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L'article de Claude Reichman ________________________________________________________________ La Sécurité sociale est en concurrence ! Comme toutes les caisses de sécurité sociale, la Caisse des Français de l'Etranger est un organisme privé chargé d'un service public. Elle couvre les risques maladie, vieillesse, accidents du travail. Depuis son origine, en 1984, elle présente des comptes en équilibre. Sa brochure indique que "ne disposant d'aucun monopole et exerçant dans un contexte très concurrentiel, la Caisse des Français de l'Etranger est particulièrement attentive à la qualité du service rendu et à la courtoisie de l'accueil". Soyons tous des Français de l'étranger ! L'hôpital Johns Hopkins à Baltimore, un des plus reconnus au monde La moitié des Américains refusent d'être contraints par le gouvernement de souscrire une assurance maladie Assurance maladie : "l'exceptionnalisme américain" ! par Pierre Lemieux, Professeur associé à l'université du Québec en Outaouais Exclusif !

Je quitte la sécu ! Épisode 2 Après un premier épisode, reprenons la suite des aventures de Laurent pour quitter la sécurité sociale française et faire jouer sa liberté de s’assurer auprès de la compagnie qu’il veut. Par Laurent C. Avertissement aux lecteurs : cet article et les suivants ne sont pas une incitation à quitter la sécurité sociale, une telle démarche étant sanctionnée par la loi : « Le code de la sécurité sociale instaure désormais des sanctions lourdes contre toute personne qui incite les assurés sociaux à refuser de se conformer aux prescriptions de la législation de Sécurité sociale, et notamment de s’affilier à un organisme de Sécurité sociale ou de payer les cotisations et contributions dues : une peine de 6 mois de prison et/ou une amende d’un montant porté de 7500 à 15.000 € …». 2 février : ma nouvelle carte de « sécu » Au courrier ce matin une grosse enveloppe : ma nouvelle assurance-maladie avec ma nouvelle carte de Tiers Payant. J’ai encore 30 jours pour résilier ce contrat. Je réponds : À suivre…

Je quitte la Sécu ! Episode 3 Depuis trois semaines, Laurent C. nous raconte son parcours quotidien d’indépendant qui a décidé de quitter la sécurité sociale pour une assurance privée. Par Laurent C. Épisode 1 – Épisode 2 Étrange moment de calme cette semaine. Un peu comme Lost in translation. J’ai reçu un courrier du MLPS qui accuse réception de mon engagement dans le processus de sortie de la sécu et qui m’invite à lui transmettre tous les prochains courriers qui me seront adressés afin qu’ils puissent me fournir en retour les réponses précises à renvoyer. Je consacre donc cette semaine du 11 février à la mise en sécurité financière de mes actifs et à l’étude de quelques aspects réglementaires sur ce monopole illégal. Sujet 1 : Mise en sécurité financière Outre les menaces, l’arme préférée des monopoles illégaux est la saisie-arrêt sur les actifs bancaires. Comptablement je possède déjà un compte dédié à mes activités professionnelles. Concernant les autres types d’actifs, bonnes nouvelles : Concernant l’ URSSAF :

Je quitte la sécu ! Épisode 4 Depuis quatre semaines, Laurent C. nous fait le récit de son parcours quotidien d’indépendant qui a décidé de quitter la sécurité sociale pour une assurance privée. Cette semaine, il nous conte quelques tracasseries administratives.Par Laurent C. Les précédents épisodes : Épisode 1 – Épisode 2 - Épisode 3 Depuis le dernier épisode, toujours pas de réactions des monopoles illégaux, uniquement de la tracasserie administrative pour faire comprendre aux uns et aux autres le changement de situation. Rien de méchant mais une expérience particulièrement révélatrice de la désorganisation de ces organismes qui nous coûtent si cher. Ceci expliquant certainement cela. 1er courrier de l’URSS(AF). À la lecture il s’agit d’une réponse à ma demande d’arrêt du prélèvement automatique du 24/01. Plan d’action : 20/02 RAM (Sécu des professions libérales) Message 1 (en réponse à ma demande de radiation de mon épouse et des enfants) : Message 2 (en réponse à ma demande d’arrêt des prélèvements automatiques) :

Je quitte la sécu ! Episode 5 Depuis cinq semaines, Laurent C. nous fait le récit de son parcours quotidien d’indépendant qui a décidé de quitter la sécurité sociale pour une assurance privée. Par Laurent C. 1er mars 2013 : 1er jour hors de la sécu ! Ce n’est pas sans émotion que je vis mon premier jour hors sécu. Bien entendu rien n’a réellement changé entre hier et aujourd’hui mais c’est un peu quand on passe la majorité : on va toujours à l’école et on rentre le soir chez les parents mais il flotte néanmoins un parfum de liberté ponctué d’une once d’angoisse à se dire qu’on est maintenant officiellement responsable de soi-même. Une belle journée donc ! Seule ombre au tableau : l’obligation de faire adhérer mon aîné à une sécu étudiante. Là point de monopole, non, c’est un duopole que se partage la SMEREP et la LMDE. Précision : ces organismes qui se font appeler injustement « mutuelle » ne sont que des organismes de sécu pour les étudiants qui remboursent à l’identique de la SS nationale. Exemple 2 : Les « AGA »

Exclusif : Je quitte la Sécu, Episode 1 ! Laurent C. est travailleur indépendant. Lassé de ses relations avec la Sécurité sociale, il a décidé de la quitter et de souscrire à une assurance privée. Jour après jour, il vous raconte son parcours, les obstacles qu’il doit affronter, et livrera ses impressions quant au fonctionnement des assurances privées. Cet article est le premier épisode d’une (longue ?) Quitter la sécu ? Tout d’abord je me présente 45 ans, marié, 5 enfants de 12 à 18 ans, je suis associé fondateur d’un cabinet de conseil créé en 2006 fort d’une quinzaine de collaborateurs. Nous ne sommes pas mieux remboursé pour autant. Par principe moral j’ai quitté tous les monopoles (Télécom, Électricité, Gaz) dès que cela a été possible et pour l’assurance maladie les récentes augmentations de taux sur les charges sociales votées en 2012 et applicables au 1er janvier 2013 m’ont poussé à appliquer cette doctrine à la sécurité sociale. 21/01 : Démarrons l’aventure 1) Est-ce intéressant financièrement ? Le prix ? À suivre…

La sécu, est elle un monopole, chapitre n°2 | LeQuidamPost, le Média libre Mythe 1 : la Sécurité sociale est un acquis social plébiscité par tous les Français La réalité : La sécurité sociale fut élaborée par le (CNR), au sortir de la guerre. Elle est instaurée par un gouvernement provisoire non élu.Sorti d’un programme politique organisé par les communistes inféodés à l’URSS. Les professions agricoles, les salariés des régimes spéciaux n’y adhéreront pas. On peut parler en ce qui concerne la Sécurité sociale « d’abus de droit », puisqu’en en mai 1946, la proposition de Constitution de la IVe République est rejetée par référendum. Mythe 2 : la Sécurité sociale, c’est l’État L’organisation de la Sécurité sociale est par construction indépendante de l’État. Il n’y a pas en France d’assurance maladie étatique comme dans certains pays. Cependant, on peut parler d’étatisation rampante de l’assurance maladie durant ces dernières années. Mythe 3 : Grâce à la Sécurité sociale, le système de santé français est un des meilleurs au monde Ils sont parmi les plus bas d’Europe.

Le mensonge autour de la sécurité sociale (de 1986 à nos jours) Cette Belle Histoire commence en 1986 avec l’Acte Unique Européen qui prévoyait la libre circulation des personnes, des marchandises, des services et des capitaux à l’intérieur des Etats membres de la Communauté européenne. La libre installation des personnes était cependant, en pratique, gravement entravée par l’existence de monopoles concernant la protection sociale dans certains pays de la Communauté européenne … En effet, un grand nombre de citoyens communautaires bénéficiaient, dans leur pays d’origine où cela était possible, d’assurances maladie ou de retraites privées. Autrement dit, devant les inconvénients et les difficultés d’une installation dans un pays à monopole social, les citoyens communautaires risquaient fort de devoir y renoncer, faisant de tels pays des espaces interdits en pratique à la libre installation. Cette situation était évidemment inacceptable. M. Aucun gouvernement n’eut le courage de dire la vérité. Alors de quelle solidarité ? Alors solidaire de qui ?

Régimes sociaux : encore un effort et la faillite sera assurée Il est évident, pour les hommes politiques et les médias français, que la dépense publique est source de croissance. Avec 57% du PIB de dépense publique, la France devrait être le Tigre européen, le Dragon du vieux continent, le phénix des hôtes de la théorie keynésienne. Il n’en est rien, et la croissance est à peine positive malgré le biais qui comptabilise la dépense publique selon son montant plutôt que selon son inexistant prix de marché. Ce simple constat devrait suffire à inciter les représentants du peuple à réduire la dépense publique et à laisser interagir les citoyens sans interférence étatique. Mais ils ont, jusque-là, préféré nier l’évidence et assommer les Français de prélèvements, allant jusqu’à souhaiter les priver des 3/4 des fruits de leur travail. Mais il faut d’ores et déjà y réfléchir. 2,2 milliards de déficit, après tout, ce n’est pas grand chose – il y aura donc peu d’efforts à faire. D’autres pistes existent, ciblant, elles, les ménages aisés.

LA SECURITE SOCIALE MISE EN CONCURENCE La Sécurité sociale mise en concurrence « Chaque gouvernement a eu son projet de réforme de la Sécurité sociale ; ils ont tous échoué. Ce n’est pas un hasard, car c’est le principe qui est mauvais. Ce qui signifie que l’on mette un terme au monopole de la Sécurité sociale. » – Philippe Simonnot haque fois que l’État sort de ses attributions régaliennes pour prendre en charge des fonctions par nature mieux assurées par la société civile, des catastrophes s’ensuivent. La Sécurité sociale à la française, c’est une dette de plus de 130 milliards d’euros, des déficits renouvelés, des déremboursements continuels, des cotisations toujours en augmentation, des prix administrés, des retraites menacées, des abus incessants, des contraintes absurdes tant envers les professionnels qu’envers les prétendus « assurés sociaux ». C’est d’abord l’institutionnalisation de l’irresponsabilité, car l’assuré, ou plutôt le bien nommé « assujetti », n’a aucun choix : Texte libre de droits

Gabegie Appartement de Jacques Chirac : un cadeau à 700 000 euros depuis 2007 L'argent du pouvoir · 5 fév. 2013 à 06:54 · Mieux qu'une pension de retraite d'ancien président, un cadeau à un ancien président. Alors que Jacques Chirac perçoit près de 30 000 euros de retraites cumulées (ancien président, ancien député, ancien conseiller général, ancien maire), il est logé gratuitement depuis mai 2007 au 3, quai Voltaire, à Paris. Un cadeau de la famille Hariri, du nom de l'ancien premier ministre libanais, proche de Chirac. Et c'est un beau cadeau : selon les calculs du Canard enchaîné effectués en 2009, l'actuel titulaire du bail paierait un loyer de 10 000 euros par mois. 70 mois plus tard, ce qui ne devait être que du provisoire est en train de devenir le cadeau le plus cher reçu par un ancien président : 700 000 euros de loyer ! Avec une question centrale : pourquoi Jacques Chirac bénéficie-t-il de telles largesses ? Un appartement de 396 m² qui n'avait jamais été occupé auparavant Un loyer de 10 000 euros par mois... depuis 70 mois *** Sources - E.

Restauration : le self-service gratuit des ministères Pour être performant, il faut du carburant. Dans les ministères, de grands chefs cuisiniers concoctent quotidiennement des mets savoureux pour ministres et conseillers. Dans les grands ministères comme celui de l'Intérieur, entre 50 et 100 repas peuvent être servis chaque jour. Episode 12 : Une addition salée pour le contribuable Politique.net propose une série sur l'argent du pouvoir en 30 épisodes : Quels sont les avantages des collaborateurs des ministères ? Des cuisiniers de la République formés dans les grands restaurants Tous les anciens responsables politiques de premier plan qui ont goutté aux joies du pouvoir sont unanimes : bien manger fait partie des privilèges des hôtes des palais de la République. La surcharge pondérale guette les collaborateurs et les ministres Interrogé par un journaliste du Point, un ancien collaborateur de Pascal Clément, prédécesseur de Rachida Dati au ministère de la Justice, explique qu'il a pris plus de 5kg en quelques mois.

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