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Histoire des femmes. Les femmes et la Révolution de 1789 : un espoir pour les femmes. Luttes et revendications, Militantes et revendications des femmes en 1789. Histoire des femmes et République, Florence Brissieux, Aurore Rubio

Histoire des femmes. Les femmes et la Révolution de 1789 : un espoir pour les femmes. Luttes et revendications, Militantes et revendications des femmes en 1789. Histoire des femmes et République, Florence Brissieux, Aurore Rubio
Les femmes attendent beaucoup de la Révolution et expriment leurs revendications par le biais de pétitions, adresses et cahiers de doléances. Leurs revendications portent sur des problèmes auxquelles elles sont traditionnellement confrontées : absence d'instruction, mortalité en couches, droit d'exercer un métier, protection des travaux féminins (couturière, brodeuse…) Les revendications touchant aux droits politiques sont rares car rares sont celles qui ont conscience de leur importance. Les femmes de Provence protestent en 1789 contre la composition des Etats Généraux dont elles sont exclues. Les députés répondent alors à ces revendications : ne sont-ils pas, eux, les députés de tous et donc des femmes ? Par le biais d'un cahier de doléance, une madame B.B. du pays de Caux rétorque " Etant démontré avec raison qu'un noble ne peut représenter un roturier, […] les femmes ne pourraient donc être représentées que par des femmes " Related:  Révolutions XVIIIe XIXe s

Écoutez le Paris du XVIIIe siècle Paris comme vous ne l’avez jamais entendu ! C’est l’expérience que propose la musicologue Mylène Pardoen, du laboratoire Passages XX-XXI, à travers le projet Bretez. Un nom qui n’a pas été choisi par hasard : la première reconstitution historique sonore conçue par ce collectif associant historiens, sociologues et spécialistes de la 3D1, a en effet pour décor le Paris du XVIIIe siècle cartographié par le célèbre plan Turgot-Bretez de 1739 – Turgot, prévost des marchands de Paris, en étant le commanditaire, et Bretez, l’ingénieur chargé du relevé des rues et immeubles de la capitale. 70 tableaux sonores C’est plus précisément dans le quartier du Grand Châtelet, entre le pont au Change et le pont Notre-Dame, que la vidéo de 8 minutes 30 transporte le visiteur. « J’ai choisi ce quartier car il concentre 80 % des ambiances sonores du Paris de l’époque, raconte Mylène Pardoen. Valoriser le patrimoine « Tous les sons sont naturels, précise Mylène Pardoen. Tous les sons sont naturels.

Les femmes dans l'Histoire de France. Révolution de 1789 et Femmes : bilan de la Révolution pour les femmes, mariages, divorces, lois sur les femmes, suffrage des femmes, Aurore Rubio et Patrice Sawicki La Révolution ouvre l'accès aux droits politiques à un plus grand nombre. Auparavant, les droits politiques n'étaient pas même admis pour les hommes car ils étaient non pas liés à un droit mais à un état : celui de propriétaire. La Constitution de 1791 accomplit un grand pas en décrétant un suffrage quasiment universel. Pierre Rosanvallon, dans son ouvrage Le Sacre du citoyen, Histoire du Suffrage Universel en France, présente la triple exigence appliquée à l'époque : - indépendance intellectuelle (être un homme doué de raison), - indépendance sociologique (être un individu et non le membre d'un corps), - indépendance économique (gagner sa vie).

Au XVIIIe siècle Vers une nouvelle cuisine Dans les grandes cuisines règne une querelle sans merci, qui divise toujours avec autant d'âpreté les Anciens et les Modernes. Pour ces derniers, seules comptent la simplicité et la pureté "naturelles". A la recherche de la quintessence La recherche alchimique pour dégager ce qu'il y a de meilleur et de plus raffiné anime les cuisiniers du XVIIIe siècle. Le bouillon reste "l'âme des sauces" Les mélanges de saveurs sont plus nuancés. Au menu de l'époque Les garnitures sont plus que jamais de mise. Un des plus anciens menus connus dans le monde dessiné en 1751 par Brain de Sainte-Marie pour Louis XV C'est aussi le succès des confitures désignant compotes, gelées, fruits confits ou en pâte ainsi que de la meringue.

Les femmes, oubliées de la Révolution Française Les Tricoteuses Lorsque la Révolution éclate en 1789, la France se retrouve socialement et politiquement bouleversée. Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen, abolition des privilèges, et par conséquent chute de l’Ancien Régime, les choses ne seront désormais plus comme avant. En apparence, tous les êtres humains sont égaux et bénéficient des mêmes droits. Or, les femmes vont se retrouver exclues de ce qui aurait pourtant pu les extirper de leur monde domestique, auquel elles sont confinées depuis des siècles. On ne leur octroie aucune possibilité d’exercer des fonctions officielles, elles n’obtiennent pas le droit de vote ni celui d’avoir un poids, par voix délibérative, dans les décisions des assemblées. Ce que l’on se demande alors, c’est pourquoi et comment elles prennent part avec autant de conviction à la Révolution ? Avant de répondre à cette question, il est essentiel tout d’abord d’éclaircir ce que l’on entend par le terme de « femmes ». « Article premier.

Pèlerinage à l’île de Cythère Au lendemain de la mort de Louis XIV, en 1715, la régence de Philippe d’Orléans est une période qui voit fleurir dans la haute société le goût des fêtes et des plaisirs. Jean-Antoine Watteau, l'un des plus grands peintres français, est souvent associé à cette époque. Mais il la dépasse par la profondeur et la portée intemporelle de ses œuvres. Dans sa carrière très brève, Le Pèlerinage à l’île de Cythère [ image principale ], son morceau de réception à l' Académie royale de peinture et de sculpture en 1717, est la seule de ses œuvres que l'on peut dater avec certitude. Cythère, l’île de Vénus Si cette peinture a suscité maintes interprétations, un point n’est jamais contesté : Cythère, l’île de Vénus, déesse de l’amour, est au cœur de la scène. Un genre pictural nouveau Tout dans Le Pèlerinage à l’île de Cythère contribue à exprimer l'intemporalité et l'universalité de l'amour. Une danse rythmée par la couleur Watteau donne un rythme musical à sa composition [ image principale ].

Les révolutionnaires et la République de 1789 à nos jours (par Michel Vovelle*) Révolution et République semblent former l'un de ces vieux couples que l'on aime à classer parmi les fameuses exceptions françaises. Faut-il considérer à présent que cet itinéraire commun est entré, au gré d'un bicentenaire éludé et des bouleversements de l'ordre du monde, dans les limbes d'un passé révolu ? Révolutionnaires et République, depuis 1789 jusqu’à nos jours : voilà un thème qui pourrait paraître rebattu, et en tout cas qui ne m’est pas indifférent, tel que je l’ai abordé dans La passion de la République (1992) puis dans 1789, l’héritage et la mémoire (2007). Qu’est-ce qui est passé de mode, la République ou les Révolutions, jusqu’à leur nouvelle explosion controversée depuis 2011 ? Les deux dira-t-on. En France, c’était comme la fin d’un vieux couple, d’un de ces mariages mal assortis quoiqu’assez durables bien que fondés sur un malentendu. Ciblant d’abord le temps de la Révolution de 1789-93, nous savons bien que cette symbiose n’allait pas de soi.

L’art en France au XVIIIè siècle Le courant baroque est net chez les Coustou, neveux et élèves de Coysevox qui travaillent au Trianon et à Marly : Nicolas Coustou (1658-1733) réalise « La Seine et la Marne », « Jules César » (avec Girardon), « Chasseur au repos », « Nymphe au Carquois »… Guillaume I Coustou (1677-1746), son frère, créé le « Saint Louis » des Invalides, « Diane à la Biche », « Apollon et Daphné », « Hippomène » des Tuileries, le portrait de son frère Nicolas… ainsi que les célèbres « Chevaux de Marly » ; Son fils Guillaume II (1715-1777) créé le « buste de Samuel Bernard », une « Vénus », un « Vulcain » ; Robert le Lorrain (1666-1743) réalise les stalles d'Orléans et la façade de l’Hôtel Rohan-Soubise (Cérès, Flore, Bacchus, la gloire et la Magnificence, et les célèbres chevaux du soleil).

2nde / Ch 8 (histoire) : La révolution française / Réalisation de chroniques radiophoniques sur des journées révolutionnaires Réalisation de chroniques radiophoniques qui seront mises en ligne sur notre webradio dans la rubrique « Une journée révolutionnaire ». Travail réalisé en binômes (17 binômes + 1 élève seul). Consignes : Vous disposez de trois minutes pour présenter un événement révolutionnaire. Vous ferez précéder votre chronique du nom de la radio, du jingle de la radio et du nom de la rubrique. Vous devrez expliquer les causes de l’événement (pourquoi cet événement a-t-il eu lieu ? Vous devez inclure dans votre chronique des bruitages et/ou des citations et/ou des extraits sonores afin de rendre votre propos vivant (sans pour autant le rendre ridicule ou de mauvais goût…). A la fin de votre chronique, vous devrez préciser les sources que vous avez utilisées pour réaliser votre travail et indiquer qui a réalisé la chronique. Vous devrez m’envoyer votre émission enregistrée au format mp3 par mail au plus tard le mercredi 16 mars à 20h. Événements à présenter :

L’art en France au XVIIIè siècle 3. Sculpture Le courant d’influence baroque La réaction classique 3.2. La réaction classique débute avec Edmé Bouchardon (1698-1762), admirateur de l'Antique qui créé la fontaine des Saisons rue de Grenelle (1737), l'Amour se taillant un arc (1750, Louvre), le Buste du pape Clément XII (Florence), une Flagellation du Christ à Saint-Sulpice de Paris, une statue équestre de Louis XV (1748-1758, Louvre). Articles connexes L’art en France au XVIIIè siècle Germain Boffrand (1667-1754) créé les hôtels de Villars (1713) et de Torcy, le pavillon de Bouchefort près de Bruxelles, Saint Jacques de Lunéville. Il travaille à l'Arsenal. De moindre importance sont Claude Desgots (Mort en 1732 ; Jardins du Palais Royal et de Champs sur Marne), Jean Cailleteaux « Lassurance le Jeune » (1690-1755 ; château de Crécy, hôtel d’Evreux, château Bellevue de Meudon), Jacques III Gabriel (1667-1742 ; Hôtel Peyrenc de Mores-Biron = musée Rodin), Jean Michel Chevotet (1698-1772 ; Château de Champlâtreux), Jean Aubert (1680-1741 ; écuries de Chantilly, cloître et logis abbatial de l’abbaye de Chaâlis, palais Bourbon). Les décorateurs « rocaille » sont Juste Aurèle Meissonnier (1695-1750), Gilles-Marie Oppenordt (167-1742), Jean Nicolas Servandoni (1695-1766 ; façade de Saint Sulpice)

Les Lumières, les plus grandes œuvres et auteurs | Short Édition La genèse L’esprit philosophique des Lumières est un nouvel humanisme : il fait preuve d’une confiance infaillible dans la raison humaine et d'une foi optimiste dans le progrès. Son expression la plus complète s’incarne dans l’Encyclopédie de Diderot et d’Alembert, qui prétend regrouper tout le savoir technique dans tous les domaines acquis par l’homme depuis de nombreux siècles. Le double objectif est de diffuser les idées des « Lumières » et de combattre l’intolérance et le despotisme. Cependant le siècle n’est pas si lisse qu’on pourrait le croire : les années 1750-1760 représentent un tournant ; elles tendent à éclipser le rationalisme philosophique de la première moitié au profit d’une sensibilité préromantique. Mais il faut garder à l’esprit que la raison ne perd pas tous ses droits et que le courant émotionnel est sous-jacent depuis le début du siècle. Deux courants se superposent donc en filigrane et s'influencent mutuellement. Le rationalisme Le courant préromantique

La musique de la période baroque La musique baroque désigne la musique de la période allant du début du XVII° siècle jusqu’au milieu du XVIII° siècle (1750, mort de Bach). Les deux principaux pays dans lesquels elle s’est développée sont l’Italie et la France, mais l’on considère souvent que la musique baroque a culminé en Allemagne avec Jean-Sébastien Bach. Cette musique, qui a laissé place à la musique de la période classique, a été délaissée de nombreuses années, avant d’être partiellement redécouverte au XIX° siècle (en gros, on s’est ré-intéressé à Bach), et complètement remise à la place qu’elle mérite au milieu du XX° siècle. En musique plus spécifiquement, le baroque se caractérise par l’utilisation du contrepoint (les mélodies s’enlacent, s’enchevêtrent) et de plus en plus de l’harmonie (à l’inverse, l’accent est mis sur les accords, d’où naissent les mélodies). Ecoutez les morceaux de la période baroque présentés sur lamusiqueclassique.com!

Le Style Louis XV | AnticStore Antiquités Le style Louis XV se situe entre 1725 et 1760, style nouveau où l'on voit disparaître le culte du classique et de l'antique. Le mobilier Louis XV est appelé également style rocaille, rococo ou Pompadour. I. À son bois Les bois les plus courants pour un meuble de style Louis XV: chêne, noyer, hêtre poli, naturel, laqué (laque noire et or, laque rouge) ou peint de couleurs tendres (blanc, rose, bleu, lilas, vert clair) parfois à plusieurs tons et à filets, le bois d'amarante et le bois de violette. Le placage de bois des Iles à compartiments ou à mosaïque. La marqueterie emploie des bois de différentes couleurs et forme de véritables compositions décoratives: vases de fleurs, scènes, personnages, guirlandes, bouquets. A son ornementation Absence de symétrie. Les principaux motifs: la coquille, dissymétrique, la feuille d'acanthe, les feuillages entrelacés, les Oiseaux, les bouquets, les fruits, tous les attributs amoureux. A son piétement II. Les sièges Louis XV Les commodes Louis XV

La prise de la Bastille, le 14 juillet 1789 | L'histoire par l'image Christian AMALVI, « Le 14 Juillet », in Pierre NORA (dir), Les Lieux de mémoire, t. 1, « La République », Paris, Gallimard, 1984, rééd. coll. « Quarto », 1996. François FURET, Mona OZOUF, « La prise de la Bastille », in François FURET, Mona OZOUF, Dictionnaire critique de la Révolution française, Paris, Flammarion, 1988, rééd. coll. « Champs » 1992. François FURET, Denis RICHET, La Révolution française, Paris, Fayard, 1965, rééd. 1997. Jacques GODECHOT, La Prise de la Bastille, Paris, Gallimard, coll. « Les Trente Journées qui ont fait la France », 1965. COLLECTIF, La Révolution française et l’Europe 1789-1799, catalogue de l’exposition au Grand Palais, Paris, RMN, 1989. Robert FOHR et Pascal TORRÈS, « La prise de la Bastille, le 14 juillet 1789 », Histoire par l'image [en ligne], consulté le 27 mars 2020. Christian AMALVI, « Le 14 Juillet », in Pierre NORA (dir), Les Lieux de mémoire, t. 1, « La République », Paris, Gallimard, 1984, rééd. coll. « Quarto », 1996.

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