background preloader

L'avocat de Sarkozy attaque le juge Gentil avec une citation erronée

Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Mathilde Carton En réaction à la mise en examen de Nicolas Sarkozy dans le cadre de l'affaire Bettencourt, son avocat, Me Thierry Herzog, a dénoncé l'impartialité du juge Jean-Michel Gentil. Dans un entretien accordé au Journal du dimanche, l'avocat a reproché au magistrat bordelais d'avoir signé une "tribune politique", cinq jours avant de perquisitionner chez l'ancien chef de l'Etat. Il fait en fait référence à un texte publié le 27 juin 2012 dans Le Monde, cosigné avec quatre-vingt-un autres magistrats et neuf organisations, et appelant à une réforme de la lutte contre la grande délinquance financière. Selon Me Herzog, les auteurs "[mettent] en cause la politique de Nicolas Sarkozy et celle de son prédécesseur, les accusant de 'vouloir protéger les corrompus'". Or, non seulement le nom du chef de l'Etat n'est pas mentionné dans l'appel des magistrats, mais la phrase reprochée par l'avocat n'apparaît nulle part.

A Paris, la primaire UMP dans un couloir de bugs Trois inscriptions, sous trois noms différents, sur la liste des votants à la primaire parisienne de l’UMP. Ce matin, une journaliste de Metronews révélait qu’elle avait pu inscrire des électeurs sans leur consentement, et voter (blanc) à trois reprises. Preuve que le dispositif de contrôle des inscriptions est, pour le moins, léger. «Suspendre le processus d’un vote publiquement ridiculisé» Au point qu'en fin d'après-midi, un des candidats, Pierre-Yves Bournazel, a demandé la suspension du vote. «Aucun d'entre nous ne peut sortir légitimé et n'aura l'autorité et la légitimité nécessaires pour affronter la majorité sortante en 2014 en étant désigné par ce processus, notoirement entaché de failles manifestes et d'irrégularités non sanctionnées», a-t-il encore dénoncé, évoquant un «système opaque, faillible et dans lequel certains s'affranchissent des règles les plus élémentaires de la démocratie». Dans sa ligne de mire, la favorite Nathalie Kosciusko-Morizet. La CNIL n'approuve pas

Related: