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L'Amour courtois

L'Amour courtois

L'Amour Courtois L'Amour Courtois amour courtois Les chateaux forts Histoire - Cinquième Les châteaux au Moyen-Age Pourquoi appelle-t-on les châteaux du Moyen Age des "châteaux forts" ? Le nom de "château fort" est apparu lorsque les châteaux ont cessé d'être utilisés comme des moyens de défense. Dès lors, du point de vue des heureux locataires d'un château "moderne", il était nécessaire d'ajouter un épithète au mot château pour désigner ceux, plus solides et moins élégants du Moyen Age : le mot "fort" était tout désigné ! A quoi sert un château ? Pendant le Moyen Age, l'insécurité règne. En temps normal, le château fort sert à loger le seigneur, sa famille, ses chevaliers vassaux, ses hommes d'armes et ses serviteurs. En temps de guerre, le château peut abriter les gens qui vivent autour du château comme les familles des hommes d'armes ou des serviteurs, les paysans des alentours, qui fuient les envahisseurs. Les mots du château : > Passez la souris sur le dessin de ce château fort, afin de lire les noms des différents éléments qui le composent. Retour

chevalerie de chevalier Institution militaire féodale qui rassemblait les combattants à cheval, puis les nobles, et à laquelle on accédait par la cérémonie de l'adoubement ; corps des chevaliers, cavalerie noble. La chevalerie est apparue en Occident, à la fin du xe siècle, comme une catégorie sociale rassemblant les spécialistes du combat à cheval. Les contours juridiques de la chevalerie se sont précisés peu à peu ; son prestige s'est accru, au point qu'elle s'est confondue, à des époques diverses selon les pays, avec la noblesse. Elle forme alors une caste héréditaire qui obéit aux prescriptions d'une morale spécifique que véhicule la littérature courtoise et épique. Origines de la chevalerie Les ordres antiques En Grèce, et à Athènes en particulier, les hippeis – terme que l'on peut traduire indifféremment par cavaliers ou chevaliers – sont des citoyens assez riches pour pouvoir entretenir et équiper, à leurs frais, un cheval de guerre. Les cavaliers carolingiens La constitution d'un ordre Le chevalier L'écuyer

Les Tournois - Où ? Les tournois ne sont pas pratiqués partout, loin de là. Ils sont par exemple très longtemps interdits en Angleterre, de fait, tel chevalier " angle " qui veut s'y adonner est obligé de traverser la Manche. Le terre de prédilection pour les tournois est résolument le royaume de France. Mais à l'intérieur de ce dernier, on est frappé aussi par le fait que les tournois ne se déroulent pas n'importe où. On tournoie plus souvent qu'on ne le pense. - Qui ? Ceux qui tournoient appartiennent évidemment à la société " aristocratique " qui guerroie. Les participants viennent de tous les horizons du royaume de France. - Déroulement : Chaque tournois est en général annoncé 15 jours avant. - Le 1er jour sont les préparatifs, les arrivés et la formation des groupes. Arrivent les participants, jeunes chevaliers errants ou bacheliers, cadets, grands seigneurs accompagnés de leur " maison ", entendez, de leurs vassaux. Une fois les groupes formés, on les rassemble en deux camps.

L'amour courtois I) Qu'est-ce que l'amour courtois ? : Venant de l'expression « la fin'amor », l'amour courtois est une relation entre l'homme et la femme de bonne société, au Moyen-âge. C'est un amour réservé aux nobles datant de l'époque médiévale, où un coup de foudre se produit entre deux personnes de haut rang, ils ne vivent que l'un pour l'autre. Mais leur amour doit rester secret sous peine de très lourdes conséquences et cet amour perdura tout au long de leur vie. Dans cet amour idéalisé, on confère à la femme une certaine vénération par sa beauté d'où l'expression : « de la beauté naît l'amour » et l'homme essaye de la conquérir en prouvant sa bravoure et son courage lors de combats (tournois) ou alors en effectuant des exploits mais aussi par des vers, des poésies qui vont impressionner et charmer la dame en question qui pourtant semble toujours inaccessible. Une dame encourageant un chevalier avant un tournoi en lui donnant des fleurs : Suite: II) Les romans courtois : Lancelot et Guenièvre :

amour courtois: amour partagé par des nobles au Légendes médiévales: Arthur Le roi Arthur est le héros de nombreuses légendes arthuriennes et de romans de chevalerie depuis le moyen-âge. Roi Arthur par Innocenti Chef militaire des Bretons (Britons), il lutta contre l'envahisseur saxon vers l'an 500. Devenu légendaire, il représente le roi idéal venu rétablir dans leur puissance les Bretons divisés. Chantée par les bardes gallois puis par divers auteurs de chroniques (Nennius, Geoffrey de Monmouth), sa geste fut développée par Wace puis par Chrétien de Troyes qui en fit un portrait moins avantageux que celui de la légende. Arthur est le fils du roi Uther Pendragon et de la duchesse Ygraine de Cornouailles. Merlin emportant Arthur par N.C. Quelques mois plus tard la reine accoucha d'un fils qui sera confié dès sa naissance à Merlin selon le pacte qui avait été conclu. Même avec l'appui de Merlin, le tout jeune roi eut du mal à asseoir son pouvoir à cause de la rebellion de certains seigneurs qui ne reconnaissaient pas sa légitimité. Arthur soulèvant l'épée

Chevaliers de la Table Ronde Les Chevaliers de la Table Ronde La Table Ronde est un point essentiel des légendes arthuriennes, elles-mêmes issues de la mythologie celtique. Ces légendes sont basées sur une tradition orale, historiquement transmise par les bardes, puis, répertoriées au Moyen-Âge par un certain nombre de monastères. C’est de cette source que nous proviennent les chansons de geste, ainsi que des romans, comme ceux de Chrétien de Troyes. Selon les légendes, la fameuse Table Ronde se situait au château de Camelot, à la cour du roi Arthur, dont le royaume s’étendait alors sur les deux Bretagne. La Table Ronde a une forme peu fréquente au Moyen-Âge où, le plus souvent, les tables étaient faites de grandes planches rectangulaires posées sur des tréteaux qu'on installait pour les repas. Les différents chevaliers appelés à s'asseoir à cette Table furent vite identifiés, sauf un. Le nombre et les noms des Chevaliers de la Table Ronde changent suivant les textes.

littérature et amour courtois ancien français court cour princière Étymologiquement, le terme « courtois » fait référence à la cour (de l’ancien français cort). En vieux français, le mot corteis prend le sens d'« honnête », « loyal ». Par ailleurs, ce qui est courtois s'oppose à ce qui est « vilain », c'est-à-dire le monde rude et grossier du paysan. Enfin, la notion de courtoisie renvoie à un ensemble de valeurs, de règles de savoir-vivre et surtout à une conception bien particulière de l'amour, car nul ne peut être parfaitement courtois sans aimer. L'amour courtois L’amour courtois est une conception de l'amour d'un homme pour une femme qui est née au xiie s., dans le midi de la France, avec les troubadours occitans, et qui s'est éteinte dans la seconde moitié du xiiie s. Amour courtois et fin’amor La fin'amor (« amour parfait ») désigne plus précisément une religion de l'amour. Une conception de l'amour issue du modèle féodal : la dame suzeraine La relation amoureuse est régie par un véritable code du « savoir aimer ». La littérature courtoise La tenso

Site(s) Légende de la Table Ronde La légende du roi Arthur Dans le roman de Cligès, Chrétien de Troyes fait un éloge appuyé de la cour d'Arthur en inventant un personnage, le jeune Alexandre, fils de l’empereur de Grèce, qui demande à son père de le laisser aller en Occident au service d’Arthur "en terre étrangère pour voir le roi et les barons dont le renom de courtoisie et de prouesse est si grand" [vv. 138-141]. Le jeune homme ne veut pas devenir chevalier dans son pays, mais auprès d’Arthur afin de faire partie de la plus célèbre chevalerie du monde. Ainsi des chevaliers venus de tous pays, attirés par la largesse du souverain et la gloire de sa cour, se rassemblent autour d'Arthur, à la recherche d’un idéal chevaleresque inégalé. Car la figure même d'Arthur, roi conquérant issu des récits celtiques, participe de l’idéal chevaleresque. Les chevaliers de la Table ronde Dans l'imaginaire du Moyen Âge, les chevaliers de la Table ronde portent en eux toute une part de rêves et de légendes. La Table ronde : un idéal chevaleresque

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