background preloader

Is It a Cheetah?

Is It a Cheetah?
By Stephanie S. Tolan © 1996 Stephanie S. Tolan It's a tough time to raise, teach or be a highly gifted child. As the term "gifted" and the unusual intellectual capacity to which that term refers become more and more politically incorrect, the educational establishment changes terminology and focus. Giftedness, a global, integrative mental capacity, may be dismissed, replaced by fragmented "talents" which seem less threatening and theoretically easier for schools to deal with. The child who does well in school, gets good grades, wins awards, and "performs" beyond the norms for his or her age, is considered talented. A cheetah metaphor can help us see the problem with achievement-oriented thinking. But cheetahs are not always running. It's not difficult to identify a cheetah when it isn't running, provided we know its other characteristics. Its chief food is the antelope, itself a prodigious runner. While body design in nature is utilitarian, it also creates a powerful internal drive.

Is it a cheetah ? (Est-ce un Guépard ?) J'aimerais partager ici un texte que j'aime beaucoup !!! Ce texte a été écrit en 1996, par Stephanie TOLAN, qui est une écrivaine américaine de littérature pour enfants. Elle s'est beaucoup penchée sur les enfants surdoués (appelés "highly gifted kids" ou "gifted kids" aux Etats-Unis) & la métaphore est vraiment excellente à mon avis Pour les puristes, l'original du texte en anglais est disponible sur le site officiel de l'auteure : Est-ce un Guépard ? C'est très dur d'élever, d'éduquer ou d'être un enfant surdoué. Le surdouement, capacité globale d'intégration mentale, peut même être écarté pour être remplacé par des talents fragmentés qui présentent moins de menaces & sont théoriquement plus faciles à traiter par les écoles. L'enfant qui travaille bien à l'école obtient de bonnes notes, des récompenses & s'il réussit au-delà des normes pour son âge, il est considéré comme doué. Mais les guépards ne courent pas toujours.

Aspie-quiz Spherick Stimuler la douance adulte : Reconnaître et adresser les besoins affectifs des adultes doués. Citation : From CAG Communicator. 1999 summer 30(3). Auteur : Sharon Lind Traduction : douance.be, 2004 Récemment, j’ai eu le plaisir de participer à une conférence internet avec des parents en Australie à propos des besoins socio-émotionnels des enfants doués. Dans le processus d’apprentissage de « comment répondre aux besoins de l’enfant », nous, parents, nous prenons souvent à découvrir des tas de choses sur nous-mêmes et même, peut-être, à devoir gérer quelques douloureux souvenirs de nos propres expériences dans l’enfance. » Elle continua : « C’est une chose que j’ai remarquée au cours de mes discussions avec d’autres parents : alors que beaucoup d’entre eux acceptent la douance de leur enfant, et les caractéristiques qui l’accompagnent, ils semblent être en total « refus » de leur propre surdouement, ou à différents stades d’être en mesure de le gérer. » Admettre ses propres dons

SOS, surdoués en souffrance En gros, ce seraient des forts en thème, doublés d’asociaux peu sympathiques, au complexe de supériorité surdéveloppé. Depuis peu, les experts nous enseignent que la réalité est différente : les surdoués seraient des êtres qui souffrent, des hypersensibles. En foi de quoi, il semble plus que temps de corriger quelques idées reçues concernant cette minorité injustement persécutée. Ainsi, 2 % des enfants affichent un Q.I. qui dépasse 130 dans les tests de Wechsler. Travaillant sur ce sujet depuis plus de vingt ans, la psychologue Arielle Adda décrypte le malentendu : "Les interlocuteurs adultes de l’enfant doué ne décèlent pas toujours qu’ils sont face à un individu plus habile intellectuellement. Jeunes ou adultes, ces "incompris" seraient aussi plus sensibles à toutes sortes de pathologies : dépression, spasmophilie, bipolarité, tendances suicidaires… En somme, ce n’est vraiment pas un cadeau d’avoir des dons. "En réalité, l’un n’empêche pas l’autre, précise Arielle Adda.

| Ce manifeste est un exercice de style servant de contexte pour présenter l’articulation d’une terminologie qui permette de questionner la dimension sociale et politique d’une singularité mentale jusqu’à présent abordée avant tout sous l’angle psychologi Synesthésie : Pourquoi l’évolution a t’elle permis à certaines personnes de gouter les mots ? Curieusement, il y a exactement un an jour pour jour, je décrivais la synesthésie en donnant une preuve que l’aura existe pour certaines personnes. Aujourd’hui deux informations concernant ce phénomène, une étude et une sympathique expérience, se sont télescopées dans le temps… Je vous propose donc de les découvrir ensemble. Synesthésie et évolution. Un phénomène neurologique, qui emmêle les sens, par lequel certaines personnes entendent les couleurs et goutent les mots (et bien d’autres enchevêtrements) pourrait donner des indices importants afin de comprendre comment le cerveau est organisé, selon une nouvelle étude. Cette fusion sensorielle, appelée synesthésie, a d’abord été scientifiquement documentée en 1812, mais elle était largement incomprise, avec de nombreux experts pensant que cet état était une forme de folie douce. Ci-dessous : une IRM de diffusion du cerveau présentant les faisceaux de fibres nerveuses. Photo de Matt Biddulph. La présentation du projet :

Les mathématiques peuvent être physiquement douloureuses pour certaines personnes Pour de nombreuses personnes, le simple fait de penser à des problèmes mathématiques est horrible et même douloureux. Une étude menée par les psychologues, Ian Lyon et Sian Beilock, a démontré que ce n’est pas une hyperbole : certaines personnes n’aiment pas pratiquer les maths parce que l’idée même de travailler avec des chiffres est vécue d’une manière semblable à la douleur physique. Pour les personnes ayant des niveaux élevés d’anxiété envers les mathématiques (HMA pour “high levels of mathematics-anxiety”), les mathématiques font mal. Le Guru remplacera les termes anglais cités dans l’étude – HMAs : “High levels of Mathematics-Anxiety” par GAM : “Grande Anxiété pour les Mathématiques” et LMAs : “Low Anxiety about Mathematics” par FAM : “Faible Anxiété face aux Mathématiques”. L’hypothèse était que le fait de s’attendre à avoir à faire des mathématiques générait de l’anxiété, ce qui à son tour entrainerait la douleur. Dans la conclusion, Lyon écrit :

Quel type d’intelligence mesurent véritablement les tests de QI ? Voici une étude récente qui viendra idéalement compléter le précédent article du Guru : notre civilisation a-t-elle rendu l’humanité moins intelligente ? Tous les dix ans, le QI moyen augmente d’environ 3 points. Le psychologue James Flynn a passé des décennies à documenter ce fait étrange, qui a finalement été surnommé l’effet Flynn. Mais certains penseurs s’accrochent à l’idée que le QI mesure une intelligence innée qui transcende la culture et la scolarisation. Ainsley Mitchum du département psychologie de l’université de Floride, qui vient de publier son étude (lien plus) avec son collègue Mark Fox, a examiné l’évolution dans les performances des matrices progressives de Raven, la partie des tests de QI qui mesure notre capacité à penser de façon abstraite. Les personnes qui ont obtenu des résultats moyens il y a 50 ans seraient inférieures à la moyenne aujourd’hui. Pourquoi ? Dans les cultures modernes, l’accent est mis sur l’abstraction. Selon Mitchum :

Related: