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John Doerr sees salvation and profit in greentech

John Doerr sees salvation and profit in greentech

Financer le dvpr durable par des DTS - M.Kroll - 2011.pdf Billet invité, suite à la rencontre de Paul Jorion avec Jakob von Uexkull à Zermatt. Merci à Bénédicte pour la traduction Surmonter le défi climatique aura un coût élevé. La majorité des États actuellement confrontés à d’énormes déficits budgétaires (principalement causés par la crise financière) sont réticents à l’idée de consacrer de l’argent aux problèmes climatiques sur le long terme. Il faudrait au bas mot 100 milliards de dollars pour une politique véritablement efficace visant à réduire les effets du changement climatique, pour autant que cela soit encore possible. C’est aussi vrai pour les propositions alternatives, telles que le financement à partir des profits des bourses du carbone ou de taxes sur le carburant aérien et les transactions financières. Par conséquent, nous avons besoin d’une source de financement nouvelle et mondiale, capable de générer au moins 100 milliards de dollars par an immédiatement, sans être soumise à l’impératif de redistribuer des fonds existants.

John Doerr Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Biographie[modifier | modifier le code] Il a rejoint Kleiner Perkins Caufield & Byers en 1980, et réalise le financement de capital-risque à certaines des entreprises technologiques les plus prospères au monde, dont Compaq, Netscape, Symantec, Sun Microsystems, Amazon.com, Intuit, et Google, ainsi que Friendster, et d'autres. On estime les emplois créés par ces entreprises à plus de 155 000. Il siège actuellement au sein du conseil d'administration de grandes entreprises américaines, dont celui de Google, et investira beaucoup dans le domaine des nouvelles technologies et de la santé. John Doerr milite activement pour l'innovation dans les technologies liées à l'énergie propre afin de lutter contre le réchauffement climatique. Il fait partie des signataires à la campagne The Giving Pledge lancée par Bill Gates et Warren Buffet. Annexes[modifier | modifier le code] Articles connexes[modifier | modifier le code] Michael Moritz

PWC Corporate sustainability -Rethinking Business Will Day Sustainability advisor Our economies incentivise people and businesses to consume way beyond the planet's capacity to regenerate itself. Will Day, sustainability advisor to PwC, asks, if a planet were a company, and we were its owners or shareholders, would we really sit by and watch it erode its capital the way we're doing? Transcript "There's only one planet Earth, totally unique in its ability to support life. So why are we placing so much pressure on its finite resources? Our economies incentivise people and businesses to consume way beyond the planet's capacity to regenerate itself. Many natural resources are actually under threat, some of them are more visible than others, and we're more aware of some than others. One of our most undervalued resources is fresh water, and any business that has water anywhere in its supply chain will really have to sit up and take notice. The next half century is going to bring dramatic change.

Vinod Khosla aux écologistes: restez à distance Vinod Khosla est connu pour investir beaucoup d’argent dans les technologies écologiques. Mais s’il prend exemple sur quelqu’un, c’est plus Steve Jobs qu’Al Gore. San Francisco – Interrogé à l’occasion de la conférence AlwaysOn GoingGreen à San Francisco, Vinod Khosla a défendu l’idée qu’il fallait parier gros sur des entreprises susceptibles de changer la donne. Vinod Khosla (photo: Martin LaMonica/CNET) Même si Vinod Khosla a choisi d’investir dans les technologies écologiques en raison de préoccupations environnementales, il considère que les écologistes sont un obstacle à ces technologies, car ils estiment que les personnes doivent payer davantage pour des alternatives plus propres au statu quo. Vinod Khosla a déjà fait les gros titres auparavant en présentant les hybrides Prius comme un exemple d’écoblanchiment parce que, au niveau mondial, seul un petit pourcentage de consommateurs pourront se les offrir. Le sujet qui fâche À lire aussi

Entropie de l'économie Nicholas Georgescu-Roegen est l'un de ces personnages improbables que l'histoire troublée de l'Europe centrale a produit pour notre plus grand profit. Roumain, docteur en mathématiques, il rencontre Joseph Schumpeter dans les années 30 à Harvard et s'oriente alors vers l'économie qu'il enseignera aux Etats-Unis, pays où il s'est exilé en 1948. Ce livre est un recueil de textes des années 70 qui vient à point dans le débat sur le développement soutenable. L'auteur applique à l'économie la deuxième loi de la thermodynamique. Celle-ci affirme que dans un système clos, l'énergie transformable en travail mécanique ne peut que diminuer, le désordre ne peut qu'augmenter. Nicholas Georgescu-Roegen transpose cette loi physique à la terre et à l'activité humaine pour déraciner la vision mécaniste, ancrée chez les économistes de toutes tendances, d'une activité économique conçue comme un cycle fermé sans pertes, voire capable de créer plus de richesses qu'il n'en consomme. Commenter cet article

Eco-innovation_presentation | Eco-innovation L’éco-innovation se définit comme l’ensemble des innovations (techniques, conceptuelles, méthodologiques) qui contribuent directement ou indirectement à une amélioration de l’état de l’environnement. L’environnement étant pris au sens large, incluant les ressources naturelles (air, eau, sols, milieux), la biodiversité, le changement climatique, l’efficacité énergétique et les énergies renouvelables, le cadre de vie et le développement durable de la société. Les éco-technologies (environmental technologies) se définissent comme « l’ensemble des technologies dont l’emploi est moins néfaste pour l’environnement que le recours aux techniques habituelles répondant au même besoin ». Elles couvrent : • L’ensemble des technologies mises en oeuvre dans les entreprises du secteur de l’environnement – industries du traitement de l’eau, de l’air, des sols, des déchets,… également dénommées éco-industries.

Entropy, peak oil, and Stoic philosophy 1. Simple physics and complex systems So, ladies and gentleman, first of all let me show you this apple.(photo by Daniel Gomez) Don't worry; it doesn't mean that this will be a very long talk! The fact that apples fall from trees - and that everything else that can fall, does - is an effect of the existence of relatively simple laws in the universe. Before Newton, for a long time scientists could only grumble something about “angels pushing” when asked about what caused planets to move. It is not rare to find an underlying simple law that generates complex systems. Now, when we discuss complex systems, of course what comes to our minds is the subject we are discussing today – the economy and what makes it move. 2. So, let's see if we can inject some physics into modelling the economy. Note that Hubbert had only data until 1956; the rest is extrapolation. The agreement is impressive, considering that the curve spans several decades. 3. 4. That is, of course, very simplified! 5. Sure. 6.

Grantham comes nose to nose with a paradigm shift 1. We have had the time when only a few % of the world were explored for hard commodities, now for several of them basically the whole earth has been explored. So in several cases only considerably more costly exploration and explotation will likely be able to do the job. The Economics of Enough The financial crisis and concerns about environmental sustainability have led to some to conclude that economies should no longer strive for growth. Diane Coyle, FRSA and author of The Economics of Enough, argues this conclusion is misplaced. The economy faces several kinds of problem, each of which seems depressingly intractable. They include climate change, the government debt and aftermath of the financial crisis, and social inequality for starters. One apparent solution that has been gaining momentum is that the economy needs to give up on growth. If only things were so easy. Calling for an end to growth is neither practical politics nor sound ethics. So, there is no easy zero growth solution to the array of economic problems. It is clear that the first step towards sustainability will require having the measurements to answer this question. The third aspect of a sustainable economy is something economists normally steer clear of, namely ethical values.

L’austérité, c’est bon pour la planète et ses habitants ? S’il est évident que l’austérité est négative au plan social, c’est moins évident sur le plan écologique. La crise financière récente a permis de confirmer une loi empirique : dans les 50 dernières années le PIB et les émissions de GES ont été fortement corrélées au niveau mondial et la décroissance du PIB1, qu’elle soit due à une guerre ou une récession, a toujours entraîné le recul des émissions (Voir illustration ci-dessous). Les émissions mondiales de gaz à effet de serre ont ainsi légèrement diminué entre 2008 et 2009 du fait de la crise économique. Aux Etats-Unis, elles ont chuté de près de 6 % entre 2008 et 2009. A l’inverse c’est bien le décollage économique de la Chine qui l’a propulsée au « statut » de plus gros émetteur de GES de la planète. Faut-il du coup bénir les politiques d’austérité qui s’installent en Europe, quitte à les mâtiner d’une augmentation des transferts sociaux pour faire passer la pilule ? La réponse est clairement négative et ce pour plusieurs raisons.

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