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Le R.O.I. de l’intelligence collective enfin démontré

Le R.O.I. de l’intelligence collective enfin démontré
Alexis Nicolas se définit comme un “manager 2.0.” Son rôle est d’activer au sein de BNP Paribas une organisation en réseau afin d’améliorer le capital social de l’entreprise. J’ai rencontré Alexis lors de ma dernière conférence à l’IGS. Le 30 janvier 2013, Alexis a publié un article dans Le Cercle – Les Échos qui est très éclairant et que je vous invite à lire : Voici un petit résumé de cet article (avec quelques copier-coller !) Le résumé de l’article ! Chacune à leur manière, toutes les entreprises veulent réduire le coût du travail. L’approche classique prône une recherche d’utilisation des ressources à 100 %. L’hypothèse prise par l’approche classique est que l’augmentation du pourcentage d’utilisation des ressources diminuera le coût relatif de réalisation de services ou de produits. L’impasse sur le coût des délais ! A la recherche d’un point d’équilibre !

La baisse du coût du travail avec impact social positif, c’est possible ! Cet article est basé principalement sur les travaux de Donald G. Reinersten que Bruno Chassagne m'a fait découvrir. Le coût du travail en France est souvent jugé trop élevé. Toute baisse du coût du travail est-elle nécessairement néfaste au tissu social à court terme ? Peut-être faut-il regarder du côté des systèmes de management mis en place chez Toyota ou chez FAVI ? Les systèmes de management de Toyota et de FAVI ont largement été analysés, mais très peu répliqués. Le problème de l’approche classique de la baisse des coûts par l’optimisation des ressources. L’approche classique nous enferme dans une recherche d’utilisation des ressources à 100 %, ce qui est impossible à atteindre, surtout dans le monde des professions du savoir. L’hypothèse prise par l’approche classique est que l’augmentation du pourcentage d’utilisation des ressources diminuera le coût relatif de réalisation de services, de pièces industrielles ou de logiciels informatiques.

L’ère du management paradoxal C’est histoire du verre à moitié plein ou à moitié vide ! A l’évocation du mot “intelligence collective”, certains comprennent “perdre le contrôle”, anarchie, désordre,… ; d’autres comprennent innovation, résolution de problème, performance collective, valorisation des intelligences et des expertises pour mieux produire et mieux vendre. Dans les entreprises, l’intelligence collective n’existe pas. Il faut la créer par la volonté des dirigeants (c’est une décision, une vision, un paradigme et non le constat résigné qu’on fait que cela existe ou que cela n’existe pas). Mais, peut-on vouloir créer et gérer l’intelligence collective si on a peur de produire du désordre, de l’anarchie ? Pour répondre à la question, je vous propose le concept de management paradoxal qui induit l’idée d’une organisation paradoxale. Voici une carte de l’organisation paradoxale montrant les 8 parties indispensables à la construction d’une entreprise performante : Ordre ou désordre… ou chaos ? Les quatre dimensions

Intelligence collective Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'intelligence collective désigne les capacités cognitives d'une communauté résultant des interactions multiples entre ses membres (ou agents). La connaissance des membres de la communauté est limitée à une perception partielle de l'environnement, ils n'ont pas conscience de la totalité des éléments qui influencent le groupe. Des agents au comportement très simple peuvent ainsi accomplir des tâches apparemment très complexes grâce à un mécanisme fondamental appelé synergie ou stigmergie[réf. souhaitée]. l'Intelligence Collective se distingue de l'intelligence collaborative (efficacité des échanges centrés sur une tache) et de l'intelligence projective (synergie des motivations individuelles et collectives, porteuse de sens individuel et collectif). Les formes d'intelligence collective sont très diverses selon les types de communauté et les membres qu'elles réunissent. Intelligence collective humaine[modifier | modifier le code] et

Une révolution du management : le modèle Google - Les bonnes feuilles Les psychologues qui s'intéressent au comportement des salariés distinguent les motivations externes ou extrinsèques (on fait des efforts pour obtenir une meilleure rémunération, une récompense…) et les motivations internes ou intrinsèques (c'est la satisfaction d'avoir accompli correctement sa tâche, d'avoir réussi un exploit particulier qui amène à faire des efforts…). Google ne néglige pas plus que d'autres les motivations externes, il n'hésite pas à verser des salaires élevés comme en témoignent les voitures de luxe qui encombrent son parking, mais il fait une large confiance à la motivation intrinsèque. Ce faisant, il suit des exemples célèbres, dont celui de Bill Gates qui disait au début de sa carrière : "Aucun grand programmeur ne peut s'asseoir à sa table et se dire : "Je vais me faire du fric" ou "Je vais en vendre des centaines de milliers". Tout simplement parce que ce genre de réflexion ne vous aide pas à résoudre les problèmes."

Management : 6 leçons des philosophes Ils nous invitent à nous connaître nous-même, à douter de nos certitudes, à aimer les autres, à avoir du courage… Pour bien diriger et encadrer une équipe, inspirons-nous des philosophes ! Souvent à contre-courant des idées reçues sur le leadership, les pensées de Platon, Descartes ou encore Kant, sont un atout précieux pour développer une véritable philosophie managériale et poser les bases d’un management humaniste. Leçon de philo appliquée à la vie en entreprise avec Patrick Errard, auteur de La philosophie au secours du management. Margaux Rambert Sommaire A découvrir Les idées à retenir « Connais-toi toi-même », de Socrate et « Cogito ergo sum » - « Je pense donc je suis » -, de Descartes. « Qui est-on, avant d’être manager ? L’idée reçue : « Evoluer dans sa carrière, c’est devenir manager. Le décryptage de Patrick Errard« En France, l’évolution de carrière est essentiellement basée sur une culture méritocratique. En pratique : « Pourquoi suis-je manager ou ai-je envie de le devenir ?

Savoir manager l'intelligence collective des équipes de travail L'intelligence collective est porteuse de grands enjeux pour l'efficacité du fonctionnement des organisations. Voici les principaux leviers sur lesquels agir. Par Olfa Zaïbet-Grèselle, Admeo. L'organisation en équipe constitue le mode d'action collective le plus performant : l'engagement de ses membres résulte d'une interaction entre la mobilisation, l'appartenance et la réalisation concrète. Concrètement, la notion d'intelligence collective est issue de la rencontre de deux concepts : - celui de collectif de travail, soit avec une dimension restreinte (groupe de travail ou équipe), soit avec une dimension plus élargie où le collectif désigne plusieurs individus qui collaborent à la poursuite d'objectifs communs sous la direction d'un leadership (Schein, 1971) ; - et celui d'intelligence, notion qui peut être définie comme la capacité de compréhension. Les composantes de l'intelligence collective dans les équipes de travail

Les démarches environnementales augmentent de 16% la productivité des salariés : étude auprès de 4 929 salariés français / Les communiqués de presse / Espace presse / Groupe Motivation accrue, développement personnel permis par un taux de formation supérieur à la moyenne, meilleures relations entre collègues…. Cette étude pionnière*, publiée dans le Journal of Organizational Behavior, démontre qu’agir en faveur de l’environnement permet également à une entreprise d’améliorer la productivité de ses salariés. Les chercheurs ont déterminé la productivité de chaque entreprise en divisant la valeur ajoutée de l’entreprise par le nombre d’employés, obtenant ainsi la productivité moyenne par employé pour chaque entreprise. Les normes environnementales considérées sont l’ISO 14001 (norme internationale sur la management de l’environnement) et les labels “commerce équitable” et “agriculture biologique”. Il s’agit là d’une preuve scientifique de la démarche vertueuse induite par l’utilisation des normes environnementales. . . . .

5 choses à savoir sur l'holacratie Supprimer les positions de pouvoir et la bureaucratie, donner plus d'agilité à l'entreprise... Les bienfaits supposés de l'holacratie sont tels que ce système de gouvernance mis au point en 2001 par un éditeur de logiciels américain, Ternary Software, a depuis fait des émules. Le cas le plus emblématique fut celui de Zappos, qui annonçait début 2014, qu'il passait à ce mode d'organisation enterrant la notion de hiérarchie. "Adopter l'holacratie, c'est tout à coup se voir renvoyer toutes les incohérences de son organisation et se donner la possibilité d'y remédier", explique, enthousiaste, Bernard Marie Chiquet, qui, à travers son cabinet iGi Partners, accompagne Kingfisher, Danone, ou encore bientôt Décathlon, pour tester le "concept" sur des unités pilotes. >>> A lire : l'interview de la présidente du directoire de Scarabée Biocoop, une PME qui a adopté l'holocratie 1. Avant toute chose, le dirigeant doit accepter de céder son autorité aux règles du jeu. 2. 3. 4. 5.

Intelligence Collective Qu’est-ce que l'intelligence collective ? L’intelligence collective est une forme de conscience collective qui émerge lorsque des individus se rencontrent au-delà de l’ego. Cette émergence a été constatée à de très nombreuses reprises (y compris avec les clients d'Integral Vision) et a même été scientifiquement démontrée (cf. Global Consciousness Project de l'université de Princeton). L'une des caractéristiques majeures de cette émergence est le champ de conscience résultant qui révèle un potentiel d'intelligence, d'innovation et de capacité à appréhender la complexité d'une situation bien supérieur à la somme des intelligences individuelles qui l'ont généré. Comment émerge l'intelligence collective ? Les conditions de cette émergence s'avèrent à la fois simples et subtiles. C'est la raison pour laquelle il est souvent nécessaire d'utiliser des techniques ou de suivre des règles (cf. Nous vous proposons de faciliter vos réunions en intelligence collective afin de :

Les entreprises écologiquement responsables plus performantes Plus une entreprise est écolo et plus ses salariés seraient motivés et efficaces: les sociétés effectuant des démarches environnementales augmenteraient ainsi de 16% la productivité de leurs employés, selon les conclusions de l'étude de la chaire Performance des organisations de l'université Dauphine, menée par Magali Delmas, économiste de l'environnement à l'Institut de l'Environnement de UCLA et Sanja Pekovic, chercheur au sein de l'Université Paris-Dauphine. Cette incitation à la vertu ne devrait pas rester lettre morte auprès des entreprises, en recherche permanente de performance. Normes environnementales: la fin de la honte des employés? De quoi renforcer l'aspiration des salariés à changer le monde. Et ce n'est pas tout. L'entreprise aurait donc tout intérêt à être plus écolo, même en temps de crise? Etude menée auprès d'un échantillon de 4 929 salariés français.

Poult : le management démocratique existe Le groupe toulousain Poult est aujourd’hui le deuxième vendeur de biscuits en France, derrière LU. Si la marque ne vous est pas aussi familière, c’est que Poult fabrique des produits affichant la griffe du distributeur. En fait, ses cinq usines et ses huit cents employés fournissent quasiment toutes les chaînes de supermarchés et d’hypermarchés de l’Hexagone. Jérôme Introvigne (@oimoci), ancien directeur de l’innovation, a remplacé au pied levé Carlos Verkaeren, PDG de la société, sur la scène de Lift France. Poult a connu une révolution dans le management dès 2006 en permettant à des collectifs d’employés de décider des salaires et des investissements, rappelle Introvigne dans sa présentation. Image : Jérôme Introvigne sur la scène de Lift France. « Aujourd’hui le milieu de l’entreprise se rengorge de mots magiques », a commencé Introvigne : « innovation, collaboration, management… Mais a-t-on vraiment changé de méthodes depuis Taylor ? Mais comment passer à la pratique ? Rémi Sussan

Le ROI est mort, vive le "Return on Engagement" ! Le Return On Investment (ROI) est aujourd’hui l’indicateur principal suivi par les e-commerçants mais aussi de plus en plus par les médias ou par les marques de grande consommation. Quel est le coût d’acquisition d’une adresse ? d’une visite ? d’un client ? Qu’est-ce que le ROE ? Imaginez que vous soyez capable de connaître le taux de satisfaction de vos clients en envoyant un simple e-mail… C’est désormais possible avec le Return on Engagement (ROE), un indicateur qui vous permet d’identifier le type et le niveau de relation que vous avez créés avec vos inscrits. A quoi sert le ROE ? Le ROE vous donne une vision plus précise de vos résultatsVotre plateforme de routage vous indique un taux d’ouverture à 20%. Exemple d’exploitation opérationnelle Vous pourrez constituer de nouveaux segments (vos lecteurs assidus, vos lecteurs distraits, …) sur lesquels vous enverrez des communications différenciées. Le ROE vous permet d’améliorer votre ROI. Une avancée majeure pour l’e-mail marketing

Lâcher-prise : le principe du lave-vaisselle Où je vous raconte mes tribulations domestiques et en particulier lave-vaisselliques, parce qu’elles m’ont été porteuses d’un enseignement majeur sur le lâcher prise et la délégation ! Vous, je ne sais pas, mais moi, j’ai fait Sup de lave-vaisselle. J’ai un master 2 en remplissage de petite vaisselle du tiroir du haut, un doctorat en programmes longs et des théories particulièrement élaborées sur le concept crucial selon lequel « tout va au lave-vaisselle ». D’ailleurs, je dis que je ne sais pas, mais c’est faux, vous aussi, vous avez fait Sup de lave-vaisselle. Et je suis prête à parier un kilo de sel régénérant contre une semaine à Acapulco que vous aussi, vous avez déjà fait l‘expérience navrante du remplissage de lave-vaisselle chez des amis, chez l’Oncle Alfred ou Mémé Huguette. Aaaah ces incompétents notoires qui ont l’arrogance de se poser en supérieurs alors qu’ils ont à peine le niveau bac en lave-vaisselle. Commençons par définir le lâcher prise. Vive les appétences! Voir aussi

Recrutement 2.0 : un ROI difficilement mesurable Article publié le 15/04/2012 Suffirait-il d’opposer la gratuité des réseaux sociaux au coût des jobboards pour clore le débat sur le ROI du recrutement 2.0 ? Non, car en présence d’indicateurs complexes, il convient de nuancer l’apparente simplicité. La question du ROI était au cœur d’un des ateliers de #TruParis, la non conférence qui a réuni le 9 février 2012 bon nombre d’acteurs du recrutement 2.0 (conseils RH et entreprises). Cette constatation ne doit pas occulter le fait que les entreprises ne peuvent réellement mesurer le retour sur investissement de leur présence sur les réseaux sociaux car elles sont face à des indicateurs complexes, comme la pérennité d’un recrutement, l’image de l’entreprise ou l’origine d’une candidature. La qualité du coût La qualité du coût… Une certaine idée du coût. Le fait d’avoir repéré un profil sur un réseau ne garantit pas qu’il soit candidat. De plus, on ne peut pas toujours déterminer avec certitude d’où vient une candidature. Sophie Girardeau

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