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Le deuxième "MOOC" francophone fait fureur

Le deuxième "MOOC" francophone fait fureur
"Massive Open Online Course", "Cours de masse en ligne et gratuit", tel est le concept qui se cache derrière cet acronyme. Dans la réalité, cela représente un cours suivi par plus de 3600 étudiants en même temps, chacun depuis son PC, partout dans le monde et gratuitement. Depuis 2008, toutes les universités américaines ont pris progressivement le pli du télé-enseignement. Les MOOC font désormais partie des activités courantes dans une société où apprendre n’est plus une activité réservée à une période, l’enfance et la jeunesse, mais s’exerce tout au long de la vie. Qui dit cours dit examen Les MOOC sont plus que de simples tutoriels ou "webinars" (séminaires web) tels qu’on peut en suivre à son rythme sur Youtube ou ailleurs. Concrètement, les cours utilisent les fonctionnalités du web 2.0, interactif et pas seulement consultatif. Bref les MOOC ne sont pas réservés aux thèmes des "geeks", ces fous de technologie et d’informatique. Retard en français mais beau démarrage Patrick Bartholomé

Bientôt des cours filmés de l’École Polytechnique gratuitement sur Internet : l’enseignement supérieur de demain se fera-t-il à distance Avec le développement des massively open online courses (MOOC), ces cours en ligne gratuits dispensés aux États-Unis par les plus grandes universités, le e-learning est devenu le sujet d’intérêt majeur des acteurs de l’enseignement supérieur. En annonçant qu’elle rejoint Coursera, l’École polytechnique ouvre bien grandes les portes des MOOC à la française. On doit cette terrifiante allégorie d'un MOOC transformant tout sur son passage dans l'enseignement supérieur à Michael Branson Smith, un professeur assistant de communication du York College de New York. Aux États-Unis ils s’appellent Coursera, Udacity ou edX, au Royaume-Uni FutureLearn s’apprête à se lancer, tous mettent en ligne des centaines de cours gratuits pouvant ensuite déboucher sur l'obtention de certificats. Auparavant, la Khan Academy mettait bien des cours en ligne mais ne se prenait pas pour une grande université pour autant. La page de l'Ecole Polytechnique sur Coursera. Former ceux qui ne se forment pas Share and Enjoy

bmdesignerweb : @ngev @yannick_petit à un... MOOC et méta-MOOC sont sur le réseau… | Cinémadoc En ce moment, les cours en ligne ouverts à tous (MOOC) ont la cote et provoquent par-là même des éloges disproportionnés (enfin le savoir est mis à disposition de tous!) et des critiques plus ou moins argumentées (par exemple ou encore et pour une veille active). Les principales critiques portent à la fois sur le fait que ces cours reproduisent en ligne la domination des grandes universités anglophones et sur le fait qu’ils perpétuent le principe d’une transmission unidirectionnelle du professeur-expert (les « têtes parlantes ») vers des étudiants-ignorants. Malgré leur succès (lié dans cette perspective à leur gratuité, à la convergence des médias numériques et à un effet de mode), les MOOC constitueraient en quelque sorte une régression par rapport aux tentatives précédentes de cours en ligne. Il manquerait à ces projets une réflexion sur ce que signifie enseigner en ligne à une cohorte composée de plusieurs milliers d’étudiants. Cette note constitue aussi un retour sur expérience.

Un MOOC pour apprendre à entreprendre 5 fév 2013 Les cours en ligne prennent un nouvel essor avec l’arrivée d’outils développés pour un usage massif. Exemple de ces potentialités avec une initiative de nos voisins hispaniques, qui utilisent ce système pour sensibiliser à l’entrepreneuriat. Le premier MOOC en espagnol consacré à l’entreprise numérique a été inauguré en grande pompe à l’Université d’Alicante le 25 janvier dernier. En quelques jours, plus de 11.000 personnes de 90 pays différents se sont inscrites. L’Espagne se revendique comme précurseur en la matière Ancien président de l’université, Andrés Pedreño, l’instigateur de cette initiative, estime que le MOOC ne met pas en danger l’université traditionnelle, mais qu’il oblige à la redéfinir, et à déterminer notamment la valeur ajoutée des cours en présentiel. Impact institutionnel et médiatique en tout cas, car ce MOOC a reçu le soutien de la CRUE – l’équivalent espagnol de la Conférence des Présidents d’Université -, de Google et de diverses fondations privées.

bmdesignerweb : @R_Bachelet @jpberthet Oui... Le futur de l’enseignement supérieur est dans la formation de communautés d’apprentissage en réseau Beaucoup de mouvement sur la planète MOOC dans les derniers jours. D’abord, on apprend par l’entremise du Figaro étudiant que la prestigieuse École Polytechnique en France offrira trois cours en français sur Coursera dès la rentrée d’automne 2013. Un peu plus tôt en février, le blogue de Coursera avait publié un billet dans lequel on annonçait que la plateforme aux trois millions d’utilisateurs mettait le cap sur la francophonie. Le Wall Street Journal annonçait quant à lui au début février que Coursera avait ajouté 29 institutions participant à son offre de cours et EdX (700 000 utilisateurs), six institutions dont l’Université McGill, première au Québec si je ne m’abuse, à tenter l’aventure des dispositifs commerciaux leaders de « l’industrie des MOOCs ». « La téléprésence n’est pas plus la présence incarnée nécessaire à l’expertise que la syntaxe d’un ordinateur n’est du sens. Le nouveau modèle d’affaire des universités est là. C’est ce que je ne nous souhaite pour bientôt. N.B.

Un MOOC (un quoi?!?) sur les réseaux sociaux en éducation débutera le 11 mars Audrey Miller, publié le 14 février 2013 Les organismes belges Pedago-TIC et École Numérique se sont alliés pour créer ReSOP, un MOOC qui permettra de réfléchir et participer pendant 4 semaines à l’intégration des réseaux sociaux dans les pratiques pédagogiques. (Vous n’y comprenez rien? Pas de problème, on vous explique!) Premièrement, définissons le MOOC. L’acronyme vient de Massive Open Online Course. Ensuite, comprenons que ReSOP est l’acronyme de Les Réseaux Sociaux comme Outils Pédagogiques. Donc, ReSOP est un MOOC qui mettra à la disposition des intéressés une communauté d’apprentissage au sein de laquelle les participants pourront réagir, encourager, enrichir, proposer et partager autour d’une thématique précise : les réseaux sociaux, et plus particulièrement Facebook et Google+, dans la pratique pédagogique. Le cours débute le 11 mars et se termine le 7 avril. Comment ça se passe? À propos de l'auteur Audrey Miller Pour suivre l'auteur :

bmdesignerweb : @ActionsFLE ça ne passe pas... Mooc : la standardisation ou l’innovation Le développement des cours en ligne massifs et ouverts (Mooc pour massive online open courses) attise autant l’enthousiasme que le rejet. Pourtant, comme nous l’avons déjà signalé, ils n’ont rien de magique et paraissent bien souvent plus une réponse économique qu’éducative. En accentuant la concurrence entre universités et entre les étudiants eux-mêmes… les Mooc semblent répondre à un problème pédagogique par une solution économique très spécifique. Si vous n’avez pas encore succombé au buzz des Mooc (massive online open courses, Cours en ligne ouvert et massif), ça ne saurait tarder : le temps de l’enseignement supérieur de masse en ligne est venu et la face du monde en sera changée, nous dit-on. La course à la plate-forme Mais la bulle qui s’est ainsi créée a contaminé d’autres universités comme le MIT et Harvard qui ont entrainé UC Berkeley, University of Texas, Georgetown et Wellesley pour créer EdX, alors pourtant que le MIT avait déjà son OpenCourseWare disponible.

xMOOC vs cMOOC - Pédagogie MOOC - Degré de liberté I only learned recently that I’ve not been enrolled in MOOC classes at all, but have instead been involved with something called an xMOOC. At first I was curious why anyone would want to eliminate the only saving grace of the MOOC acronym (its pronounceability), but apparently two variations are meant to distinguish the type of professor-centric massive courses that have received most of the attention over the last couple of years (xMOOCs) from a different vision for massive online education built around connectivity (cMOOCs). Lest you think this distinction is just an attempt to glom onto MOOC media mania to push a different educational agenda, the connectivist vision behind the cMOOC actually pre-dates the Stanford experiment (and resulting initiatives from that experiment such as Udacity, Coursera and edX) by several years. Learning is the creation and removal of connections between the entities, or the adjustment of the strengths of those connections. 1. 2. 3. 4. 5.

L'éthique des Moocs Parce qu'ils sont massifs et ouverts, les Moocs accueillent un très grand nombre de participants, dont quelques-uns seulement teminent le cours dans lequel ils sont inscrits, et obtiennent le certificat qui valide le succès à l'examen final. Dans la bataille que doivent mener depuis quinze ans les professionnels de la formation en ligne pour exister, le taux d'abandon constitue un argument massue, constamment brandi par les tenants du tout présentiel. Les commentateurs n'ont par exemple pas hésité à exploiter les résultats d'une récente enquête (voir ici l'article d'Alexandre Roberge à ce sujet), qui souligne que les formations à distance distribuées par les colleges américains accusent un taux de décrochage légèrement supérieur à celui des mêmes formations en présence (9 % contre 5,5 %), pour affirmer que la FAD n'était décidément pas une voie d'avenir. Bien faire et faire le bien - Les enseignants ont effectué ce travail bénévolement, sur leur temps personnel. J. J. Moins mais mieux

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