background preloader

Erving Goffman WIKI

Erving Goffman WIKI
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Biographie[modifier | modifier le code] Après un séjour à l'université Harvard, au Center for International Affairs durant lequel il s'intéresse, en compagnie de Thomas Schelling, à la « théorie des jeux », il occupe une chaire à l'université de Pennsylvanie, où il retrouve Ray Birdwhistell de 1968 à 1982. En 1974, il publie Les Cadres de l'expérience, ouvrage que certains critiques[réf. nécessaire] qualifieront de « structuraliste », cherchant à identifier une incohérence dans l'évolution de son œuvre. En 1981, il se remarie avec Gillian Sankoff, avec laquelle il a une fille, Alice. Concepts[modifier | modifier le code] Institution totale[modifier | modifier le code] coupure du monde extérieur ;tous les besoins sont pris en charge par l'institution ;mode de fonctionnement bureaucratique ;contacts entre reclus et surveillants limités ;changement de la temporalité. Métaphore théâtrale[modifier | modifier le code] Erving Goffman distingue :

Auguste Comte Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Auguste Comte Philosophe français XIXe siècle Lithographie de Comte par Tony Touillon. Il est le fondateur du positivisme, et est considéré comme un des précurseurs de la sociologie. Il est l'auteur de la célèbre loi des trois états, selon laquelle l'esprit humain passe successivement par « l'âge théologique », par « l'âge métaphysique », pour aboutir enfin à « l'âge positif » admettant que la seule vérité accessible l'est par les sciences. Les sciences qualifiées de « positives » (aujourd'hui appelées « exactes » ou « dures »), comme les mathématiques ou la physique, vont permettre de réaliser une triple tâche : « Éliminer les spéculations métaphysiques abstraites, établir les critères de la rationalité des savoirs, et comprendre les lois de l'organisation sociale. » Son influence sur l'épistémologie française est considérable. Biographie[modifier | modifier le code] Il rencontre Félicité Robert de Lamennais. Tête d'Auguste Comte « M.

Ni homme ni femme : qu'est-ce que le xénogenre ? Cette volonté de sortir de ces paramètres d’expression de soi traditionnels et classiques s’accentue particulièrement au xxe siècle, grâce à deux évolutions clés : l’arrivée et le déploiement des études de genre dans les universités pendant les années 1990, qui cherchent à analyser et déconstruire les notions statiques de masculin et de féminin, à adresser les questions de transidentité et de découpler l’être de son enveloppe corporelle assignée ; de l’autre, la culture Internet et l’arrivée en masse de blogs, Tumblr, forums, permet à des communautés de se former, des terminologies d’être créées et diffusées. Si les personnes xénogenres existent depuis toujours, l’appellation ne date que d’il y a environ vingt ans, et émerge donc grâce aux développements de ces deux avancées. Ainsi Sylvana s’habille souvent de tenues aériennes, de matières vaporeuses. Tous humains, tous singuliers, tous égaux.

Max Weber Max Weber [maks vebɛʁ][1] (en allemand [maks ˈveːbɐ][2]), né le 21 avril 1864 et mort le 14 juin 1920, est un économiste et sociologue allemand originellement formé en droit. Considéré comme l'un des fondateurs de la sociologie, il porte ses interrogations sur les changements opérés sur la société avec l'entrée dans la modernité. On lui doit notamment des analyses complexes du capitalisme industriel, de la bureaucratie et du processus de rationalisation en Occident. Contrairement à Émile Durkheim, considéré lui aussi comme un père de la sociologie, Weber a peu enseigné et n'a pas fait école de son vivant. En marge de son travail de recherche, Weber s'est engagé dans l'action politique, contribuant notamment à la rédaction de la Constitution de Weimar pour la république de même nom en 1919. Introduction[modifier | modifier le code] « Ce qui importe donc, en premier lieu, c'est de reconnaître et d'expliquer dans sa genèse la particularité du rationalisme occidental […].

« J’ai perdu 20 kilos depuis que je suis enfermé ici » Le Mesnil-Amelot (77) – « C’est un quatre-étoiles ce Cra ! », assure le directeur adjoint du centre de rétention administrative du Mesnil-Amelot (77). À 100 mètres des pistes de l’aéroport de Paris Charles de Gaulle, 165 sans-papiers (sur 240 places) sont enfermés dans ce lieu de privation de liberté, dans l’attente d’une décision de justice, qui arbitrera leur expulsion ou non du territoire français. « Ah oui vraiment ? », demande le député écologiste Benjamin Lucas, qui exerce son droit de visite parlementaire, ce jeudi 2 mars. Le député écologiste Benjamin Lucas exerce son droit de visite parlementaire et vient échanger avec des retenus du Cra du Mesnil-Amelot, ce jeudi 2 mars. / Crédits : Pauline Gauer Dans le bâtiment 5 du Cra, la poubelle déborde et est rarement vidée. / Crédits : Pauline Gauer « Un mois ici, c’est comme un an en détention », déclare Mohamed, un jeune Guinéen de 23 ans, passé par la prison de Fleury-Mérogis (91). Unité médicale défaillante Violences en rétention

Capitalisme La mise en forme de cet article est à améliorer(octobre 2017). La mise en forme du texte ne suit pas les recommandations de Wikipédia : il faut le « wikifier ». Comment faire ? Les points d'amélioration suivants sont les cas les plus fréquents. Pour une aide détaillée, merci de consulter Aide:Wikification. Si vous pensez que ces points ont été résolus, vous pouvez retirer ce bandeau et améliorer la mise en forme d'un autre article. Le capitalisme désigne l'économie de marché, vue sous l'angle du rôle des capitalistes, entrepreneurs ou épargnants, et du montant de leurs investissements dans la production de biens et de services. L'entreprise de production de biens et services crée de la valeur ajoutée par différence entre ses ventes et ses achats. Ambiguïtés de significations[modifier | modifier le code] Sa définition diffère dans le temps, dans l'espace, et en fonction des sensibilités politiques des personnes qui l'emploient. Étymologie[modifier | modifier le code] En 1932, M.

Hayao Miyazaki est-il vraiment féministe ? Les films de Hayao Miyazaki, le plus célèbre des animateurs japonais, évoquent immédiatement des univers un peu fous faits de châteaux qui se baladent en montagne, d’esprits en vacances allant se payer des bains thermaux ou de créatures mi chats mi bus scolaires. Mais Hayao Miyazaki, dont on connaît l’engagement pacifiste et environnementaliste, est aussi qualifié de « féministe » (Nienhuis, 2011). Si nous définissons le féminisme comme un ensemble de mouvements d’idées ayant pour objectif de remettre en question l’ordre social de domination masculine en promouvant les droits des femmes dans le domaine civil comme dans la sphère privée, qu’est-ce qui définirait le cinéma de Miyazaki comme tel ? Rousseau ! Au centre de la réflexion morale de Miyazaki se trouve la recherche d’une harmonie : entre les êtres humains (pacifisme et antimilitarisme), entre l’humanité et la nature (environnementalisme), et un questionnement sur la responsabilité de nos actes. « Girls energy », « boys energy »

Sociologie des organisations Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La sociologie des organisations peut se définir comme une branche de la sociologie qui étudie comment les acteurs construisent et coordonnent des activités organisées. Elle peut aussi se définir comme une science sociale qui étudie des entités particulières nommées organisations, ainsi que leurs modes de gouvernance et interactions avec leur environnement, et qui applique les méthodes sociologiques à l'étude de ces entités. Elle est à l'intersection de plusieurs disciplines, dont l'économie des organisations, le management et la théorie des organisations. Sens et enjeux[modifier | modifier le code] Sens du terme organisation en sociologie[modifier | modifier le code] Le terme organisation peut avoir trois sens distincts en sociologie : L'étude des organisations répond alors à une triple exigence : Enjeux[modifier | modifier le code] Les métaphores retenues par Morgan permettent de voir l'organisation : Trois auteurs vont se démarquer.

Campagne d’abandon d’armes : plus de 200 000 armes remises à l’État, la Gironde dans le top 5 50 000 armes, jusqu’ici non répertoriées dans les fichiers de l’État, ont été également déclarées, portant à « près de 200 000 » le nombre d’armes sorties de la clandestinité entre le 25 novembre et le 2 décembre, a indiqué dans un communiqué le ministre de l’Intérieur. Près de 4 millions de munitions et projectiles ont également été collectés dans le cadre de cette opération qui visait, notamment, à « prévenir les violences intra-familiales, les accidents domestiques et les vols d’armes ». Les départements qui ont recueilli le plus d’armes, le plus souvent acquises par héritage, sont la Gironde, le Nord, le Finistère, le Pas-de-Calais et le Morbihan. La garantie d’absence de poursuites administratives ou judiciaires pour détention illégale et la proximité des points d’accueil - plus de 300 sites - expliquent ce succès, selon l’Intérieur. Au premier trimestre 2023, une simplification de la procédure d’abandon d’armes à l’État sera expérimentée dans cinq départements, annonce l’Intérieur.

François Bégaudeau : « Habiter quelque part » Mérite, travail, diplômes, ruissellement, création d’emplois, responsabilités écrasantes des patrons, prises de risque des investisseurs : le possédant n’est jamais à court d’une fable pour faire avaler la pilule de ses privilèges. Mais la plus jolie demeure celle du bateau. La société, nous content les fabulistes, est un bateau : ses membres forment un équipage dont la cohésion est le gage d’une victoire profitable à tous, maçons autant que traders. Chronique issue de notre numéro 55 « Bienvenue dans l'ère du rationnement », disponible sur notre boutique. Et voilà que de diligents intellectuels l’exaucent. Partout sauf là Comme de toute fable, on peut sans forcer intervertir les termes de celle-ci ; démontrer que les nulle part sont quelque part, et vice-versa. Il peut voler de New York en Rome, sans doute, mais toujours avec des pairs, toujours en bonne compagnie. Ce qu’habiter veut dire Le somewhere est assurément quelque part, il habite un point de l’espace et l’habitera longtemps.

Avec son jeu Antifa, l’éditeur Libertalia se joue du Rassemblement national Sur les murs, des affiches illustrées de figures révolutionnaires comme Angela Davis, Rosa Luxemburg ou encore Louise Michel donnent le ton. Située à Montreuil (Seine-Saint-Denis), la librairie de quartier Libertalia, ouverte en 2018, est traversée d’une certaine agitation en cette matinée glaciale du 2 décembre. Entre les clients qui flânent et les coursiers venus livrer des ouvrages, les propriétaires font tout autre chose que vendre des livres. Ils préparent quelque 800 envois d’un jeu de société pas tout à fait comme les autres, baptisé « Antifa ». « On fait tout nous-mêmes. L’emballer dans du papier bulle, le mettre dans un colis, et le poster », rapporte Charlotte Dugrand, cofondatrice de la maison d’édition Libertalia, dont la librairie est une déclinaison. Depuis le 26 novembre, ce jeu de simulation et de « gestion » de groupe antifasciste est la cible de l’extrême droite.

Mort de Nahel : colère et effroi - 500 personnalités alertent | Le Club Les images de la mort de Nahel, jeune franco-algérien de 17 ans, tué d’une balle dans le cœur par un policier, le 27 juin dernier, ont fait le tour du monde. Le 6 juillet, un autre homme, Mohamed B., est tué par le tir d’un lanceur de balles de défense (LBD) à Marseille. Ces deux noms viennent allonger la trop longue liste des victimes de violences policières en France ces dernières années : Alhoussein, Rayana, Adama, Good, Mozomba, Zineb, Aziz, Adam, Jean-Paul, Fadjigi, Amine, Nathalie, Zyed, et tant d’autres . Le constat est sans appel : en France, des Arabes et des Noirs meurent entre les mains des policiers. La nouveauté, c'est qu’on peut désormais être récompensé pour cela. Plus largement, nous souhaitons attirer l'attention sur la gestion gouvernementale de cette crise. Interdire de manifester, menacer de couper les réseaux sociaux, prononcer des peines de prison ferme pour un vol de canette. Aussi, et en écho à ces constats : Rendez-vous le samedi 15 Juillet dans la rue ! Casey Lexie

Hildegarde de Bingen Hildegarde de Bingen (en allemand : Hildegard von Bingen), née en 1098 à Bermersheim vor der Höhe près d'Alzey (Hesse rhénane) et morte le 17 septembre 1179 à Rupertsberg (près de Bingen), est une moniale bénédictine allemande, parfois dénommée Hildegarde de Rupertsberg[1]. Docteur de l’Église[Note 1], elle a développé de nombreux talents, étant à la fois abbesse, mystique, visionnaire, illustratrice, compositrice, poétesse, fondatrice et prédicatrice franconienne. Elle est aussi une figure marquant l'apogée de la médecine monastique à la fin du Haut Moyen Âge. Bienheureuse de l'Église catholique depuis le XIIe siècle[2], en 2012, elle a été canonisée et proclamée Docteure de l'Église par le pape Benoît XVI. Biographie[modifier | modifier le code] Enfance[modifier | modifier le code] Hildegarde naît aux environs de 1098[3],[4]. Entrée en vie religieuse[modifier | modifier le code] Abbesse du monastère bénédictin de Disibodenberg[modifier | modifier le code] Compositions : Les éditions sont :

Architecture Radicale | nouvelles de la métropole froide Des années 1960 au début des années 1970, l’architecture européenne puis mondiale, s’est vue bouleversée par une nouvelle conception de sa pratique. Délaissant l’objectif constructif, qu’une part importante d’architectes définissait comme étant l’état absolu de la discipline, elle tend vers des pratiques artistiques et conceptuelles. Archizoom Associati, Dream Beds, 1967. Venue d’Italie, à travers le mouvement collectif Archizoom Associati, cette pensée s’étend à l’Angleterre, l’Autriche et les Etats-Unis. Pour ces jeunes architectes, l’architecture ne doit pas être figée. Sans cesse remaniée elle se réinvente avec le présent. Le mouvement radical prend une place totale, à toutes les échelles du projet, de l’objet domestique au model urbain le plus complexe. ONYX, Parsec City, 1968-1970. Pour Hans Hollein, « tout est architecture » en 1968. Peter Cook, Airship Zeppelin Model, 1969. Superstudio, The Continuous Monument from Life Without Objects. 1. Page.83. WordPress: J’aime chargement…

Eva Illouz, une sociologue contre la tyrannie des émotions Depuis trente ans, Eva Illouz analyse nos émotions avec les outils de la sociologie, et non avec ceux, plus classiques, de la psychologie. Le regard original qu’elle pose sur notre société est reconnu comme l’un des plus novateurs de la pensée critique actuelle. Cet article a été publié dans le n° 8 de la revue Carnets de science en vente en librairies. L’originalité d’une œuvre réside, selon le dictionnaire, dans sa nouveauté, son caractère unique : elle porte l’empreinte de la personnalité de son auteur. La libération sexuelle des années 1970 a permis la mise en place d’un « marché de l’amour » où la valeur de chacun est attribuée selon des mécanismes proches de l’économie de marché. Après avoir enseigné en Israël, en Allemagne et aux États-Unis, Eva Illouz a posé ses valises à Paris il y a cinq ans, où elle est directrice d’études à l’École des hautes études en sciences sociales (EHESS). Du Maroc à Paris, puis ailleurs Eva Illouz naît en 1961 à Fès dans une famille juive sépharade.

Related: