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Mini-docu : Marseille Capitale de la Rupture

Mini-docu : Marseille Capitale de la Rupture

"Qui sait que la bourse de Paris est aujourd'hui dans un hangar dans la banlieue de Londres ?" Alexandre Laumonier est éditeur. Il a repris des recherches en anthropologie et c’est dans ce cadre qu’il s’est intéressé au trading haute fréquence. Il s’intéresse aux rapports entre les humains et ces algorithmes, ces robots qui sont derrière plus de 70% des transactions dans les marchés américains. Des intelligences artificielles capables de réagir à la milliseconde près, pour acheter ou vendre et même ruser pour tromper les machines des concurrents. Dans son ouvrage à paraitre le 14 février : « 6 » aux éditions Zones Sensibles, il explique en se glissant dans le code d’un algorithme baptisé Sniper, comment et pourquoi l’homme a créé des machines qui aujourd’hui le dépassent. Pouvez-vous nous parler de votre démarche : approcher le trading haute fréquence par l’anthropologie Alexandre Laumonier. Ce qui est intéressant, c’est qu’à l’origine l’homme a voulu utiliser la machine pour rendre les échanges sur les marchés plus transparents. Alexandre Laumonier. Alexandre Laumonier.

Marseille 2013 le Off se dévoile au Talk Marsactu Marsactu a reçu sur son plateau l'un des organisateurs du Off de Marseille 2013, Eric Pringels. Il est venu nous livrer en avant-première les grands axes qui seront présentés ce vendredi soir, et revient sur son financement et ses relations avec le In. Par souci d'anticonformisme revendiqué par les instigateurs du OFF, nous ne l'appellerons pas un programme. Ni un pré-programme, à la sauce Marseille-Provence 2013, la version officielle de la capitale européenne de la culture. Durant le talk, nous avons aussi parlé financement des projets et relation avec le In, autrefois tumultueuse, qui se sont apaisées. Le dégel semble annoncé, et le Off n'apparaît plus comme le vilain petit canard du In.

Banque centrale européenne : embrouille et secret défense -- Chroniques du Yéti Tous aux abris ! La panique règne à la Banque centrale européenne (BCE) dirigée par Mario Draghi, suppôt comme chacun sait ou devrait savoir de la tristement célèbre Goldman Sachs. Alors les assiégés dressent les barricades pour sauver leurs coffres en péril. Deux éléments nouveaux viennent conforter cette impression, révélés l’un par l’allemand Deutsche Wirtschaftsnachrichten, l’autre par Mediapart. C’est quoi, cette embrouille Les Deutsche Wirtschaftsnachrichten (en clair, Nouvelles économiques d’Outre-Rhin) vient donner un éclairage avisé sur les dessous du plan de "sauvetage" de Chypre par la BCE. Contrairement à ce qui s’était passé avec la décote des emprunts grecs, celle des obligations chypriotes était tout bonnement impossible car elles servaient d’ultimes garanties à une BCE déjà submergée de titres pourris par les défaillances de l’Europe quartier sud. « Vu sous cet angle, le hold-up organisé des banques chypriotes est ce qu’il y a de moins grave. Chroniques du Yéti

DE "L'indépendance de la BCE n'est qu'allégeance au système bancaire" -- Michel Santi La finance a mis la main sur les politiques monétaires Le 3 janvier 1973 étaient en effet adoptés les nouveaux statuts de la Banque de France qui devaient révolutionner le job de banquier central, le transformant ainsi en une sorte de personnage « téflon » - totalement antiadhésif - n’ayant nul compte à rendre à l’exécutif de son pays ni à ses concitoyens. C’est effectivement à 1973 et à cette loi française qu’il est possible de dater le début de l’irresponsabilité des banques centrales, et particulièrement dans son article 25 qui indique que « le Trésor public ne peut être présentateur de ses propres effets à l’escompte de la Banque de France ». Tournant crucial donc dans la gestion des finances publiques des nations occidentales qui emboitèrent le pas à la France. Les Etats étant dès lors - et de facto - définitivement à la merci du système bancaire, puisque leurs Trésoreries n’étaient plus en droit d’emprunter auprès de leurs banque centrale. Le banquier central dans une tour d’ivoire

tanznetz.de - das tanzmagazin im internet La dispute des économistes Merci pour cette émission ! Je voudrais revenir sur certains points. Je crois que vous confondez (néo)libéralisme avec capitalisme de connivence. Dans le premier cas, chacun peut exercer sa liberté AVEC sa responsabilité, dans la limite de la liberté d’autrui : une banque qui merde fait faillite, s’il y a eu fraude ses responsables se retrouvent devant les tribunaux. Le marché : un échange ne peut se faire qu’à la satisfaction du vendeur et de l’acheteur, sinon il n’a pas lieu. Les rentiers ne peuvent retirer des bénéfices de leur capital que s’ils l’investissent (et le risquent !) Le chômage fruit du capitalisme : ce sont les réglementations (smic, barrières aux licenciements) et les taxes multiples sur le travail qui en sont la cause. Le monde est libéral depuis 40 ans ? L’enseignement économique libéral : c’est l’inverse en France, on n’y parle que de Keynes, Marx et leurs amis. Désolé d’être un peu télégraphique, il y aurait encore beaucoup à dire.

Tanz als Beruf Tanz als Beruf[1] Von Heide Lazarus Die belgische Tänzerin, Choreografin, Intendantin und Schulgründerin Anne Teresa De Keersmaeker (geb. 1960) hat einen speziellen choreografisch-tänzerischen Stil entwickelt, der sie unverwechselbar und zu einer weltweit gefragten Künstlerin macht. Deshalb wollte auch Daniel Barenboim, der weltweit gefeierte Pianist und Generalmusikdirektor der Berliner Staatsoper, mit ihr einmal zusammen arbeiten. Als De Keersmaeker 2010 ihr Solostück 3Abschied auf der Grundlage des Schlusssatzes von Gustav Mahlers Das Lied von der Erde inszenierte, fragte sie den Maestro für die musikalische Zusammenarbeit an. Um diesen aktuellen Konflikt zwischen Angehörigen unterschiedlicher künstlerischer Branchen und Berufe zu begreifen, muss man erst einmal verstehen, warum der Musiker und Dirigent glaubt, von der Tänzerin und Choreografin etwas Bestimmtes erwarten zu können und warum diese sich dem verweigert. [2] Moeller van den Bruck, Arthur, Das Varieté, Berlin 1902, S. 233.

The Fall of the House of Europe THE ROVING EYEThe Fall of the House of Europe By Pepe Escobar The Enchanters came / Cold and old, Making day gray / And the age of gold Passed away, / For men fell Under their spell, / Were doomed to gloom. Joy fled, / There came instead, Grief, unbelief, / Lies, sighs, Lust, mistrust, / Guile, bile, Hearts grew unkind, / Minds blind, Glum and numb, / Without hope or scope. There was hate between states, A life of strife, / Gaols and wails, Dont's, wont's, / Chants, shants, No face with grace, / None glad, all sad.W H Auden, The Golden Age We have, unfortunately, no post-modern version of Dante guided by Virgil to tell a startled world what is really happening in Europe in the wake of the recent Italian general election. On the surface, Italians voted an overwhelming "No" - against austerity (imposed the German way); against more taxes; against budget cuts in theory designed to save the euro. There's more, much more. Meet Absurdistan Why things happened in Italy the way they did?

Gaël Giraud Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Gaël Giraud Gaël Giraud, né en 1970, est un économiste français spécialisé en économie mathématique. Biographie[modifier | modifier le code] Qualifications[modifier | modifier le code] Gaël Giraud a été élève en classes préparatoires au Lycée Henri IV entre 1987 et 1989. En 1997, il est docteur en mathématiques appliquées[1], En 2004, il obtient l'Habilitation à diriger des recherches (HDR). Fonctions[modifier | modifier le code] Après avoir occupé les fonctions d'ATER entre 1997 et 1998, il intègre le CNRS en 1999 comme Chargé de Recherches (1re Classe depuis 2004) au CNRS, section 37 (CES UMR 8174). Gaël Giraud enseigne la théorie des jeux et l’économie mathématique à l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, à l’Université Strasbourg I Louis Pasteur et à l’Université de Hanoï, au Vietnam. Travaux[modifier | modifier le code] Gaël Giraud est l’auteur d’une pièce de théâtre, Chemins vers la soif[9], en tournée française en 2010-2011[10].

Aux Pays-Bas, l'Etat nationalise la 4ème banque du pays L'Etat néerlandais a nationalisé vendredi 1er février le groupe bancaire et d'assurance en difficultés SNS Reaal, pour un coût de 3,7 milliards d'euros, a annoncé le ministre des Finances Jeroen Dijsselbloem. "Aujourd'hui SNS Reaal a été entièrement repris par l'Etat néerlandais. J'ai nationalisé SNS Reaal", a déclaré Jeroen Dijsselbloem au cours d'une conférence de presse, après que la date limite fixée par la Banque centrale néerlandaise (DNB) pour trouver une solution pour la quatrième banque du pays eut été dépassée. "La limite fixée par la DNB a été dépassée la nuit passée sans qu'une solution ait été trouvée", a ajouté Jeroen Dijsselbloem : "la situation était (...) dangereuse pour la stabilité financière". "J'ai dû conclure que la nationalisation était inévitable", a soutenu le ministre des Finances qui est également président de l'Eurogroupe, rappelant que la banque avait été mise en difficulté en raison de problèmes au sein de son portefeuille immobilier. (Avec AFP)

BnF : sacrifier le domaine public pour numériser les indisponibles La polémique en cours sur les accords de partenariats conclus par la BnF avec des sociétés privées pour la numérisation de ses fonds rebondit à nouveau, pour entrer cette fois en collision avec un autre dossier brûlant dans lequel l'établissement est impliqué : la numérisation des livres indisponibles du XXe siècle. Un document interne publié aujourd'hui par Actualitté dévoile en effet que la BnF s'apprête à utiliser ses propres chaînes pour numériser les 10 000 premiers ouvrages indisponibles. Or ce marché de numérisation, passé auprès des sociétés Jouve-Safig-Diadéis, n'avait pas à l'origine été conçu pour accueillir de tels ouvrages, mais bien des livres du domaine public, afin qu'ils soient rendus accessibles en ligne via Gallica, sa bibliothèque numérique. En page 3, le document indique : « En 2013, les 10.000 premiers indisponibles seront numérisés dans le cadre du marché de numérisation d'imprimés en cours (prestataire Jouve/Numen).» Oeuvre numérisée... Dérives...

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