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L'impression 3D menacée par des brevets

L'impression 3D menacée par des brevets
Il existe une crainte croissante chez les bidouilleurs qui s'enthousiasment pour les possibilités offertes par l'impression 3D : qu'elles soient un jour minées par des brevets qui freinent la mise à disposition des imprimantes 3D et/ou qui les mettent sous le contrôle de quelques entités commerciales qui chercheront à imposer des formats propriétaires (notamment de consommables) rendant l'impression plus ruineuse. Pour s'assurer que l'impression 3D reste aux mains des hackers qui ont largement contribué à la populariser, à base de ressources libres et open-source (en particulier le projet RepRap), l'Electronic Frontier Foundation (EFF) a décidé de tirer intelligemment partie d'une nouvelle procédure offerte aux Etats-Unis lors de l'examen des brevets, avec l'aide des internautes. Pour le moment, l'EFF a identifié trois brevets déposés entre 2010 et 2012 pour laquelle elle demande au public de soumettre des antériorités :

L'impression en 3D bientôt dans votre salon Le procédé devrait rapidement se démocratiser avec l'arrivée sur le marché d'imprimantes 3D très performantes à moins de 2000 dollars (1600 euros environ) d'ici à 2016, selon le cabinet Gartner. L'impression 3D a le vent en poupe. Elle est même présentée par certains comme la prochaine révolution industrielle. Grâce à cette technologie, il est possible de réaliser des objets en très petite série, voire à l'unité. Le principe de l'impression 3D peut être comparé à celui de l'impression jet d'encre. L'impression 3D «va permettre de relocaliser» «L'impression 3D va rapidement être disponible dans des kiosques ou des boutiques, créant de nouvelles opportunités pour les détaillants et d'autres business», prédit Pete Basiliere, analyste chez Gartner. Un des vecteurs de développement de l'impression en 3D passe par la baisse des prix des imprimantes 3D. » Une arme à feu faite maison avec une imprimante 3D » Des oreilles artificielles obtenues grâce à la 3D

Impression 3D internet Impression 3D : les entreprises doivent s'équiper maintenant, selon Gartner L’impression en 3D est en train de passer d’un marché de niche à un marché généralisé. Les entreprises qui tardent à examiner comment la technologie pourrait leur être bénéfique seront désavantagées sur le plan de l’innovation par rapport à leurs rivales qui prennent la technologie au sérieux. Tel est le message à retenir d’une note de recherche de Gartner qui explique que le moment est idéal pour expérimenter la technologie car le prix des imprimantes 3D baisse. « Les premiers adeptes peuvent tester les imprimantes 3D en prenant un risque minime de perte de capital ou de temps, en obtenant éventuellement un avantage dans la conception et le délai de commercialisation des produits par rapport à leurs concurrents », explique Gartner. Lire la suite de Impression 3D : les entreprises doivent s'équiper maintenant, selon Gartner chez notre partenaire SmartPlanet.fr

Impression tridimensionnelle Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'impression 3D ou impression tridimensionnelle sont les termes courants utilisés pour parler des procédés de fabrication additive. Initialement, en raison de leurs défauts originels, ces procédés ont été développés pour le prototypage rapide, mais maintenant ils sont de plus en plus utilisés pour la fabrication de pièces fonctionnelles. L'impression tri-dimensionnelle permet de produire un objet réel : un opérateur dessine l'objet sur un écran en utilisant un outil de Conception assistée par ordinateur (CAO). Selon le procédé une panoplie de matériaux peut être utilisée : le plastique (ABS), la cire, le métal[1], le plâtre de Paris[2] , les céramiques et d'autres encore. Les applications vont de l'industrie - la production de voitures[3], d'avions[1],[4], de bâtiments, de biens de consommation, etc., à la visualisation de projets, de vérification d'ergonomie pour l'architecture ou les études de design. En 2013[modifier | modifier le code]

L’impression 3D est-elle le moteur de la fabrication de demain « Il y a une sorte de pensée magique chez les geeks aujourd’hui autour de l’impression 3D », s’énerve Christopher Mims pour la Technology Review. Alors que les imprimantes 3D deviennent accessibles aux amateurs – la Thing-o-Matic de MarkerBot ne coûte que 1 100 dollars – et que Pirate Bay estime que les « physibles » – les plans d’objets qu’on peut réaliser via des machines 3D et qui s’échangent dès à présent sur The Pirate Bay – sont la nouvelle frontière du piratage, des penseurs comme Tim Maly pensent que nous approchons de la fin de « l’expédition ». C’est-à-dire qu’il sera bientôt plus coûteux d’expédier une pièce depuis la Chine ou de n’importe quel endroit où elle est fabriquée, que de la fabriquer soi-même. Les promesses de l’impression 3D Pourtant, Christopher Mems ne porte pas un regard hautain sur l’impression 3D. Et Christopher Mims de détailler les progrès qu’il y a encore à accomplir. La fabrication est plus complexe « Commençons par regarder le mécanisme.

Fabrication et assemblage: prochaine grande tendance, l’impression 4D (vidéo) Un architecte du MIT travaille à des objets dont les pièces imprimées en 3D avec une couche de matériau « intelligent » formant au contact de l’eau des formes prédéfinies. Alors que l’impression 3D commence tout juste à trouver sa voie, un architecte avant-gardiste vient d’annoncer qu’il travaille d’ores et déjà sur la prochaine grande tendance. C’est à la dernière conférence TED tenue à Long Beach que Skylar Tibbits, professeur au MIT, a donné à l’auditoire un avant-goût d’une innovation encore plus évoluée qu’il qualifie tout naturellement d’impression 4D. Je sais que cette appellation peut paraître suspecte car, franchement, qu’est-ce donc qu’un objet imprimé en 4D? Rassurez-vous: cela n’a rien à voir avec quelque chose qui existerait dans une dimension spatiale invisible (à quoi cela nous servirait-il?). Le dispositif utilisé est une imprimante 3D Stratasys (site français)conçue pour produire des matériaux multicouches. « Fondamentalement, l’impression n’a rien de nouveau.

Zephyr Sofa by Zaha Hadid Architects for Cassina Contract in Milan Milan 2013: Zaha Hadid launched a sofa based on natural rock formations at an exhibition of her new furniture designs in a former foundry last week. The shape of the Zephyr Sofa by Zaha Hadid for Italian firm Cassina Contract is derived from erosion patterns, resulting in fluid banks of seating with deep platforms and backrests to encourage sprawling. The pieces have no front or back and can be joined together to create larger configurations. Hadid explained the origins of her flexible furniture designs in a talk on the opening night: "When I was doing plans years ago, people always said 'what kind of furniture will you put against this kind of curved wall?' "These pieces are very communicative, they are never meant to be pushed up against a wall," added partner Patrik Schumacher. The outside surfaces are finished in glossy lacquer and topped with foam upholstered in tactile fabrics. Photographs are by Jacopo Spilimbergo. Here's some more information from Zaha Hadid Architects:

Rapid reality: Students design 3-D printed products Provided A cord organizer designed by Emily Burke, Michael Dijamco and Christian Karakachian, has two versions: acoustic and electric. A volume analysis of a two-chamber teapot designed by Tom Eldredge, Rukang Huang and Eric Simeonoglou in Mechanical Synthesis 2250. Identify a consumer need, design a solution under a certain price, and sell it online. Those were the basic guidelines this semester for engineering students in Mechanical Synthesis 2250, an introduction to product design. As a final step, students sent their designs to a 3-D printing company like Shapeways or Materialise, where anyone can order and buy the products, custom-printed in materials like food-grade ceramic, metal and plastic. “It’s really revolutionary in a lot of ways,” said Eric Simeonoglou ’15, whose group made a two-chamber teapot now available for sale on Shapeways. Designing, prototyping, manufacturing and retailing typically takes months or even years, Lipson said.

3D-printed canal home takes shape in Amsterdam 15 April 2013Last updated at 19:06 ET By Colin Grant Click, BBC World Service The architects intend to use the house as an education centre to help promote 3D printing It sounds like the ultimate do-it-yourself project: the print-your-own-home. In place of bricks and mortar and the need for a construction crew, a customisable building plan which transforms itself from computer screen graphics into a real-world abode thanks to the latest in 3D printing technology. That dream is still beyond our reach, but several teams of architects across the globe are engaged in efforts to take a major step towards it by creating the world's first 3D-printed homes. Amsterdam-based Dus Architects is one of the firms involved - it plans to print a canal house in the Dutch capital. It's worth taking a moment to reflect on that premise; the machine will not modestly 3D-print the usual cup, curtain ring or piece of jewellery, but an actual building. The young architects were visibly excited.

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