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CONSOMMATION - Comportement du consommateur, Les facteurs explicatifs des comportements d'achat et de consommation

CONSOMMATION - Comportement du consommateur, Les facteurs explicatifs des comportements d'achat et de consommation
La recherche des ressorts qui sous-tendent l'achat et la consommation est aussi ancienne que le commerce lui-même, et de nombreuses théories ont été avancées. En un sens, le comportement du consommateur n'est qu'une facette particulière du comportement humain et ce sont donc les sciences sociales qui offrent les plus nombreuses perspectives sur cette question. On peut classer ces dernières en trois catégories selon qu'elles mettent en relief : les déterminants individuels de l'acte d'achat (besoins, perceptions, attitudes) ; l'influence de l'environnement interpersonnel (groupes de référence, leaders d'opinion) ; ou l'impact du contexte socioculturel (classe sociale, style de vie, culture). • Les déterminants individuels de l'achat L'étude des besoins et motivations Pourquoi un individu achète-t-il un produit ou un service ?

Le consommateur-citoyen - 06/04/2011 Quels sont les critères qui guident un acte d'achat ? Il est de plus en plus clairement établi qu'en plus du rapport qualité/prix, les consommateurs s'attachent très souvent à l'empreinte environnementale du produit. En clair : les marchandises ne respectant que très peu le développement durable sont snobées par des acheteurs de plus en plus nombreux. Car le consommateur ne se contente plus d'acheter : il s'intéresse désormais à toutes les composantes du produit qu'il désire. Il devient en quelque sorte un consommateur-citoyen. Il a été aidé en cela par le législateur, qui a ajouté à la défense du consommateur celle de l'environnement : ainsi, l'étiquette énergie est apparue. Ce chiffre est calculé en prenant en compte la durée de vie totale du produit, de sa fabrication à son élimination. L'objectif : habituer les acheteurs à introduire dans leur critère d'achat d'autres arguments que le prix, la marque ou la qualité éventuelle du produit.

Quels irritants font qu'un client quitte le magasin? - Info-Commerce En fait, disent plusieurs spécialistes du commerce de détail, ce ne sont pas uniquement le prix ou l’absence de technologie qui font quitter le client, mais aussi des éléments sur lesquels le commerçant peut et doit agir. L’ambiance d’un commerce de détail a une influence sur le temps que le client passe dans votre magasin et aussi sur la somme d’argent qu’il y dépensera. Cette dépense sera plus élevée que ce qu’il avait prévu suivant qu’il a perçu positivement son expérience en magasin. Selon une étude des HEC publiée dans le Journal of Business Research, les facteurs irritants et les émotions négatives du client domineront les aspects positifs dans son évaluation qu’il fera lors de son magasinage. Catégorisation des facteurs de l'environnement Les éléments de l’atmosphère de votre magasin qui influencent le client et les employés ont été modélisés, dans le livre « Comportement du consommateur » de Daghfous, et portent sur cinq variables principales : Social 1. 2. 3. 4. 5. 6. 1. 2. 3. 4.

CONSOMMATION - Comportement du consommateur, Les différentes phases du processus d'achat Nous avons jusqu'ici étudié l'achat comme s'il s'agissait d'un acte ponctuel, clairement identifiable dans l'espace et dans le temps. L'analyse de nombreux achats révèle en fait un processus comportant plusieurs phases. Après l'étude du pourquoi, ces différentes étapes balisent le comment de l'acte d'achat. Il n'y a pas et il n'y aura sans doute jamais de consensus entre les analystes sur le nombre et la nature des phases qui composent le processus d'acquisition d'un produit. Tout dépend en effet de la situation d'achat rencontrée. Une situation d'achat se caractérise entre autres par le degré d'implication du consommateur dans le produit concerné. • La reconnaissance du « problème » Un consommateur recon […]

Analyses de fond et études Médiamétrie sur les usages et l'audience des médias auduiovisuels et interactifs, ainsi que les comportements du public à leur égard Avec bientôt 10% de foyers français équipés au second trimestre 2012, et 3,2 millions d’utilisateurs en mai 2012, la tablette tactile reste encore un équipement de niche, pour CSP+, technophile et prompt à acquérir les dernières nouveautés. Un profil plus souvent masculin, classique chez les « early adopters » de nouveaux équipements high tech. 3 questions à Xavier Court, cofondateur de Vente-Privee Quelle part tiennent les tablettes dans la fréquentation de vente-privee.com ? Les acheteurs à partir d’un appareil mobile ont ils un comportement différent ? Leur proposez-vous des offres adaptées ? L’essor des tablettes a t-il un impact sur le développement du e-commerce ? Propos recueillis par I.R. Mais la pénétration augmente rapidement. Se renseigner avant l’achat Mais la tablette semble mieux adaptée que le smartphone à cette préparation. La comparaison du Top 10 des sites leaders en nombre de visiteurs montre quelques différences entre fixe et tablette. Une forte propension à l’achat

Comment prenons-nous nos décisions ? Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Hubert Guillaud Comment prenons-nous des décisions morales ou éthiques ? Dans l’idéal, nous devrions les prendre uniquement sur les faits… Nous en sommes loin, rappelle Jonah Lehrer dans Wired, l’auteur de Faire le bon choix : comment notre cerveau prend des décisions. Jonathan Haidt, l’auteur de L’hypothèse du bonheur, psychologue à l’université de Virginie, est connu pour avoir soutenu que nos jugements moraux sont comme des jugements esthétiques. Quand vous êtes face à un tableau, vous savez généralement instantanément et automatiquement si vous l’aimez. Ed Yong, qui tient le blog Not Exactly Rocket Science pour Discover Magazine a mis à jour une passionnante étude issue des Actes de l’Académie nationale des sciences américaine qui observe le processus mental à l’oeuvre dans les décisions des juges concernant des affaires de libération conditionnelle. Les jugements moraux sont donc facilement influencés. Mais ce n’est pas si vrai.

Le consommateur moyen a définitivement disparu "2013, un consommateur caméléon" . A l'occasion de son dernier Media Morning, Kantar Worldpanel a fait le point, la consommation en France. Le contexte de l'année n'a pas été favorable à la consommation : des à-coups dans l'évolution du PIB en volume (-0,2% pour le 1er trimestre, +0,5% pour le 2ème, -0,1% au 3ème) ; une météo chaotique (hiver maussade, printemps le plus froid depuis 1987, bel été) ; hausse du chômage... Seul point positif : le redressement du pouvoir d'achat par unité de consommation à +0,8% au 1er trimestre, +0,3% au 2ème, après une baisse de 1,5% sur 2012. "L'envie de dépenser n'est toujours pas au rendez-vous et la perception de leur pouvoir d'achat par les ménages est globalement plus négative au second trimestre", constate Gaëlle Le Floch, strategic insight director, en poursuivant : les arbitrages se poursuivent dans de nombreux secteurs hors-alimentaires. Au cumul annuel 3 ème trimestre : les catégories qui s'en sortent le mieux sont : Quels enjeux pour demain ?

Les médias sociaux, partie prenante du processus d'e-achat Les médias sociaux ont un impact considérable sur les processus d'achat en ligne lorsqu'ils s'ajoutent aux moteurs de recherche. La recherche en ligne et les médias sociaux sont désormais très imbriqués dans les processus d'achat sur Internet des consommateurs, révèle une étude menée conjointement par GroupM et Comscore aux Etats-Unis. 58 % des achats en ligne débutent sur un moteur de recherche, 24 % sur des sites de sociétés et 18 % sur des médias sociaux. Parmi les cyberacheteurs qui optent d'abord pour les moteurs de recherche, 40 % se tournent ensuite vers les médias sociaux pour les aider à prendre une décision. Globalement, 51 % des cyberacheteurs ayant in fine commandé en ligne n'ont eu recours qu'aux moteurs de recherche, 48 % se sont appuyés à la fois sur les moteurs et sur les médias sociaux, mais seuls 1 % n'utilisent que les médias sociaux avant d'acheter en ligne.

Le livre blanc de l'AACC/ Identité : Catch me if you can La fin de l’unicité Déjà, dans les années 60-70, Bill Bernbach affirmait qu’il ne s’adressait plus à la ménagère de moins de 50 ans, en tant que cible, mais à un être humain, à sa sensibilité, son intelligence, son humour. Bref à sa multiplicité ! Aujourd’hui plus que jamais, via les technologies, il y a comme un dédoublement de la personnalité entre l’internaute et ses avatars. Symptôme de schizophrénie aigüe ? C’est donc la victoire totale du «je» de l’individu, qui désormais peut être autre(s). Se créer plusieurs familles Cette tendance à la démultiplication touche aussi la famille dont les réseaux sociaux révèlent une nouvelle facette. Le « je » jubilatoire et exhibitionniste Quel qu’il soit, le consommateur a l’art et la manière de soigner son profil. A cela s’ajoute une aptitude et même une avidité à mettre à jour son existence. Toute forme de caution digitale est bonne à prendre : montrer que l’on apprécie en dit évidemment beaucoup sur qui l’on est vraiment. Facile, pratique...

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