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Effondrement du système bancaire : le compte à rebours vient de commencer

Effondrement du système bancaire : le compte à rebours vient de commencer
A moins de ne plus jamais avoir besoin de crédit ou de découvert ou se faire un capital (retraite etc ;..) et donc de revenir aux vieilles méthodes (« bas de laine ») et donc d’accepter de différer ses achats (maison, voiture etc...) d’accepter aussi que son argent ainsi économisé se dévalue (quoique maintenant, les taux d’intérêts versés aux épargnants ne sont vraiment plus indexés sur le coût réel de la vie) que, même dans une banque éthique, tout placement comporte un risque. Nous ne sommes pas au bout de nos peines.. car la plupart des banques en plus d’investissements dans des entreprises, de prêts aux particuliers, rachètent de la dette à très haut risque... A certaines, elle est imposée... Donc le système qui était déjà à la base fragile bien que reposant sur des garanties (hypothèques par exemples), l’est devenu encore plus lorsque ces mêmes garanties étaient surévaluées (crise des subprimes).. Par compte, là ou le bât blesse c’est au niveau des comptes courants..

Marché: Goldman Sachs penche pour les actions. « La progression des marchés d’actions l’année dernière ne s’est pas expliquée par une progression des résultats d’entreprises, mais par un mécanisme de remontée des valorisations boursières. Cette année, la hausse des marchés d’actions devrait être alimentée par une amélioration des résultats des sociétés », a déclaré vendredi Peter Oppenheimer, le directeur de la stratégie actions de la banque d’affaires américaine, à l’occasion d’une conférence à Paris. Goldman Sachs s’attend à ce que les sociétés appartenant à l’indice paneuropéen STOXX 600 voient leurs résultats progresser d’en moyenne 9% en 2013, puis de 12% en 2014. Dans cette optique, Peter Oppenheimer conseille aux investisseurs de faire l’acquisition de valeurs fortement exposées à l’ international , et en particulier au secteur de la consommation dans les pays émergents. Plus globalement, Goldman Sachs explique avoir adopté un point de vue « plus optimiste » sur l’économie globale. Source : CercleFinance

Les idées fausses, ça suffit ! ATD Quart Monde vous offre un an d’abonnement à Feuille de Route, le mensuel d’actualités contre la misère. Pour bénéficier de cet abonnement d’un an, cliquez ici Commandez le livre "En finir avec les idées reçues sur les pauvres et la pauvreté" Nous vous invitons à déconstruire des préjugés et des stéréotypes répandus sur la pauvreté et les pauvres, afin que ceux-ci cessent d’être les boucs émissaires des maux de nos sociétés et qu’ils deviennent au contraire des partenaires à part entière dans la construction d’un monde plus juste. Voici quelques-unes de ces idées reçues. Travail réalisé par ATD Quart Monde et la MRIE, Mission Régionale d’Information sur l’Exclusion en Rhône-Alpes. 1) Sur la pauvreté en général « Les pauvres coûtent cher à la société » Oui, et plus que l’on ne pense (et ils rapportent aussi !). 2) Sur les minima sociaux « La France distribue des minima sociaux élevés. » Faux. « Il n’y a pas assez d’argent dans les caisses pour augmenter les minima sociaux » Faux. Faux. Faux.

Premières arrestations dans le scandale du Libor Concernant le scandale du Libor, Bruxelles s’apprête à accuser plusieurs banques de collusion dans la fixation du taux interbancaire de la zone euro. | AFP/JOHANNES EISELE Les trois prévenus sont Tom Hayes, ancien trader d’UBS et de Citigroup, ainsi que deux de ses relations d’affaires, Terry Farr et Jim Gilmour, ex-courtiers de la charge RP Martin. Lentement et inexorablement, l’enquête, à laquelle participent au moins dix autorités nationales et internationales de surveillance, et qui vise non seulement le Libor mais aussi son cousin de la zone euro, l’Euribor, tourne au cauchemar de la profession bancaire. C’est à la suite d’une enquête ouverte, en octobre 2008, par la Commodity Futures Trading Commission (CFTC), la tutelle américaine sur les marchés à terme, que le scandale a éclaté. Le Libor est l’étalon pour les 350 000 milliards de dollars (269 400 milliards d’euros) de produits financiers qui s’échangent chaque jour. Source : Le Monde

Zoom sur l'entrepreneuriat social L'entrepreneuriat social est un concept récent. Apparu dans les années 1990 en Europe et aux Etats-Unis, il désigne toute entreprise dont la vocation consiste à conjuguer efficacité économique et finalité sociale. Cependant, la compréhension de l'entrepreneuriat social diffère quelque peu de chaque côté de l'Atlantique. Reconnaître une entreprise sociale Le réseau de recherche européen sur l'entrepreneuriat social, l'EMES (Emergence of Social Enterprises, littéralement « émergence des entreprises sociales »), a établi quatre critères transverses de reconnaissance d'une entreprise sociale : une activité continue de production de bien et/ou de services un degré d'autonomie élevé un niveau de prise de risque économique significatif au moins un emploi rémunéré Ces critères sont assortis de cinq indicateurs, qui attestent de la dimension sociale de l'entreprise : Des structures et des activités variées Dans le champ de l'entrepreneuriat social se retrouvent des sociétés de formes variées.

Bon début d’année pour les banques canadiennes Les banques canadiennes ont amorcé l’exercice 2013 en force. La Scotia a dégagé un bénéfice net de 1,63 milliard après trois mois, gonflant le total des six grandes banques à 7,69 milliards. Les six plus grandes banques selon l’actif ont cumulé un bénéfice net de 7,69 milliards au terme du premier trimestre clos le 31 janvier 2013, en hausse de 8,9 % par rapport à celui de 7,06 milliards du trimestre correspondant de 2012. Dernière des six grandes à dévoiler ses résultats, la Scotia a comptabilisé un bénéfice net de 1,63 milliard après trois mois, en hausse de 13,2 % sur celui de 1,44 milliard du trimestre correspondant de 2012. « Nous connaissons un excellent début d’exercice, s’est réjoui le chef de la direction, Rick Waugh. La dotation pour pertes sur créances s’est chiffrée à 310 millions au premier trimestre, en hausse de 45 millions sur un an.

Les CCI s’investissent dans l’économie sociale et solidaire Publié le 26/07/13 dans les actualités | Générale La première réunion de la Commission régionale de l’Economie Sociale et Solidaire vient de se tenir à la CCI de Région. En effet, les CCI du Languedoc-Roussillon, et c’est assez rare pour être signalé, ont décidé de s’investir dans ce pan de l’activité qu’est l’ESS(Economie Sociale et Solidaire). C’est Andréa DIAZ-GONZALEZ, élue de la CCI de Perpignan et elle même chef de plusieurs entreprises de l’ESS, qui a présidé cette réunion qui rassemblait des élus et des collaborateurs de l’ensemble du réseau consulaire. Plusieurs axes de travail et plan d’actions ont été arrêtés : Ainsi les Chambres de Commerce et d’Industrie accompagnent-elles les différents aspects de l’économie locale.

Actionnaires des Agences de notation Qui sont les actionnaires des AGENCES DE NOTATIONS ?? Je la reproduis telle quelle : un festival de participations croisées , entre majors financiers américains et leur presse .. … A ce niveau , on ne peut plus parler de conflits d’intérêts et encore moins d’entente .. Ce sont les mêmes qui actionnent toutes les ficelles , Petit parcours dans les labyrinthes des 3 agences de notation et de qui les détient en réalité (pas simple de retouver les infos, il faut fouiller)… *********1) MOODY’s fr.finance.yahoo.com/q/ mh? Actionnaires principaux: Actions % valeur date BERKSHIRE HATHAWAY, INC 28 415 250 12,42 1 089 724 837 30 juin 2011 Capital World Investors 27 555 000 12,05 1 056 734 250 30 juin 2011 VANGUARD GROUP, INC. BERKSHIRE HATHAWAY est la société de… Warren Buffett. wiki/ Capital_Group_Companies Pour la petite histoire de Moody’s et de la Grèce: « Dégradation de la note de la Grèce en 1931 (DEJA!) source wiki/Moody’s Frank A.

Innovation sociétale: comment concilier travail et solidarité en entreprise Carrière ou engagement solidaire? De plus en plus de salariés refusent de choisir. A tous les niveaux de l'entreprise, la soif de sens au travail se fait sentir, souligne André Sobczak, directeur de recherche à l'école de commerce Audencia. Les moyens d'action existent. En voici trois. 1. Il permet aux salariés de mettre leurs expertises professionnelles ou personnelles au service de causes et d'associations. Mettre à jour la comptabilité d'Handibot, un programme de robot-peintre pour personnes handicapées, rechercher des artisans retraités pour l'Outil en main, association initiant les 9-14 ans aux métiers manuels... De façon plus large, le mécénat de compétences permet aux collaborateurs d'offrir leurs savoir-faire professionnels ou personnels à des causes d'intérêt général, "sans aucune perte de rémunération et sur leur temps de travail", relève Jean-Michel Pasquier, fondateur de Koeo, plate-forme dédiée à cette pratique. 2. 3. "Arrête de râler et bouge-toi!"

Subprime : le ministère de la justice américain abandonne les poursuites contre Goldman Sachs Carl Levin, le démocrate du Michigan qui préside la commission sénatoriale en charge de l’enquête, avait demandé l’an dernier à ce que le ministère de la justice se penche sur la question suite à l’enquête du Sénat. M. Levin et d’autres responsables américains avaient accusé la banque de tromper les investisseurs sur les offres hypothécaires, dont le tristement célèbre « Abacus ». Las, le DoJ (Department of Justice) a déclaré dans un communiqué publié jeudi 9 août au soir : Après l’annonce du DoJ, Goldman Sachs s’est félicité : Fabrice Tourre, le trader français de Goldman, qui se trouve au cœur du scandale Abacus, fait en revanche toujours l’objet d’une plainte civile auprès de la SEC, le régulateur des marchés boursiers outre-Atlantique. Source : le monde

développement durable en entreprise Notre association accompagne depuis 2006 des entreprises régionales, par le repérage, la promotion et la valorisation des bonnes pratiques managériales, environnementales et économiques. Petits-déjeuners thématiques, actions collectives, promotion des pratiques d’achats responsables, bien-être en entreprise, trophées du Développement Durable sont autant de travaux que nous engageons collectivement dans un souci de progression du tissu économique, de responsabilité sociétale et de recherche de performances. GRANDDE association loi 1901 | siège : c/o EANA Parc de l’Abbaye 76210 Gruchet le Valasse webmaistre | informations légales | accueil | un site Tout pour le Mieux, moteur Voxalia La leçon de la crise financière: ‘l’Islande a fait ce qu’il fallait faire, contrairement aux autres pays’ L’Islande a fait ce qu’il fallait faire, contrairement aux autres pays, affirment en chœur des économistes de premier plan. Joseph Stiglitz, l’économiste américain détenteur du prix Nobel, souligne qu’elle a choisi judicieusement de ne pas faire subir les conséquences des erreurs de son secteur financier aux générations futures (les dettes des banques représentaient 209 milliards de dollars, soit plus de 10 fois la valeur du PIB islandais, lorsqu’elles ont déposé le bilan). Paul Krugman, l’économiste néo-keynésien également détenteur du Prix Nobel, approuve lui aussi la méthode islandaise. «Quelque chose de curieux s’est produit sur le chemin de l’Armageddon financier: l’extrême désespoir de l’Islande a empêché tout comportement conventionnel, ce qui a libéré la nation du respect des règles habituelles. L’Islande a laissé le processus d’échec capitaliste suivre son cours normal, et les banques qui n’étaient plus viables ont fait faillite. Source : Express.be

Oubliez le développement durable et l’économie verte, voici l’économie circulaire Tribune On a eu le recyclage, le développement durable, l’économie verte, l’écologie industrielle, le « Green New Deal »... Voici venir l’économie circulaire. C’est le mot à la mode. C’est l’un des cinq thèmes de la deuxième conférence environnementale, organisée par le gouvernement ces 20 et 21 septembre. Si le mot paraît nouveau, le concept est ancien. Making of Eugène Bin est un pseudonyme. L’économie circulaire consiste à assurer une utilisation optimum des ressources en réduisant les besoins et en réintégrant les déchets dans des boucles : celle de la réutilisation (réparer ou reconditionner un objet plutôt que le jeter) ; celle du recyclage (récupérer la matière). L’idée est de recréer de la valeur avec les déchets, donc de l’activité et des emplois, généralement de proximité. La grande, la moyenne et la petite boucle On le dit souvent, les déchets ne sont que la partie émergée d’un iceberg de richesses gaspillées. La grande boucle consiste à préserver le plus possible le produit.

Le "Non" des Islandais est légal Une cour de justice européenne a donné raison à l’Islande, qui n’aura pas à rembourser les dettes de la banque Icesave. Par référendum, en 2010, les citoyens avaient refusé d’être rançonnés. Après la voix du peuple, celle des juges. À deux reprises, les citoyens islandais avaient refusé par référendum de rembourser sur deniers publics les dettes de la banque en ligne Icesave, en faillite. La Cour de justice de l’Association de libre-échange européenne (Efta) vient de leur donner raison. Ce n’est pas à l’Islande de rembourser les 300 000 clients néerlandais et britanniques d’Icesave, filiale, alors, de la deuxième banque du pays, Landsbanki, elle aussi en faillite. Après la faillite d’Icesave en 2008, le Royaume-Uni et les Pays-Bas ont remboursé leurs citoyens épargnants. En vertu de la législation européenne, chaque pays doit créer un fonds de garantie des dépôts à même d’indemniser les épargnants d’une banque en faillite à hauteur de 20 000 euros. Gaël De Santis

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