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Euthanasie : Qu'est-ce que c'est ?

Euthanasie : Qu'est-ce que c'est ?

Désormais l'euthanasie est permise en Allemagne En Allemagne, le Bundestag a adopté aujourd’hui une loi autorisant le suicide assisté. Les trois propositions qui autorisent le suicide assisté (cf. Gènéthique du 6 novembre 2015), avec quelques variations, ont été adoptées à une très large majorité. Jusqu’à présent et depuis 1871, le suicide n’était traditionnellement pas puni et, en conséquence, l’assistance au suicide non plus. D’après cette loi, les citoyens allemands et notamment les proches d’un malade incurable ont le droit d’autoriser l’euthanasie « à titre individuel en partant des considérations altruistes », rapporte l’Associated press ( AP ). Dans le même temps, la loi ne permet pas d’autoriser l’euthanasie sur une base commerciale. Auparavant, la chancelière allemande Angela Merkel ainsi que des représentants de différents partis politiques allemands se sont prononcés pour cette version de la loi sur l’euthanasie. Le texte voté vendredi après un an de débat punit de trois ans de prison «l’aide à mourir professionnalisée».

Législation sur l'euthanasie et le suicide assisté par pays Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La question de la place de l'euthanasie ou du suicide assisté dans la législation des différents pays est source de débats[1]. La plupart des pays les interdisent, avec des exceptions notables tellesque la Belgique, la Suisse, les Pays-Bas, le Luxembourg et certains États américains. En 2011, l'euthanasie active n'est légale que dans trois pays : les Pays-Bas, la Belgique et le Luxembourg.[réf. nécessaire] Le suicide assisté est légal en Suisse ainsi que dans les États américains de l'Oregon et de Washington. Allemagne[modifier | modifier le code] En Allemagne[2], l'euthanasie a été largement pratiquée sous le régime nazi avec l'euthanasie de plus de 150 000 patients allemands, dont 6 000 enfants (Programme Aktion T4). Australie[modifier | modifier le code] Belgique[modifier | modifier le code] La loi du 28 mai 2002[3] adoptée après deux ans de débats dépénalise l'euthanasie active. L'acte d'euthanasie est autorisé sous trois conditions :

Débat sur la fin de vie : le rapport du CCNE, euthanasie, sedation, directives anticipees. En bref - Actualités Le Comité consultatif national d’éthique pour les sciences de la vie et de la santé (CCNE) a publié, le 23 octobre 2014, un rapport qui rend compte du débat public sur la fin de vie initié en juillet 2012 par le président de la République et relancé par le Comité en juillet 2013 à la suite de l’avis "Fin de vie, autonomie de la personne, volonté de mourir". Au terme de deux ans de débat, le Comité observe de profondes divergences à propos du suicide assisté et de l’euthanasie. En revanche, il souligne un constat unanime et accablant sur les conditions actuelles de la fin de vie. Le Comité rappelle la nécessité de garantir les droits des personnes en fin de vie d’accéder à des soins palliatifs (actuellement seulement 20% des personnes qui doivent en bénéficier y accèdent), à un accompagnement humain et à un soulagement de la douleur, y compris à domicile.

euthanasie : Que dit précisément la loi Leonetti ? | Santé publique | Social La loi Leonetti établit les points suivants : « L’obstination déraisonnable » du corps médical et la « prolongation artificielle de la vie » du patient (articles 1 et 9) sont proscrites, y compris lorsque ce dernier est hors d’état d’exprimer sa volonté. Le médecin peut prendre le risque d’abréger la vie du patient en lui administrant une dose de soins palliatifs qu’il juge nécessaire à son confort, à condition d’en informer le patient, éventuellement la personne de confiance ou un proche (article 2).La décision de cesser l’administration d’un traitement, lorsque le prolonger semble relever de « l'obstination déraisonnable » doit être collégiale et ne peut être prise qu’après consultation de la « personne de confiance », de la famille, ou à défaut d’un de ses proches et des « directives anticipées » du patient (articles 1 à 9).La volonté du patient de limiter ou de cesser un traitement doit être respectée (articles 5 à 9).

Fin de vie, euthanasie et suicide assisté Un Néerlandais souffrant d'alcoolisme chronique opte pour l'euthanasie "Quand Mark a réalisé qu'il avait besoin d'aide, qu'il avait besoin de parler à quelqu'un, il était déjà trop tard. L'alcool le tenait déjà fermement dans son poing", a raconté le frère du patient. L'homme de 41 ans, qui souffrait d'alcoolisme, a choisi l'euthanasie pour mettre fin à ses jours. Le douloureux combat des parents d'un bébé plongé dans le coma Marwa, une fillette d'un an, est plongée dans un coma artificiel à l'hôpital Timone de Marseille, après avoir contractée un virus foudroyant. La mort dans tous ses états Un ouvrage "didactique" sur les derniers moments de l'existence? 2000 euthanasies déclarées en Belgique en 2015 La pratique a été autorisée sous conditions en 2002 dans le royaume. "Egoïste", elle voulait tuer sa mère atteinte d'Alzheimer L'Assemblée nationale se penche sur l'euthanasie Fin de vie: "La sédation profonde est une aide à mourir" Un référendum sur la fin de vie - L'édito de Christophe Barbier

Euthanasie, «droit à mourir»: Quelle est la situation en France? Après l'acquittement du médecin Nicolas Bonnemaison, poursuivi pour avoir abrégé la vie de sept malades âgés et la décision du Conseil d'Etat sur Vincent Lambert, le débat sur la fin de vie est de nouveau mis en lumière. «20 Minutes» fait le point sur la situation en France et dans d'autres pays européens. Qu’est-ce que l’euthanasie? On parle «d'euthanasie active» quand un tiers administre à un malade une substance létale dans le but de provoquer sa mort. Quelle est la situation en France ? Si l'euthanasie demeure interdite, la loi Leonetti de 2005 (du nom du député UMP Jean Leonetti) a instauré un droit au «laisser mourir», avec des soins palliatifs. Dans la population française, l'idée du droit à mourir (qui est un engagement de campagne de François Hollande) semble faire son chemin. … Ce qui se passe en réalité Que veut le gouvernement? François Hollande a promis d’ici la fin de l’année un nouveau texte pour «améliorer la loi Leonetti», mais qui n'envisage pas d'autoriser l'euthanasie.

Peut-on distinguer euthanasie active et euthanasie passive ? Ô toi qui prolongeas mes jours, Reprends un bien que je déteste ! Ô Diane, je t’implore, Arrêtes-en le cours ! (Iphigénie, dans C.W. Selon l’enquête européenne EURELD effectuée en 2001-2002 dans six pays européens [1], entre 36 % et 51 % de tous les décès (sauf 22 % pour l’Italie) sont le résultat d’une décision médicale de fin de vie. L’aspiration à « mourir vivant » Le débat autour de la légitimité éthique de l’euthanasie, en France et ailleurs, n’en est probablement qu’à ses débuts, malgré la publication récente du rapport Leonetti sur l’évaluation de la loi homonyme de 2005 sur la fin de vie [3]. En outre, dans le cas spécifique de l’euthanasie, le décalage entre les deux questions de sa légitimité éthique et de son éventuelle légalisation est encore plus important que dans le cas d’autres pratiques à la frontière de la médecine. Faire mourir et laisser mourir La terminologie et ses enjeux La question terminologique recouvre une profonde différence de doctrine.

Seriez-vous favorables à l’autorisation de l’euthanasie pour les patients en fin de vie? Euthanasie. Un mot qui semble toujours être tabou à l’Assemblée nationale. Manuel Valls avait appelé au "consensus" et au "rassemblement" lors de l’ouverture des débats sur la fin de vie le 21 janvier. Aussi l’UMP et le PS semblent-ils avoir réussi à trouver un accord en soutenant ensemble la proposition de loi d’Alain Claeys et Jean Leonetti, qui s’inscrit dans la continuité de la loi Leonetti de 2005. La loi ne propose donc aucune rupture par rapport aux dispositions déjà existantes. La nouvelle proposition de loi parviendra-t-elle à apaiser les débats sur la fin de vie? VOTEZ ET COMMENTEZ l'enquête express organisée par LCP-AN et leJDD.fr. Les invités d’Arnaud Ardoin en parlent ce soir sur le plateau de Ça vous regarde : Véronique Massonneau, députée écologiste de la Vienne Alain Claeys, député PS de la Vienne, co-auteur de la proposition de loi "créant de nouveaux droits en faveur des malades et des personnes en fin de vie"

Chronologie complète de l'affaire Vincent Lambert - Je soutiens Vincent Vincent devient handicapé suite à un accident de la route 29 septembre 2008 : Victime d’un accident de voiture, Vincent Lambert, 32 ans, infirmier en psychiatrie au Centre hospitalier de Châlons-en-Champagne, est plongé dans un état de coma profond. Il est hospitalisé au service de réanimation du Centre hospitalier de Châlons-en-Champagne. Il sort du coma pour se retrouver en « état-pauci-relationnel » ou état de « conscience minimale plus ». 5 janvier 2009 : Vincent est transféré au service de neurochirurgie du Centre hospitalier de Châlons-en-Champagne. 17 mars 2009 : Vincent reçoit pendant 3 moins (du 17 mars au 23 juillet 2009) des soins en kinésithérapie motrice et stimulatrice, au centre d’éveil de Berck-sur-mer. 23 juin 2009 : 7 mois après son accident, Vincent est transféré à la Résidence des Capucins, dans le service du Dr Annie Reska, chef du service de l’unité d’accueil de patients pauci-relationnels. 2013 : Vincent est victime de deux tentatives d’euthanasie Saisine de la CEDH

l'euthanasie quand les médecins n'ont plus de pouvoir Législation sur l'euthanasie et le suicide assisté par pays La question de la place de l'euthanasie ou du suicide assisté dans la législation des différents pays est source de débats[1],[2]. La plupart des pays les interdisent, avec des exceptions notables telles que la Belgique, le Canada, la Colombie, la Suisse, les Pays-Bas, le Luxembourg et certains états des États-unis. En 2015, l'euthanasie active n'est légale que dans cinq pays : la Colombie, les Pays-Bas, la Belgique, le Luxembourg et depuis juin 2021 l’Espagne. Cependant, nombre de pays interdisant l'euthanasie active ont légalisé l'arrêt des traitements à la demande du patient, interdit l'acharnement thérapeutique et institué des initiatives d'accompagnement des patients en fin de vie. Définitions[modifier | modifier le code] L'euthanasie volontaire est le processus consistant à mettre fin aux jours d'une personne malade à sa demande ou avec son consentement explicite[4]. Allemagne[modifier | modifier le code] Australie[modifier | modifier le code] Belgique[modifier | modifier le code]

sosfindevie.org Fin de vie Allez au contenu, Allez à la navigation Proposition de loi relative au choix libre et éclairé d'une assistance médicalisée pour une fin de vie digne : Objet du texte La présente proposition de loi a été déposée au Sénat par Corinne Bouchoux (Ecolo - Maine-et-Loire) et plusieurs de ses collègues. Elle a pour objet de permettre « la liberté du patient et l'égalité dans l'accès au choix d'une assistance médicalisée pour une fin de vie digne ». Les étapes de la discussion : Aide : le parcours d'un projet ou d'une proposition de loi Examen parlementaire "la Navette" Examen par une assemblée parlementaire (Sénat ou Assemblée Nationale) Travaux de la commission saisie au fond (Sénat ou Assemblée Nationale) 1ère lecture

Definition euthanasie. On peut penser que c'est une source sure, car c'est un extrait de journal. by nicoilasbenjaminmael Oct 2

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