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La détermination du prix

La détermination du prix
Plusieurs méthodes qui peuvent être complémentaires sont disponibles pour déterminer le prix. Le prix peut être soit déterminer par l’analyse : du client. de la concurrencedes coûts de revient Détermination du prix par le client Le client est aujourd’hui mieux informé et capable pour la plupart des produits et services de comparer les prix pratiqués. De manière basique, pour pouvoir le fixer, il est nécessaire de pouvoir répondre à deux questions : En dessous de quel prix le produit ou service ne lui semble pas bon ? Une étude par le biais d’un questionnaire pourra permettre de répondre à cette question. L'analyse des résultats permettra cependant de fixer la tranche de prix acceptable par le plus grand nombre de clients. A prix égal, le consommateur pourra être prêt à choisir le produit ou le service de l’entreprise voire à le payer plus cher si celui-ci lui apparaît de meilleure qualité. Détermination par la concurrence Détermination par le prix de revient Related:  PRIX

L'élasticité, la demande, le prix, les marges Lorsque l’on parle d’ élasticité, il faut comprendre que c’est la demande qui est élastique : les volumes de ventes varient en fonction du prix fixé. Il y a trois cas à analyser pour interpréter le coefficient d’élasticité : 1) L’élasticité est négative : Vous vendez moins à un prix plus élevé ==> c’est le cas classique, les prospects se heurtent à un prix trop important qui les dissuade d’acheter. Un exemple : Vous vendez plus à un prix moins élevé ==> c’est le cas des promotions par exemple, une diminution du prix incite le marché à consommer plus. Un exemple : 2) L’élasticité est nulle (ou presque) : Vous vendez autant, quand bien même votre prix augmente. Vous vendez autant alors que votre prix est en baisse ==> Assez rare comme cas de figure. 3) L’élasticité est positive : Magique : vous augmentez vos prix et vous vendez plus ! Reprenons les concepts de la première partie de ce dossier : Maintenant ajoutons l’analyse des coûts et de la marge : Quelques exemples :

80 idées de promotions pour augmenter vos ventes !ConseilsMarketing.fr Dans un contexte économique difficile, les PME bataillent pour trouver des prospects ou vendre plus à leurs propres clients, et justement les promotions sont un de mes meilleurs outils marketing pour augmenter ses ventes. L’avantage des promotions c’est qu’elles peuvent à la fois attirer des prospects, mais aussi faire acheter plus ses clients existants. Et le plus souvent, une bonne promotion va concerner avant tout la base de clients existants (elle plus nombreuse, elle a votre confiance…) que d’aller chercher à convaincre encore et encore de nouveaux prospects. L’expérience montre qu’il est bien plus rentable de vendre plus à ses clients que chercher à attirer encore plus de prospects, car il y a un double effort : convaincre un prospect et faire un effort commercial. Pour cela il ne suffit pas de lancer une promo, il faut mettre en place des promotions efficaces et rentables. Or, ce n’est pas si simple : – Il ne faut pas que faire des promotions “prix”. Avant de lancer votre promotion…

Le panier moyen des consommateurs baisse mais le e-commerce garde le sourire Le panier moyen des achats baisse ? Le monde de l’Internet n’en a que faire ! Alors que la plupart des commerçants s’inquiète d’une chute de la consommation, les e-commerçants se frottent les mains. Une histoire de vases communicants : ils profitent à la fois d’achats plus fréquents et de l’afflux de nouveaux clients. L’achat moyen sur la Toile a beau être au plus bas depuis 2006, à 81 euros en septembre selon les chiffres de la Fevad, l’ensemble des ventes a cru de 11% au troisième trimestre de 2014 comparé à celui de l’année dernière. Pour deux raisons : la fréquence d’achat augmente encore et le nombre de cyberacheteurs ne cesse de croître. Compensation par le volume Le tourisme est le seul secteur où la compensation par le volume ne fonctionne pas : il est en baisse de 4% au troisième trimestre, à l’image de l’ensemble de son marché. Pour Noël, la tendance sera sensiblement la même : des dépenses moindre, mais plus d’acheteurs qu’en 2013. Des achats de plus en plus tardifs

Le juste prix, une affaire de virgule Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Nathaniel Herzberg Fixer le juste prix. La question est vieille comme le monde, ou du moins comme le commerce. Un coup d’œil aux rayons des magasins laisse songeur. Deux économistes de Singapour, Monica Wadhwa (Insead) et Kuangjie Zhang (Nanyang Technological University) ont publié un article dans le Journal of consumer research qui promet d’éclairer le commerçant, comme le consommateur. L’affirmation s’appuie sur une batterie d’études comportementales. Dans le second cas, le phénomène inverse a été observé, sans que les deux prix décalés puissent être sérieusement départagés. Usage familial contre utilisation scolaire Peut-être la nature même des deux produits cachait-elle d’autres motivations ? Et si le cerveau se trouvait occupé par autre chose, quel en serait l’effet ? Enfin, les deux économistes ont établi une corrélation entre le prix proposé et la nature de l’argumentaire commercial le plus percutant.

Le prix pour les consommateurs Introduction Le contexte économique (crise, tension sur le pouvoir d’achat), les nouvelles possibilités offertes par les technologies de communication (internet et mobile) et les évolutions réglementaires de ces dernières années ont accru la compétition en matière de prix et conduit distributeurs et producteurs à s’engager dans une guerre des prix pour maintenir leurs volumes de ventes et leurs parts de marché. La communication sur les prix est devenue omniprésente qu’il s’agisse de mettre en avant des prix bas permanents ou des politiques promotionnelles. La perception des prix par les consommateurs est un phénomène complexe. Ainsi, certains consommateurs adoptent un comportement « malin » et d’autres deviennent « avisés », profitant au mieux des pratiques promotionnelles ou planifiant leurs achats et restant sur leurs gardes face aux pratiques tentantes des entreprises. I- Un contexte de tension sur le pouvoir d’achat et de compétition accrue E. Bibliographie

"On vous emmène ?" : première campagne de marque OUIBUS signée Buzzman C'est un lancement de marque à part entière. Sans la caution de sa maison mère (la SNCF pour les distraits), OUIBUS s'affirme seule et part en campagne. Avec la signature "On vous emmène", la marque invite donc au voyage facile et à petits prix : 35 villes françaises sont desservies pour 170 trajets depuis le 3 septembre dernier. Thomas Granger, vice-président de Buzzman, confirme "avec cette toute nouvelle signature et cette première campagne, la marque OUIBUS pose les bases de son territoire : proximité, bienveillance et générosité. Plan media La campagne se déploiera en télévision avec des spots de 30 et de 45 secondes ainsi qu'en digital à partir du 4 décembre et ce, pendant quatre semaines. Elle sera accompagnée d'un dispositif géolocalisé dans 14 grandes villes de France (Paris, Marseille, Lyon, Bordeaux, Strasbourg, Rennes, Toulouse, Lille, etc.), constitué de plus de 20 spots radio (avec la voix du comédien Christian Hecq. Les trois films Prise de parole tactique de septembre 2015

Le prix n'est plus ce qu'il était, Contrôle de gestion Combien vaut un billet de train Paris-Lyon ? La réponse est simple : ça dépend. Ca dépend de la date du voyage, du jour d'achat, du site Internet, des conditions d'échange et de remboursement, etc. Votre voisin a peut-être payé trois fois moins que vous… L'ouverture de l'éventail des prix n'est certes pas nouvelle. Les compagnies aériennes pratiquent depuis longtemps le « yield management » ou « tarification en temps réel », définie dans le « Journal officiel » du 10 juin 2007 comme les « techniques de gestion consistant à utiliser au mieux tout ou partie des ressources d'une entreprise en vue d'augmenter ses recettes, grâce à un ajustement permanent des tarifs aux possibilités du marché. » Mais ce qui est nouveau, c'est que cette technique gagne de plus en plus de domaines. Depuis des siècles, les salles de spectacle font varier les tarifs selon le calendrier pour vendre tous les fauteuils ou en tirer le maximum d'argent. Nous entrons ici dans un monde nouveau. Les points à retenir

Quel est le secret de Lidl pour vendre du vrai caviar à 10 euros? En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez nos CGU et l'utilisation de cookies afin de réaliser des statistiques d'audiences et vous proposer une navigation optimale, la possibilité de partager des contenus sur des réseaux sociaux ainsi que des services et offres adaptés à vos centres d'intérêts. Pour en savoir plus et paramétrer les cookies... bien ensoleillé Vent : 5km/h - UV : 1 Clôture veille : 4859.69 Ouverture : 4874.31 Newsletter BFM Business | Les + vues Replay Emissions FrédéricBIANCHI Journaliste Newsletter BFM Business Après le foie gras et les grands crus, l'enseigne de hard-discount continue de défricher le terrain du luxe avec le caviar. Et maintenant du caviar. Mais alors que les grands crus de la foire aux vins de septembre n'étaient pas accessibles à toutes les bourses (199 euros la bouteille d'Yquem), le caviar lui le sera davantage. Car le caviar est peut-être le dernier vrai produit de luxe. Première astuce: la quantité. Pas de vente en ligne pour le caviar

Consommer sans limite, une nouvelle attente des clients 79 € par mois pour consommer le TGV comme un forfait de téléphone illimité Netflix pour les séries, la carte UGC pour le cinéma, Deezer, Spotify et bien d’autres pour la musique, des forfaits illimités pour la téléphonie mobile et les box Internet… Une nouvelle culture a émergé dans les modes de consommation : l’abonnement pour un usage illimité. Ces derniers mois, les offres se sont multipliées, gagnant de nouveaux secteurs. Dernier exemple en date : le lancement par la SNCF, le 25 janvier dernier, d’une carte TGV Max permettant aux 16-27 ans de voyager de façon illimitée dans les TGV et Intercités moyennant 79 € d’abonnement mensuel. Plus d’infos : Les Échos Challenges 89 $ par mois pour partager un Uber à volonté à Manhattan Depuis 2015, New York compte plus de voitures Uber que de taxis jaunes. Ce forfait permettant de se déplacer à volonté affiche un tarif vraiment très bas : 59 $ pour un abonnement de deux semaines, 89 $ pour quatre semaines. Uber New York Time Out BFM Business Maddyness

Étude : « Le vrai coût des prix bas » Le prix (bas) a-t-il encore une valeur ? Quels sont les effets pervers de la course aux prix bas dans laquelle se sont engagés distributeurs et industriels ? Cela est-il réellement mené dans l’intérêt des consommateurs ? Quelles en sont les conséquences du côté des producteurs ? De l’amont à l’aval, quelles sont enfin les pistes pour mieux répartir la valeur et sortir de la logique du moins-disant qui est aussi celle du tous-perdants ? Bousculé par la crise, mais aussi par la transparence que favorise le digital, par l’économie du partage et même de la gratuité, par l’émergence simultanée du commerce équitable et du « peer to peer », par la surconsommation et le gaspillage, et par des modèles économiques qui marchent sur la tête, le prix voit sa valeur-même remise en cause... et la question du vrai coût des prix bas est désormais ouvertement posée, notamment à l’occasion des Etats Généraux de l’alimentation. Téléchargez l’étude « Le vrai coût des prix bas »

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