Paris, Payot, 1967. Jean Besson, Transformations of Freedom in the Land of the Maroons : Creolization in the Cockpits of Jamaica, Kingston, Ian Randle, 2016. Kenneth Bilby, « Swearing by the Past, Swearing to the Future : Sacred Oaths, Alliances, and Treaties among the Guianese and Jamaican Maroons », Ethnohistory, vol. 44, nᵒ 4, 1997, p. 655-689. Kenneth Bilby, True-Born Maroons, Gainesville, University Press of Florida, 2005. Véronique Boyer, « Qu’est le quilombo aujourd’hui devenu ? Yvan Debbasch, « Le marronnage : essai sur la désertion de l’esclave antillais », L’Année Sociologique, 3e série, 1961, p. 1-112 ; 1962, p. 117-195. Sylviane A. Frances S. Frances S. R.K. André J.F. Joseph C.

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