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L'entreprise, machine à évaluer

L'entreprise, machine à évaluer
LE MONDE CULTURE ET IDEES | • Mis à jour le | Par Anne Chemin Le mot fleure bon l'école et la distribution des prix. L'évaluation en a d'ailleurs adopté les codes avec empressement : elle donne souvent lieu à des notes, à des appréciations, voire des classements de fin d'année. Au point que certains salariés ont parfois la curieuse impression de se retrouver sur les bancs du collège. A une différence près : les "félicitations", ces décorations un peu désuètes décernées par les conseils de classe, ont été traduites en langage managérial - dans les entreprises, les bons élèves sont classés "top performance" ou "highly capable". Née aux Etats-Unis dans les années 1970, la vogue de l'évaluation des salariés a atteint l'Europe dans les années 1980, puis 1990. En quelques décennies, l'évaluation est en effet devenue, selon le Centre d'analyse stratégique, la "pierre angulaire" des politiques de ressources humaines. Cette frénésie mathématique conduit parfois à des absurdités.

Infographie : 6 secrets de la performance commerciale Source : Sans stratégie de vente détaillée et partagée, point de performance commerciale. Tel est le premier enseignement de l'étude menée par Mercuri International auprès de 1 150 cadres commerciaux issus de 23 pays. En effet, une écrasante majorité des entreprises les plus performantes (80 %) a clairement défini sa stratégie commerciale et veille à ce qu'elle soit connue et adoptée par ses équipes. Autre aspect mis en valeur par cette étude : la vente en équipe. Le client n'est pas seulement l'affaire des commerciaux : toutes les fonctions de l'entreprise sont sensibilisées à la satisfaction du client et respectent des processus définis pour s'impliquer dans la vente. Pour plus de détails sur cette étude, visionnez l'interview vidéo d'Yvelise Lebon, présidente du comité exécutif Mercuri International.

Emergents spontanés d'une analyse praxéologique - Abderrazak Chaouachi II-3. Cadre théorique didactique Notre travail de recherche se situe dans le cadre de la Théorie Anthropologique du Didactique (TAD) développée par YVES CHEVALLARD à partir des années 1980. Nous avons puisé la quasi- totalité de nos ressources concernant les concepts clé de cette théorie à partir de ses articles qui figurent dans la partie bibliographique (CHEVALLARD, 1991, 1994, 1998, 2002, 2007). Cette théorie présente un certain nombre de postulats concernant l'activité humaine : rapports personnels, rapports institutionnels, les organisations praxéologiques (ponctuelles, locales et régionales) ainsi que le destin de chaque objet et notamment l'objet du savoir dans l'écosystème des connaissances. II-3.1. La notion de transposition didactique a fait son entrée dans le champ de la didactique au début des années 1980. Nous distinguons, dans le processus de transposition didactique, au moins trois types de savoirs : le savoir savant, le savoir à enseigner et le savoir enseigné.

Les types de savoirs - Espace de la Francophonie et des Sciences de l'éducation Le fait d’identifier le type du savoir à enseigner nous permet de mieux ajuster notre posture de formateur et d’identifier les méthodes pédagogiques à mettre en place. Il y a six types de savoirs : 1. 2. 3. 4. 5. 6. II. L’innovation en matière de pédagogie nécessite la variation et la diversité des démarches et méthodes pour toucher le plus grand nombre possible d’apprenants. Or, nul courant pédagogique ne peut se satisfaire à lui-même. Enfin, pour résumer ma pensée sur la base des éléments théoriques et pratiques acquis durant cette formation, je dirais que je suis pour une approche pédagogique « inclusive », c'est-à-dire qui met l’accent sur l’un ou l’autre courant pédagogique mais en ne rejetant pas les autres courants existants. III. Par Karim Kherbouche IV. -Dalila Arezki (2010), Psychopédagogie/Pour une relation harmonieuse et un échange fructueux entre enseignants et enseignés, Algérie, Editions l’odyssée. -James M.

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