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Critiquer (vraiment) Facebook

Critiquer (vraiment) Facebook
Facebook est le miroir de nos ambivalences. Et il serait sans doute utile d’être plus lucide à l’égard de nos propres pratiques si l’on voulait rendre cohérentes les multiples critiques que nous adressons aux réseaux sociaux de l’Internet. Un paradoxe, en effet, ne cesse de traverser notre rapport aux nouveaux mondes numériques. Nos représentations et nos pratiques ne sont pas simplement désajustées. Elles font le grand écart. Nous nous méfions, et ceci de plus en plus, des risques relatifs à la capture de nos données personnelles par les grands acteurs commerciaux du web, mais nous continuons toutefois à nous exposer sans grand scrupule. De la quête d'authenticité à l'auto-observation Nous sommes en quête d’expériences authentiques, mais pour les vivre, nous nous auto-observons afin d’en faire le récit sur les réseaux sociaux de l’Internet. Ces critiques, le plus souvent, nous les destinons aux autres. La multiplication des discours critiques, sans effet sur les comportements

Le Chiffre du Jour: La masse monétaire US a triplé en cinq ans sans effet sur l’économie réelle Le Chiffre du Jour: La masse monétaire US a triplé en cinq ans sans effet sur l’économie réelle Suite à la crise de 2008, celle dont les financiers attribuent volontiers la cause à l’explosion de la bulle des crédits la Réserve fédérale américaine à procéder à Impression de monnaie à gogo (impression de 85 milliards de dollars chaque mois ainsi que plusieurs injections de monnaie fraîche lors du «Quantitative Easing» I et II (presque 3000 milliards), de l’historiquement jamais vu, et à une baisse drastique des taux d’intérêts dans le but de relancer la machine économique. Conséquence, la masse monétaire aux Etats-Unis aura triplé sur la période 2008-2013 et atteint désormais les 4 billions de dollars. A titre de comparaison, avant la crise financière de 2008, celui-ci ne dépassait pas 900 millions. Il est judicieux de faire la distinction entre M0 et M2 qui sont pour rappel des notions de comptabilité nationale. Like this: J'aime chargement… Tags:Fed, M0, masse monétaire, The Wolf

Inciter les apprenants à trouver leurs propres réponses. Par Jacques Rodet Les apprenants à distance ont besoin du soutien de tuteurs à distance pour persévérer et atteindre leurs objectifs. Toutefois, les tuteurs ont à prendre garde de ne pas rendre les apprenants dépendants d'eux. Cette dépendance peut facilement être créée dès lors que les tuteurs apportent systématiquement des réponses aux apprenants sans les amener à essayer de les trouver par eux-mêmes. Les principes de la maïeutique socratique apportent un certain nombre de pistes à explorer. Il est également possible de prévoir un cheminement préalable pour les apprenants avant qu'ils sollicitent leurs tuteurs. Situer en une phrase votre difficultéExpliquer en quelques lignes votre difficultéQuelles sont les causes qui font que vous êtes face à cette difficulté ? Dans de très nombreux cas, l'apprenant trouve ainsi, par lui-même, les moyens de solutionner sa difficulté.

Even Google won't be around for ever, let alone Facebook Some years ago, when the Google Books project, which aims to digitise all of the world's printed books, was getting under way, the two co-founders of Google were having a meeting with the librarian of one of the universities that had signed up for the plan. At one point in the conversation, the Google boys noticed that their collaborator had suddenly gone rather quiet. One of them asked him what was the matter. "Well", he replied, "I'm wondering what happens to all this stuff when Google no longer exists." Recounting the conversation to me later, he said: "I've never seen two young people looking so stunned: the idea that Google might not exist one day had never crossed their minds." And yet, of course, the librarian was right. Compared with my librarian friend, we have the attention span of newts. At one level, all this proves is that in the technology world one can go from zero to hero is a very short time. Which is where "stickiness" comes in.

Facebook, miroir magique, par Philippe Rivière Il y a quelques jours Facebook m’a demandé de changer de nom. Non pas que je m’étais choisi un pseudonyme ordurier, incitant à la haine raciale ou usurpant celui du tout-puissant Mark Zuckerberg (le patron, fondateur et principal actionnaire de ce site Internet), voire similaire à une marque déposée. Mais je m’étais inventé un patronyme composé de caractères braille. Les ingénieurs du site californien avaient soudain décidé que cela n’était plus typographiquement correct. A l’inscription, Facebook avait validé mon existence en vérifiant un code secret envoyé sur mon téléphone. Policée en permanence par des algorithmes, en vertu de conditions d’utilisation que personne ne lit, la page bleue de Facebook offre un cocon douillet à ses membres, qui peuvent s’y connecter pour discuter sans se voir envahis de messages parasites. Taille de l’article complet : 1 472 mots. Vous êtes abonné(e) ? Connectez-vous pour accéder en ligne aux articles du journal. Vous n'êtes pas abonné(e) ?

L’Histoire économique de Facebook Aujourd’hui nous allons décidé de publier un article retraçant les grandes dates de Facebook mais d’un point de vue purement économique. Toutfacebook.fr a vu le jour en ce début 2011, on a juste quelques années de retard C’est pour rattraper ce retard que l’on souhaite réaliser un billet qui retrace » l’ historique économique » de Facebook. Comme vous le savez surement, Mark Zuckerberg créa le phénomène Facebook en février 2004 , le début est assez calme en termes de gros chiffres et c’est seulement en mai 2005 que Thefacebook lève 12,8 millions de dollars de la part d’Accel Partners. Août 2005: Thefacebook décide de rendre son nom plus mémorisable et rachète le nom de domaine www.facebook.com pour 200 000 dollars! La mauvaise affaire de Yahoo… En juillet 2006, Marck Zuckerberg accepte oralement de vendre son bébé à Yahoo pour 1 milliard de dollars , mais au dernier moment, le président de yahoo (Terry Semel) tente un coup de poker, il revoit son offre à la baisse et propose 800 millions.

Le blog A Lupus un regard hagard sur Lécocomics et ses finances Qu'est-ce que le connectivisme ? Les théories et les modèles de l'apprentissage se suivent et ne se ressemblent pas forcément; chacun présente une approche spécifique avec ses avantages et ses limites et on n'a pas toujours intérêt à adopter inconditionnellement l'une ou l'autre de ces approches. Le modèle transmissif où l'enseignant est le détenteur du savoir et s'évertue à le transmettre à un apprenant qui aspire à correspondre à un modèle a vu ses beaux jours décliner quoiqu'il soit encore appliqué dans des bastions réfractaires tels que certains espaces universitaires traditionnels (et les xMoocs). Le béhaviorisme, avec le balisage de l'apprentissage du plus simple au plus complexe avec force renforcements, positifs et/ou négatifs, des informations fournies juste à temps à l'apprenant et les remédiations pertinentes qui récupèrent tout retardataire vivra encore de très beaux jours et amènera des réussites ponctuelles satisfaisantes. Toutes ces approches correspondent à des pratiques courantes dans l'apprentissage.

Social Envy - Study Finds Facebook Causes Depression And Isolation BERLIN - Social networks like Facebook make many things easier. You can find out right away if Alex got the job or not, and you can not only read about Marie’s vacation, but you can also see all those pictures of her on the beach, too. There’s also a downside to this. The question, of course, poses itself: are lonely people more drawn to social networks – or does constant surfing result in loneliness over time? While it wasn’t able to answer the question conclusively, a joint research study conducted by Berlin’s Humboldt University and the Darmstadt’s Technical University did however reveal that spending time on social networks could lead to negative feelings. The German researchers, led by Dr. People who communicate relatively infrequently but read the posts of friends and click through their pictures tend to be less satisfied with their own life, according to the researchers. The never-ending “envy spiral”

Facebook, nouvelle porte d'entrée dans l'adolescence Deux tiers des 11-13 ans ont un profil. Et doivent apprendre, à peine sortis de l'enfance, à gérer une seconde identité. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Pascale Krémer Il est le dénominateur commun d'une génération. 93 % des 15-17 ans et 81 % des 13-15 ans disposent d'un compte sur le réseau social Facebook. Les deux tiers des 11-13 ans détiennent un "profil", en dépit d'un âge minimum officiellement fixé à 13 ans par l'opérateur. Quid des autres réseaux sociaux ? L'inscription sur Facebook vaut désormais marqueur d'avancée en âge, rite d'initiation à l'adolescence. Entrée facilitée en adolescence, donc… Et aussi plate-forme d'entraide pour les devoirs. Xavier Pommereau, psychiatre en charge du pôle adolescents du CHU de Bordeaux, connaît bien "ces enfants de l'image qui se construisent à travers elle". Une notion jusque-là plutôt réservée à la culture anglo-saxone s'impose : la "popularité". Cinq ou 6 % ont subi un cyber-harcèlement plus continu.

Facebook : histoire d’un réseau d’étudiants pas comme les autres Jeune hyperconnecté et asocial Personne passionnée. Dans la bouche de ceux qui l’utilisent, le terme «geek» marque souvent un retrait voire une rupture avec les usages et les usagers du numérique. Poudre aux yeux ? Bourdonnement du web visant à faire (beaucoup) de bruit sur peu de temps. Le double risque : en plus d’être difficile à contrôler, «faire du buzz» n’est pas une fin en soi Communiquer sur les médias sociaux c’est parler de moi Animer ses médias sociaux c’est avant tout répondre aux attentes de son public.

Very Bad Consumer

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