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149 questions-réponses sur l'activité des artistes plasticiens

149 questions-réponses sur l'activité des artistes plasticiens

La conquête citoyenne des fruits | La ville résiliente PORTRAIT. La ville comestible n’est plus une utopie. Avec son projet « Vergers urbains », un réseau de pionniers plante dans tout Paris et voit plus grand. Source : L’agriculture plante sa graine en ville. Micro-forêt comestible À une centaine de mètres de là, le QG de Ville comestible et Toits vivants est empli de pots où germent des plantes, de sacs de terre et d’outils de jardinage. Lancé il y a deux ans de manière informelle, le projet met en réseau paysagistes, urbanistes, jardiniers, artistes, animateurs sociaux, acteurs issus des villes en transition ou de la permaculture. « Les fruits vont salir les trottoirs » Ses premiers soutiens sont les habitants qui cherchent à transformer leurs espaces communs. « Ils viennent nous voir directement, raconte Sébastien Goelzer, ou passent par les équipes de développement local dans le cadre des quartiers politique de la ville. Une ceinture vivrière pour le Grand Paris

140 aides privées et publiques en faveur des artistes 140 aides privées et publiques en faveur des artistes dresse un état des lieux de l’offre de soutien aux artistes en France. L’ouvrage est publié par le Centre national des arts plastiques (CNAP) dans la collection des Guides de l’art contemporain. Cet outil d'information recense les différents programmes d’aides à la création organisés par les acteurs privés et publics. Cette publication propose un répertoire de prix, concours, bourses et manifestations, permettant aux artistes d’accéder facilement à une information précise et centralisée des différents soutiens existants et de leurs modalités respectives pour en bénéficier. Des entretiens réalisés auprès de plusieurs structures organisatrices, ainsi qu’un glossaire, complètent le répertoire et apportent un éclairage supplémentaire sur les objectifs des structures qui y sont présentées.

Droit d’auteur Le droit de suite (art. L.122-8 du CPI) désigne le droit, pour l’auteur d’une œuvre d’art originale ou ses héritiers de percevoir un pourcentage du prix obtenu pour toute revente de leurs œuvres effectuée par des professionnels du marché de l’art (maisons de ventes, galeries, antiquaires, encadreurs, etc. Sont exclues les transactions entre particuliers, mais aussi les ventes d’un particulier à un musée. Ce droit a été institué en France par la loi du 20 mai 1920 pour les ventes publiques et repris par la loi du 11 mars 1957 sur le droit d’auteur qui l’a harmonisé à 3% pour toutes les reventes y compris celles des galeries d’art. La directive européenne 2001/84/CE du 27 septembre 2001, qui uniformise le droit de suite à l’ensemble des pays de l'Union européenne, a été transposée en droit interne par la loi du 1er janvier 2006. Dernière mise à jour le 11 juill. 2017

Yulia donne vie à de somptueuses réalisations colorées à l’aide de simples feuilles de papier Vous n’imaginez pas tout ce qu’on peut faire avec du papier. Cette artiste russe réalise notamment de somptueuses créations en couleurs uniquement avec des feuilles de papier. DGS vous présente une sélection de ses plus belles réalisations ! Yulia Brodskaya est une jeune artiste russe qui a commencé sa carrière en tant que designer graphique. Les créations de Yulia sont bluffantes : aucun détail n’est laissé au hasard !

Vers un épuisement des droits d’auteur sur Internet ? Dans son ordonnance du 21/10/2014, la CJCE considère que les ayants droits d'une œuvre qui ont consenti à sa mise en ligne sur le Net et à sa libre visualisation par les internautes, ne peuvent s’opposer, sur le fondement des droits d’auteur, à ce qu’un tiers insère cette œuvre sur son propre site en utilisant la technique du « framing ». Saisie de l’affaire par la Cour Fédérale de Justice Allemande, la CJUE considère, dans son ordonnance du 21 octobre 2014, que l’insertion sur un site, via la technique du framing, d’une œuvre déjà librement disponible sur internet ne peut être qualifiée de « communication au public » au sens de la Directive 2001/29/CE du 22 mai 2001 sur les droits d’auteur et droits voisins dans la société de l’information. L’ordonnance du 21 octobre 2014 se contente d’appliquer ce critère du public nouveau aux faits de l’espèce. Ce critère jurisprudentiel du public nouveau n’a pas d’équivalent en droit français [1] CJUE, 13 févr. 2014, aff.

Coucher de soleil HIPPIE ET RAINBOW FAMILY : échanges dans la paix et l'amour. Paris, France et dans le monde entier Les rassemblements de la Rainbow Family Contrairement à ce que beaucoup pense notre famille de l'arc en ciel n'est pas une secte, loin de là, il n'existe aucune hierarchie en notre sein. Toutes les valeurs, pratiques et religions y sont représentées sans aucun prosélytisme. Certains sont athés. Nous sommmes une communauté nomade, nous évitons de rester plus d'un mois dans un même lieu pour empécher l'installation d'une hierarchie et toutes ses conséquences (repli des clans, prises de pouvoir des plus fort ou plus malin..). Entre temps la communauté à grandi, il arrive que 30 000 personnes se réunissent au même endroit pendant un mois entier l'été aux Etats Unis, des hippies toujours, mais qui ont été rejoints depuis par des rastas, des altermondialistes et des gens simples, sans étiquettes car elles n'ont aucune importance dans cet endroit là, des gens de toute catégorie sociale et de toute origine éthnique. Pour entrer en contact avec notre communauté Des hippies à Paris!

Entre RSA et CMU, les vies d'équilibristes des artistes plasticiens Un atelier de plasticien (Office du tourisme de Pays de Montfort/ FlickR/cc) Les intermittents du spectacle se font entendre depuis le printemps, mais on entend moins les plasticiens. Ils ne peuvent pas défendre leur système de chômage puisqu’ils n’en ont pas. Leur caisse professionnelle, la Maison des artistes, est aux abois depuis la rentrée. Thibault (tous les prénoms des artistes cités ont été modifiés) a dix ans de sculpture professionnelle derrière lui, et pourtant, il vit aujourd’hui grâce au revenu de solidarité active (RSA). Thibault n’a pas de ventilation dans son atelier. Pour un loyer modique, Thibault occupe la Semencerie, un hangar reconverti autogéré par une vingtaine d’artistes. L’assurance maladie, rare acquis des plasticiens Pour l’année prochaine, Thibault prévoit que ses revenus lui fassent enfin franchir le seuil d’affiliation au régime de sécurité sociale des plasticiens, 8 490 euros en 2013. La majorité des peintres et sculpteurs ne vit pas de son art.

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